l'équilibre en question/ balance
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Désolé... Je pensais avoir répondu aux conclusions que vous alliez tirer de ces deux définitions : comment un état d'équilibre statique permet-t-il de régler un problème d'équilibre dynamique ? D'où ma réponse : c'est l'équilibre dynamique occasionné par le ralentissemnt qui améliorera l'équilibre dynamique général du cheval.
Un objet est en équilibre statique est un objet qui ne bouge pas et qui a son centre de gravaité l'intérieur de son polygonne de sustentation ; l'équilibre dynamique est un équilibre relatif (ce terme de relatif ne me convient pas mais pour l'instant, je n'en trouve pas d'autre...) dans lequel il faut tenir compte de la vitesse. Les composantes du mobile en mouvement changent ou peuvent changer, mais se compensent en permanence... Il faudrait que je ressorte mes vieux cours de bioméca de la fac... Pfffouuuuu
Message édité par: JPhL, à: 2006/09/16 20:29
Cher Jean-Philippe
et sur quel site peut-on vous lire ???
Cordialement, Peteris
cher Jean philippe
comment conserver l'équilibre dans le ralentissement , de manière pratique...
Tout d'abord, la remise en équilibre du cheval peut se faire dans l'allure, par la parade plus communément appelée demi-arrêt. Si cela n'est pas suivi d'effet, la remise en équilibre se fera par la transition à l'allure inférieure. Si ce n'est pas encore suffisant, la remise en équilibre se fera par l'arrêt. Ces transitions descendantes auront deux effets sur le cheval : un effet physique, mais également un effet psychologique qui est loin d'être négligeable. C'est d'ailleurs dans ce même esprit que le Maître Nuno Oliveira disait que c'est par la succession de départs au galop que l'on améliore le galop. Qui dit succession de départ dit également succession de retour à l'allure inférieure.
Comment faire une bonne transition ou un bon arrêt puisque les aides utilisées sont les mêmes, la parade ou demi-arrêt n'étant ni plus ni moins la même action que l'arrêt complet, mais sans aller jusqu'à ce dernier. Tout d'abord, le cavalier doit impérativement rester en équilibre sur le dos de son cheval. Je rappellerai tout simplement les paroles de Nuno Oliveira qui disait qu'il fallait tirer le nombril vers l'avant tout en veillant à ce que la distance mains/corps du cavalier reste de constante. Votre action de mains résultant de la tension de votre assiette vers l'avant sera donc orientée vers le haut et même légèrement vers l'avant. Cette action de donc partir, comme toutes les actions que vous demandez à cheval, de votre assiette pour irradier vers les mains en passant par le dos. L'assiette, le dos et la nuque étant l'origine de la demande, la main étant la régulation de la demande.
J'ai l'habitude de donner à mes cavaliers les images suivantes : « Quand tu peux passer, par exemple, du pas au trot, c’est ton cheval qui doit partir au trot en premier et c'est toi qui dois le suivre ; à l'inverse, si tu veux passer du trot au pas, c'est à toi de te mettre en premier au pas afin que ton cheval de suivre. Ceci implique que, par exemple dans une transition du trot au pas, vous cessiez de trotter avec votre bassin dans votre demande de transition et dès que votre cheval est au pas, vous vous mettiez à nouveau à marcher au pas avec lui, à moins que vous vouliez aller jusqu'à l'arrêt.
Comme je l'ai dit plus haut, votre main doit réguler l'action de votre le dos, de votre assiette. Cette action ne doit en aucun cas aller vers l'arrière. Je demande mes arrêts et mes transitions sur ma rêne extérieure, par une main extérieure que je tiens en potence. Son action doit impérativement ponctuelle. Une action qui dure permettra au cheval de prendre un appui supérieur. Nous pouvons d'ailleurs d’une certaine manière considérer les vibrations sur la rêne extérieure comme l'expression la plus subtile du demi-arrêt ou parade. J'irais même un peu plus loin en disant que, si vous présentez que votre cheval va vous opposer une résistance de poids ou de force d'ailleurs sur la main, celle-ci doit dans un premier temps céder avant d'agir éventuellement. Cette cession suffit parfois à vaincre ses résistances.
Mon cher Peteris, mon site se trouve en lien dans les liens d’Allège-Idéal : Équitation-Passion.
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First of all, the discount(delivery) in balance of the horse can be made in the speed(look), by the parade more collectively called half-stop(ruling). If it is not followed by effect, the discount(delivery) in balance will be made by the transition in the lower speed(look). If it is not still sufficient(self-important), the discount(delivery) in balance will be made by the stop(ruling). These downward transitions will have two effects on the horse: a physical effect, but also a psychological effect which is far from being unimportant. It is moreover in the same spirit which the Mister Nuno Oliveira said that it is by the succession of departures in the gallop that we improve the gallop. Who says succession of said departure also succession on returning to the lower speed(look).
How to make a good transition or a good stop(ruling) because the used helps are the same, the parade or the half-stop(ruling) being no more and no less the same action as the complete stop(ruling), but without going to this last one. First of all, the rider necessarily has to stay in balance on the back of his horse. I shall call back(remind) simply the words of Nuno Oliveira who said that it was necessary to pull(fire) the navel forwards while watching that the distance hands / body of the rider stays of constant. Your action of hands resulting from the tension of your plate forwards will thus be directed upward and even slightly forwards. This action to leave thus, as all the actions for which you ask on horseback, of your plate to radiate towards hands by way of the back. The plate, the back and the nape of the neck being the origin of the demand, the hand being the regulation of the demand.
I am in the habit of giving to my riders the following images: « when you can pass, for example, of the step in the trot, it is your horse which has to leave to the trot for the first one and it is you who have to follow him(it); on the contrary, if you want to pass of the trot in the step, it belongs to you to put you in the first one in the step so that your horse to follow. This implies that, for example in a transition of the trot in the step, you stop trotting with your pond in your demand of transition and as soon as your horse is in the step, you began again walking(working) to the step with him, unless you wanted to go to the stop(ruling).
As I said it higher, your hand has to regulate the action of your back, your plate. This action has to go on no account towards the back. I ask for my stops(rulings) and for my transitions on my outside rein, by an outside hand which I hold in gallows. His(her,its) action owes necessarily punctual. An action which lasts will allow the horse to take a superior support. We can moreover in a certain way consider the vibrations on the outside rein as the most subtle expression of the half-stop(ruling) or the parade. I would go even a little farther by saying that, if you present that your horse is going to set you a resistance of weight or force moreover on the hand, this one has to give in at first before acting possibly. This transfer is sometimes enough to overcome its resistances.
My dear Peteris, my site is in link in the links of Allège-Idéal: Équitation-Passion.
Cher Jean philippe
voilà une réponse pratique comme je les aime merci
bon à part que j'avais les mêmes réponses que vous mais cela me confirme simplement dans la voie
à part la main qui agit est indiféremment l'extérieur ou l'intérieur mais je ne pense pas qu'il y a matière à "s'étriper" sur le sujet
pour le galop je suis d'accord aussi avec vous mais je pense que c'est valable pour tout, l'idée, telle que je me la formule, est de travailler le mouvement plutôt que l'allure, l'allure étant simplement une succesion de mouvements (le tout est de ne jamais éteindre le cheval)
en revanche puisque vous parliez du galop je cherche le moyen d'en modifier le "contenu" j'ai lu Gustave le Bon qui aborde le sujet, l'étude est intéressante mais pas les moyens pour l'obtenir
que pourriez vous dire à ce sujet?
Bon, je ne suis pas J-P, mais pour modifier le contenu du galop, on peut écrire golap, ou gloap : cela dépend de votre sens de l'humour ! non, sérieux, pour modifier le contenu du galop, il est important d'intervenir exactement au moment où le cheval n'a plus aucun contact avec le sol ( aucune résistance ne peut être opposée), soit pendant le temps de suspension. En agissant avec les doigts vers le haut et vers les épaules du cavalier au moment de chaque temps de suspension, le galop se rassemble tout en douceur.
Mais peut-être ai-je mal compris ce que vous voulez exactement changer dans le contenu du galop de votre cheval, j'ai pensé que c'est sur sa qualité que vous vouliez intervenir.
bien cordialement
Chère Sylvie
en fait ce n'est pas tant la qualité que le mécanisme lui même
je cherche le moyens d'avoir un galop qui fonctionne par bipèdes ou pour être plus précis que le poser des postérieurs soit simultané et si possible sur une même ligne
cela fait un galop presque à deux temps dans l'absolu
cher Dolmata
avez-vous essayé d'attacher ensemble les deux antérieurs et les deux postérieurs pour arriver à vos fins ??? :-)
Cordialement, Peteris
A Dolmata;
Je croyais:
1/que l'équitation avait pour but de redonner au cheval sous la selle le naturel des allures qu'il présentait en liberté.
2/que d'après mes souvenirs le galop était une allure à 3 temps et une phase de suspension; et que le postérieur du côté du galop s'engageait plus que l'autre.
Il semblerait que vos expériences équestres aient un autre but au vu de la teneur du message que vous adressez à Sylvie; il serait intéressant que vous les évoquiez, afin que , tous , dans nos échanges, nous parlions de la même chose; amicalement, yves katz
Cher Jean-Philippe
Vous me voyez venir..., mais vous évitez de répondre aux questions soulevées ... :-)
Cordialement, Peteris
Klavins Peter