Décontraction

Mon cher JP,

pour te répondre sous forme de clin d'oeil, j'ai dit qu'on n'a rien inventé depuis La Guérinière et Baucher, et je maintiens...dans la mesure où je considère que l'Hotte, Oliveira, et tous les autres, "ne sont que" des héritiers...

comme toi....

;-)

Bonjour à tous

JPh dit :

Je voudrais simplement faire amicalement remarquer à Xavier que depuis sa remarque, il a cité Baucher, Oliveira. Maintenant, il cite l'Hotte... ;-)

Lui non plus ne s'arrête pas à la Guérinière !

Je vous invite à lire mes interventions, bien que ce soit peut-être un supplice pour vous, mais vous pourrez ainsi constater que je fais référence à d'Orgeix, Racinet, Olivier, Karl, Decarpentry, l'Hotte, Baucher ...
Ce qui vaut pour les uns ne vaut pas pour les autres.
Alors là c'est trop ! j'avoue être dépassé, je rends les armes :-]

Comment est-ce possible ? je suis ...

cordialement pierre
P.S.
Désolé tout ça n'est pas très équestre.

Pierre écrit:

Je ne pense pas que Guérinière travaillait ses chevaux vers le bas fusse en épaule en dedans.

Cher Pierre

suivant votre conseil de relire vos interventions, j'ai relevé ce passage que Jean-Philippe avait relevé lui-même.

Que pensez-vous de la recommendation de Steinbrecht, pour ce qui est du travail des flexions latérales de l'encolure, de les débuter avec le jeune cheval sur un placer bas de l'encolure et de la tête, précisant même : "sans nullement s'occuper de savoir si, en l'occurence, l'avant-main, ou bien l'arrière-main est le plus chargé" ?

Cordialement, Peteris

PS : selon les éditions, si le passage relevé par Pierre Relin se situe page 99, celui que j'évoque ici se situe page 94.

Message édité par: KLAVINS, à: 2006/10/23 10:28

Hello Peteris,

alors, en guise de petit clin d'oeil, je pense pour ma part que...c'est là du d'Aurisme.

Ca ne fait pas avancer le débat (bio-mécaniquement), j'en ai conscience, mais cela m'amuse bien quand même.

:-)

Bon lundi.

Bonjour à tous

Peteris ;
Je m'abstiendrais de commenter Steinbrecht car je ne le connais qu'à travers d'autres auteurs, je n'ai pas encore lu "Le gymnase du cheval" mais je suis à sa recherche, cet ouvrage semble actuellement épuisé.

Je dirais simplement que ne pas s'occuper de l'équilibrage ne me semble pas être une bonne idée.
Entre autre, je travail mes chevaux en flexions latérales prononcées d'encolure (ploiement d'encolure) tel que préconisé par J. D'Orgeix mais sans laisser descendre trop l'encolure et en essayant de garder le chanfrein légèrement au delà de la vertical.

cordialement pierre

Pierre,

et, si je puis me permettre, surveillez bien dans ce travail que les oreilles sont sur un plan horizontal, ou, si ce plan est légèrement incliné, qu'il est incliné avec l'oreille intérieure culminante.

cordialement
xavier Kenaz

Bonjour à tous

Xavier ;
Oui oui ! tout à fait d'accord.
J'ai aussi oublier de dire que ce travail doit se faire en toute légèreté et que progressivement et bien pratiqué il donne prestement d'excellents résultats.

cordialement pierre

je suis bien d'accord avec vous, tout en soulignant à nouveau que pour les flexions latérales prononcées "au maximum", il y a "avantage" à réaliser celles-ci à l'arrêt. (doux stretching latéral...)

Cordialement, Peteris

Bonjour à tous

Sans commentaires.
----------------

Entre autre, je travail mes chevaux en flexions latérales prononcées d'encolure (ploiement d'encolure) tel que préconisé par J. D'Orgeix mais sans laisser descendre trop l'encolure et en essayant de garder le chanfrein légèrement au delà de la vertical.

Voici l'idée que je me fait de la chose

cordialement pierre

Message édité par: MEIER, à: 2006/10/24 11:35

Message édité par: Mick Hunter, à: 2006/10/26 09:56