épaule en dedans (Shoulder In) //
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Bonjour à tous
peut-être une erreur alors comprendre basculement du bassin la pointe de la fesse s'abaissant.
Merci.
Cordialement pierre
C'est ce que j'avais compris. Donc, rétroversion. ;)
(par Jean-Philippe)
Cher Pierre
Merci pour Votre intervention
je présume que si vous écrivez des "choses fausses",
c'est intentionnellement...
P.K.
Mesdames et Messieurs,
je pense n'être qu'un "oiseau de passage" mais, taquiné par l'intervention de mon amie Catherine sur un autre sujet, j'ai fait un détour parmi vous.
J'ai visité différents sujets du forum, et je constate que d'une manière générale, les intervenants se déchirent au lieu de se rassembler autour de leurs points communs ;
l'équitation "officielle" a de beaux jours devant elle, puisque "les héritiers" de la belle Equitation se querellent sans cesse comme le firent, en d'autres temps, d'Aure et Baucher (pour des raisons en marge, parfois, des sujets équestres.)
Loin de moi l'idée de donner la moindre leçon.
Je suis surpris que dans ce sujet il n'y ait pas insistance sur ce qui fait l'EED légère ; là où j'attendais des termes tels "inciter, puis laisser faire", "descendre immédiatement les aides et observer" j'ai plutôt trouvé des notions absconses susceptibles de réveiller les querelles.
Or, le principal écueil de l'EED, c'est quelle génère chez le cavalier une nette tendance à appliquer ses aides au détriment de la légèreté. C'est encore plus vrai avec l'appuyer.
Et l'important est là.
Personnellement, je ne fais pas la même lecture que Sylvie quant à l'EED de La Guérinière (qui codifia l'EED imaginée, peut-être en premier, par Newcastle) ; je crois que les plans contredisent les écrits.
Je ne pense pas qu'un postérieur qui chevale au delà de son vis-à-vis sorte du polygone de sustentation (si j'ai bien lu) parce que ce postérieur décrit un des quatre points du quadrilatère, qui devient simplement un quadrilatère croisé ; il n'est pas écrit que le polygone doit être un parallélogramme.
En outre, je ne crois pas que les EED actuelles soient celles où l'on croise les postérieurs, mais davantage celles ou les postérieurs vont d'une piste tandis que les épaules s'affairent...
Mais, si mon point de vue est divergent, celui de Sylvie m'enrichit plutôt qu'il me crispe, et je cherche à comprendre sa réflexion ; après, je fais ma propre synthèse, et c'est tout.
J'avoue apprécier particulièrement les réponses de M. Katz, et j'aurais apprécié pouvoir sereinement échanger mes expériences avec les siennes, avec les vôtres, avec celles de tous.
Il manque à ce forum une présentation filmée de chacun des intervenants ; si je montre mon cheval léger dans ses évolutions,ce que je dis est peut-être digne d'intérêt, après tout....
C'est dommage, il y avait tant de sujets à explorer tous ensemble.
. La tenue des rênes à l'ancienne...
. l'effet d'ensemble contredit-il le "main sans jambes..."
. la rêne agissante doit-elle être placée plus haut que la rêne limitante...
. pourquoi Oliveira a-t-il écrit que "ceux qui condamnent les rênes allemandes ne sont pas capables de dresser n'importe quel cheval..."
. Comment distinguer le gymnase du dressage...
. les aides décomposantes et confirmantes....
. que signifiait Oliveira par "pour rassembler, il ne faut pas chipoter"...
. pourquoi Oliveira, que j'ai pu longuement contempler, montait-il pratiquement toujours avec sa main intérieure placée plus haut, au galop....
bref, tout un tas de sujets passionnants et qui n'ont pas besoin de ces polémiques qui ne servent que ceux qui, pensent que la légèreté est une chimère...
bien à vous.
il y avait tant de sujets à explorer tous ensemble
Il y A tant de sujets à explorer tous ensemble.
Le forum, ce n'est pas Allège Idéal. C'est un espace mis à la disposition de tous par l'association parce que, comme vous le dites vous-même, l'échange de points de vue, même divergents, est enrichissant.
C'est vrai que certains échanges contiennent des propos peu amènes, que leurs auteurs regrettent parfois après coup, une fois le mouvement d'humeur passé. C'est dommage effectivement que ces échanges masquent tout le reste : si on regarde le nombre d'intervenants plutôt que le nombre de messages, on s'aperçoit que les "héritiers" ne sont pas tous en train de s'entre-déchirer.
D'autant, qu'Allège compte des adhérents très actifs sur le terrain mais peu présents sur le forum.
Tout ça pour souhaiter que vous mettiez de côté cette première mauvaise impression et que vous nous proposiez sur ce forum les sujets bien intéressants que vous avez évoqués.
laissez-moi citer Leonard De Vinci :" L'idée, c'est à dire l'imagination, est le gouvernail et la bride des sens, dans la mesure où c'est la chose imaginée qui met le sens en branle ." Effectivement, la bride de mon imagination m'a fait omettre qu'un polygone de sustentation n'était pas forcement un parallèlogramme, vous avez raison.
Merci de votre message intelligent et pacifiste.
Sylvie
Or, le principal écueil de l'EED, c'est quelle génère chez le cavalier une nette tendance à appliquer ses aides au détriment de la légèreté. C'est encore plus vrai avec l'appuyer.
Et l'important est là.
L'épaule en dedans, c'est trois points fondamentaux :
- Une incurvation constante de la 1ère cervicale à la dernière coccygienne.
- Une obliquité qui peut varier en fonction du cheval et du problème que l'on cherche à régler.
- ET UNE CADENCE ! Et cette cadence doit être décontracté, LEGERE. La légèreté est gage d'équilibre.
(Propos de M Henriquet, hier, quand nous étions chez lui avec des cavaliers de mon site...)
Kenaz, en visionnant de nombreux films de N Oliveira (et là, je suis jaloux, envieux !) a constaté qu'il rapproché incurvation et obliquité : cheval moins incurvé avec moins d'obliquité et cheval plus incurvé avec plus d'obliquité... Cela semble d'ailleurs normal. Me trompe-je, mon cher Kenaz ?
L'EED est l'aspirine de l'équitation, mais elle peut être également sa ruine. On ne peut assouplir que ce qui est décontracté.
Donc,c'est cette sensation de décontraction de votre cheval qui vous dira quand commencer l'EED. Et cette sensation de décontraction doit être conservée tout au long de l'exercice, sous peine de ruiner l'effet recherché. Si votre cheval se crispe, arrêtez, repartez en cercle, recommencez, changez-lui les idées, etc. Mais, surtout, ne continuez pas !
Moi, je les commence sur une diagonale partant de C, vers V.
J'utilise également l'image de la rotation de la tête du cavalier (regarde par dessus ton épaule...) pour l'aider à sentir le mouvement du buste, sachant que cet indicateur n'a d'autre objectif que d'obtenir la bonne orientation du buste du cavalier.
Bonjour à tous
"- Une incurvation constante de la 1ère cervicale à la dernière coccygienne.
"
ça c'est impossible.
cordialement pierre
Bravo, vous savez que les sacrées sont soudées entre elles ! ;-)
Quant à la flexion latérale de la queue...
Blague dans'l'coin, comme on dit d'part chez nous, c'est une image, bien-sûr. Pour que le cavalier soit attentif à l'excès de pli de l'encolure...
Pouuuuu, faut faire attention à c'qu'on dit ici... ;-D
Bonjour à tous... Toujours en vacances... Pas trop le temsp d'intervenir. Mais, je lis !
Une question à Pierre : qu'entends-tu par "antéversion".
L'antéversion est la bascule du bassin obtenu par relachement des abdo et fessiers et tension des muscles de la colonne.
La rétroversion est la bascule du bassin veres l'avant,
obtenue par contraction des abdomonaux et des fessiers.
Enfin, si mes souvenirs de jeune et bel étudiant sont exactes...
Je pense donc que tu voulais parler de rétroversion.
Bien amicalement à tous
Jean-Philippe
(par Jean-Philippe)