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rencontre 15 avril

83 réponses [Dernière contribution]
ANDUZE-ACHER Sylvie
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Merci M.Farnault : je suis ravie d'avoir pu lire d'une manière claire et courtoise l'expression de ce qui est aussi ma façon de penser.
Il existe sans doute moult chemin pour atteindre un même objectif, et c'est l'essence même de cet objectif, une fois bien définie, qui guidera chacun dans le choix de sa voie pour y arriver.
Personnellement, je n'ai plus envie qu'on me dise ce que je dois faire, je préfère que l'on me renvoie " le manque à corriger"dans un effet miroir, et que ma sensation s'éduque, me permettant ainsi de progresser vers, et dans l'autonomie.
Voici donc, à mon sens bien sûr, qu'il serait mieux de proposer plutôt qu'imposer.

Sylvie Anduze-Acher
coordinatrice Midi-Pyrénées

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006

M. Henriquet prône les mains absolument basses et de ce fait courtes, avec un contact qui s'avère du coup assez dur avec la bouche du cheval

Philippe,

Je remets la respiration des rênes dans leur contexte ! C'était pour répondre à Mary (de mémoire, qu'elle me pardonne et rectifie si je me trompe...) qui faisait un raccourci entre mains basses et "un contact qui s'avère du coup assez dur avec la bouche du cheval". Ce qui est faux !

Pour le reste, moi qui suis un modeste cavalier, j'ai malgré tout, je pense, les rênes qui respirent, sans pour autant que "la "respiration des rênes" soit la conséquence du rassembler correct des chevaux" que je monte et qui n'ont rien à voir avec ceux "présentés par Mme Catherine Henriquet et intéressant le haut niveau compte tenu de l'expérience à posséder."

Quant au travail d'Irmine, je la laisserai répondre, si elle le souhaite. Je rajouterai simplement que, si je l'avais connu un peu mieux, je ne l'aurai jamais laissé aller au casse-pipe en montant dans les conditions dans lesquelles elle ait monté ! Je rappelle que "nous étions au mois d'avril de son année de 4 ans" (pas pour Irmine mais pour la jument...) ! Alors, la laisser monter sur la carrière centrale, sans liste, entourée de parcs dans lesquelles se trouvait un certain nombre de chevaux donc beaucoup d'entiers, le tout sans détente préalable à la longe par exemple, alors qu'un superbe manège était à sa disposition, c'était effectivement l'envoyer au casse-pipe.

Alors, ensuite, il est facile de diserte sur ce qui n'a pas été et sur ce qu'il aurait fallu faire ! Moi, si j'avais été son enseignant, je l'aurais envoyé manu militari dans le manège et je lui aurais fait longer la jument avant de la monter ! Et les choses se seraient peut-être passées différemment ! Je lui ai suggéré, c'est sûr, mais ne la connaissant pas, je n'ai pas insisté !

Message édité par: JPhL, à: 2007/05/26 12:22

 

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006



Message édité par: JPhL, à: 2007/05/26 12:19

 

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

En relisant le texte que j'ai écrit précédemment je me rends compte que je n'ai donné aucun conseil sur ce qui aurait dû se faire ce jour.

Mes remarques pour une éducation mieux structurée d'un jeune cavalier intéressent éventuellement le projet du "manifeste pour l'enseignement" d'Allège-Ideal.

Concernant Irmine: elle n'était pas à cheval lorsque j'ai pu observer ce que j'ai écrit plus haut. Jean-Philippe, j'aime beaucoup la façon que vous avez de faire bouillir la marmite… "On se fera une bouffe" une autre fois.

Amicalement.

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006

Avec plaisir ! ;o)

 

x
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonjour à tous

Si c'est ça l'enseignement des grands, alors y'a du souci à se faire

Pierrex

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006

Très bonne critique, mon cher Pierre... Bon, question argumentaire, c'est un peu léger. J'attendrais mieux de vous si vous étiez un de mes élèves : faite toutes les remarques que vous jugez bonnes de faire, mais justifiez-les, que je vous dirais. Ça, c'est ce que je dis tjs à mes élèves, même de 6ème, et qu'ils font fort bien malgré leur jeune âge (11 ans environ...) ;o)

Alors, justifiez et vous aurez peut-être raison dans votre analyse, je ne demande qu'à vous croire. De plus que je n'ai regardé qu'une vidéo dans laquelle MH parle de l'équilibre Pradier, Pradier : docteur vétérinaire spécialiste de la locomotion équine.

Donc, au prime abord, je ne demande qu'à vous croire, si vous justifiez... Question "équilibre Pradier" par contre, je suis d'accord avec ce que j'ai vu et entendu : la cadence lente dans ce travail d'étirement. Là, M Henriquet rejoint le Dr Pradier dans son analyse. Ce qui prouve d'ailleurs son ouverture d'esprit. Il est prêt à croire si on lui explique et démontre. Ce qu'a fait Pradier. À vous de faire maintenant !

 

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

Pierre x,

Il n'est pas possible de mettre en doute la transmission du savoir de Mr Michel Henriquet à partir de ce que j'ai écrit.

L'influence de la présence du public est seule responsable du comportement de la jeune élève. Celle-ci a privilégié l'image que le public pouvait recevoir d'elle avant le bien-être du jeune cheval. La jeunesse des deux n'était certainement pas compatible ce jour là.

J'ai souhaité donner simplement un témoignage utile, peut-être choquant, pour rendre service à quelques lecteurs. La légèreté des doigts n'est pas suffisante, et ne peut être que le résultat d'un comportement général du cavalier.

Maintenant, un élève surtout jeune n'est pas le miroir systématique de son maître. Le danger de l'élève consiste à copier sans avoir assimilé auparavant le fonds de l'enseignement qu'il reçoit. Ceci est un forum: difficile à transformer en cours d'équitation.

Je remets volontairement cette phrase: Il n'est pas possible de mettre en doute la transmission du savoir de Mr Michel Henriquet à partir de ce que j'ai écrit. Sinon, je le regrette sincèrement.

Bye.

x
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonjour à tous

Philippe, si vous permettez, rassurez vous vous n'y êtes pour rien.

A mon sens une telle journée devrait apporter le meilleurs alors comment des personnes si hautement qualifiées peuvent-elles laisser une jeune cavalière aller au casse-pipe (c'est pas moi qui le dit) des mots forts sont employer alors qu'en est-il vraiment ?
Quelque chose m'échappe.

Pierrex

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006

Pierre, celle qui a été envoyée au casse-pipe est Irmine, la cavalière habituelle de la jument. Philippe veut parler, et j'avais oublié ce passage, de la cavalière qui a monté quelques instants la jument pour qu'Irmine la remonte après.

Quant à Irmine, qu'elle me pardonne ce que je vais écrire, mais ce n'était ni à Catherine, ni à M Henriquet de lui dire d'aller dans le manège, de détendre à la longe. Il y avait d'autres personnes sur place qui auraient dû s'en charger. J'ai essayé de lui suggérer, mais sans effet.