AVIS CRITIQUES/PHOTOS - critics on pictures //

Bonjour,

Je m'obstine à mettre mon image, encore un essai (merci aux intervenants pour leurs conseils)

Tout ça pour dire que Catherine est pratiquement verticale pour moi...

Cordialement, Marie

Chère Marie

suite à vos compléments de messages de la page 8, si vous comparez la photo de Catherine page 7 avec la photo du haut de la page 5,(où le cavalier figuré par Jean-Philippe est "pratiquement vertical" lui aussi) vous constaterez que dans les deux cas les verticales comme les flèches sont figurées passant par la hanche, articulation que dans mes commentaires associés je cite comme point de référence fonctionnelle...

Par ailleurs, concernant la "cambrure apparente" de Catherine, il y a lieu de pas se "laisser fausser le regard" par les pans de la veste..., et que si sur la photo de la page 5, vous "rajoutez des pans de veste passant par dessus le trousquin", vous obtiendrez certainement une "cambrure apparente" assez conséquente...

Enfin, comme vous n'avez toujours pas répondu aux questions que je vous avais adressé dans mes messages des page 8 et 9, je ne vois toujours pas où vous voulez en venir ???

Cordialement, Peteris

PS : je profite de la photo postée par Jean-Philippe pour illustrer que le Maître peut se "positionner en équilibre arrière"" encore plus près de la verticale que Catherine sur la photo ci-dessus...

Message édité par: KLAVINS, à: 2006/08/04 13:58

Une intervention rapide : la photo du Maître et néanmoins mari, modèle, etc. et l'avancée de la ceinture, sans pans de la veste :

La position en forme d'arc du cavalier...

Désolé Péteris, mais je n'ai pas encore décortiqué ton message sur le galop... Mais, j'y vais de ce pas...

Bonne journée à tous

Message édité par: JPhL, à: 2006/08/04 12:36

Message édité par: JPhL, à: 2006/08/04 14:13

Bonjour Peteris,
Le fonctionnement du cavalier est un aspect important de l'environnement du cheval monté et donc de son comportement, mais est-il le plus important, au point d'en faire LE critère de la hiérarchie équestre, comme vous paraissez le faire ?

Et la hiérarchie équestre est-elle celle du dressage de compétition, qui consiste comme vous l'avez si bien écrit à exploiter le "potentiel" d'un cheval, selon des critères plus ou moins arbitraires ?

Cordialement,
Hervé

Bonjour Cher Hervé

Travaillant présentement à rédiger un message pour Dolmata, je vous propose d'apporter vous-même vos réponses aux questions pertinentes que vous soulevez

Cordialement, Peteris

Le fonctionnement du cavalier est un aspect important de l'environnement du cheval monté

Encore une intervention rapide, sans avoir tout lu par manque de temps en ce moment et profusion des réponses : comment peut-il en être autrement ! Et même si sur certains points, mes idées divergent de celles de Peteris, là, je ne peux qu'être d'accord ! Le couple cheval/cavalier ne peut être dissocié. D'ailleurs, il ne s'agit pas d'un couple, mais d'une unité indissociable... L'image du centaure... Et si le cavalier fonctionne mal, comment avoir un cheval qui fonctionne bien. Mettez un cheval qui fonctionne bien avec un cavalier qui fonctionne mal et rapidement, le cheval à son tour se mettra à mal fonctionner. Cela fait d'ailleurs le bonheur des marchants de chevaux.

Bien cordialement à tous

Message édité par: JPhL, à: 2006/08/04 14:49

Je fais à nouveau une pause dans ma "rédaction pour Dolmata", mais suite au message de Jean-Philippe, il me paraît utile d'affirmer "dans la foulée" que pour moi, les notions de "fonctionner bien" ou "fonctionner mal" sont tout à fait inappropriées dans le contexte et que j'y adhère aucunement...

Cordialement, Peteris

Peteris,
je n'arrive pas à suivre avec tout ces messages très longs,
mon propos était que le cavalier proposé au début de cette discussion est un peu déséquilibré en arrière et se retient aux rênes, alors que le buste de catherine parait en équilibre, et elle ne se retient pas au rênes.
Vous faites passer votre trait entre la nuque et le milieu du bassin pour montrer un angle comme si elle était juste posée sur ses ischions, en ignorant qu'on repose aussi sur nos fesses dans le toussequin, ce qui ramène votre ligne près de la verticale.

Voilà.

Cette conversation devient trop technique pour moi.

Cordialement, Marie

(par DORANGE marie)

il me paraît utile d'affirmer "dans la foulée" que pour moi, les notions de "fonctionner bien" ou "fonctionner mal" sont tout à fait inappropriées dans le contexte et que j'y adhère aucunement...

Mon cher Peteris, je ne comprends pas bien ta réponse... Mais, cela doit être normal puisque je ne suis le fil de cette discussion que de très loin, en diagonale, par manque de temps en ce moment, comme je l'ai déjà indiqué...

Cordialement à tous

DORANGE marie écrit:

je voudrais bien croire vos arguments Peteris, mais alors pour moi, il manque une photo dans cette série :
Un cavalier avec le buste en arrière de la vertical tel que vous le préconisez et montant en légèreté.
...
Hello Peteris,
would you have some pictures of riders sitting with the body backward from the vertical and with loose reins,
...

Chère Marie

Désolé pour cette incompréhension de ma part, mais je n'ai pas lu dans vos propos antérieurs que vous pensiez que le cavalier sur les photos proposées par Guillaume était "en déséquilibre en arrière" plutôt qu'en "équilibre arrière assez prononcé"...

Pour ce qui est de la tenue des rênes, quelque soit le "positionnement d'équilibre" sur une photo,(en avant de la verticale, à la verticale ou en arrière de la verticale), a priori, un cavalier confirmé peut à sa guise détendre ses rênes ou les tendre à son gré sans pour autant "s'y retenir pour maintenir son équilibre", et je ne vois pas pour ma part ce qui vous porte à penser que le cavalier sur les photos proposées par Guillaume se "retiendrait aux rênes" ???

Pour ce qui est des "repères de verticalité et d'inclinaisons du buste" que j'ai traçé sur la photo de la page 5, sur celle de Catherine comme sur celle de Michel Henriquet, ils sont tous et de la même façon en rapport avec la même charnière fonctionnelle qui est toujours mise en jeu dans les allures, à savoir la hanche, et cela quelque soit la "morphologie individuelle" ou par exemple la forme de la selle...

Si l'on prend des repères, autant prendre ceux qui sont pertinents d'un point de vue "biomécanique" :-)

Cordialement, Peteris