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rencontre 15 avril

83 réponses [Dernière contribution]
Mary
Déconnecté
Inscrit: 31/08/2006

Un cheval à l'arrêt peut être en impulsion et calme.
C'est vrai que l'impulsion et le mouvement en avant ne sont pas assimilables...

dolmata
Déconnecté
Inscrit: 11/05/2006

juste par curiosité
le calme en avant et droit vous le considérez comme un prérequis ou comme un but à atteindre

DELESPAUX Vincent
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Si c'en est un, c' en est un sacré de prérequis!! Dans votre entourage, dans les manèges, vous en voyez beaucoup des chevaux calme, en avant et droit??
Pour ma part, ce n'est ni un but en soi ni quelque chose d'acquis une fois pour toute! C'est une pensée constante, un souci permanent quel que soit le travail, une base à créer lors de chaque séance, à conserver au fil du travail. C'est un état d'esprit.

Vincent Delespaux
Coordinateur AI Benelux

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006

Au fait jean Philippe, pour la phrase, tu a ma permission, mon garçon.

Merci Jacques, tu es un père pour moi... Et je ne parle pas que de notre différence d'âge ! ;o)

 

Mick Hunter
Déconnecté
Inscrit: 02/05/2006

Après de très longues et difficiles recherches au microscope
on a retrouvé la très glorieuse contribution équestre
de Catherine Durant Henriquet et Michel Henriquet,
A la faveur d'une Interview des Courageux Héros Héroïque
de la revue "Le Stick".

Catherine Durant et Michel Henriquet ont présenté leur désormais célèbre technique,
plus qu'une technique, le meilleur du meilleur de leur science de tous les temps
en Haute Ecole :

- Le Ranger de Licol.

Fait plus extraodinaire, lors de la présentation du "Ranger de licol"
par les très Grand Maîtres Ecuyers de Belle Equitation de tous les Temps du Monde
Entier,
aucun cheval n'aurait été blessé ce jour là.
On croit,
On espère.
On sait pas.

Mary
Déconnecté
Inscrit: 31/08/2006

Bien, je vous remercie beaucoup du temps que vous m'accordez M. ***. Cette question des masses me parle : la personne qui m'instruit est un ami de Dominique Ollivier, ingénieur et cavalier qui a mis la science au service des cavaliers. Donc certes la transition du travail à pied au travail monté est très délicate. Est-ce que vous seriez d'accord pour dire qu'il s'agit (dans mon exemple précis que je détaillerai après) du passage d'un référentiel essentiellement cognitif à un référentiel moteur (ou physique)?

En réalité je pratique habituellement peu le travail à pied en dehors des flexions ou de l'apprentisage de certains exercices délicats à aborder monté comme le reculer (en effet mon cheval recule à pied avec le toucher de mon index sur ses ars, côté gauche ou côté droit) ou les jambettes. Je pratique par contre beaucoup les longues rênes (en direct et en indirect) qui donnent des renseignements précieux sur la locomotion du cheval.

Pour ce dont il est question (passage des jambettes au pas espagnol) mon cheval effectue des foulées de pas espagnol avec ma présence en face de lui, ma main fermée sous son menton lui donnant la hauteur de nuque et mes propres pas qui reculent alors que lui avance. Il n'y a aucune autre sollicitation...
Monté, je peux lui donner la hauteur de nuque qui déclenche les jambettes (rêne légèrement diagonalisée), mais une sollicitation d'éperon ou de stick ne déclenche pas d'engagement du posterieur correspondant. Si on met une aide devant lui qui recule à mesure, cela déclenche les foulées de pas espagnol, mais ensuite...
Sur l'idée que ma main s'oppose à ma jambe, c'est fort probable : je n'ai jamais monté de cheval mis au pas espagnol et il me semble que l'extension de l'anterieur doit être accompagnée d'une bonne avancée de la main (?).
Pour l'heure j'avais décidé de laisser cela de côté sachant que cela vient parfois lorsque nous travaillons autre chose et que cela le met dans la posture favorable pour, j'exploite alors ce qui vient et nous avons parfois une ou deux foulées.
Nous amorçons en ce moment la diagonalisation du pas vers le piaffer et après observation des images, il apparaît que les foulées se désynchronisent parce que mon cheval engage beauoup plus les postérieurs sous la masse qu'il n'élève ses antérieurs. Je pensais que l'apprentissage du pas espagnol l'aiderait pour le piaffer, mais je serai patiente...
Merci pour la piste à suivre.
Cordialement
Maryane

Message édité par: masterai, à: 2007/11/24 18:59

dolmata
Déconnecté
Inscrit: 11/05/2006

Mary
nous rencontrons le même problème pour le piaffer
voir sujet sur temps de suspension
sur l'avancée de la main pour le pas espagnol
on peut remarquer sur certaines photos de Nuno oliveira que c'est une possibilité en revanche la main est soutenue du côté du membre qui se lève
par ailleurs on peut aussi remarquer à partir du documentaire qui est passé sur équidia que la jambe opposée agit de manière à travailler avec le postérieur
l'indication n'est plus ensuite que donnée uniquement par la jambe car NO n'utilise qu'une main (sur Euclide) qui reste soutenue mais l'ordre vient de la jambe

dolmata

Mick Hunter
Déconnecté
Inscrit: 02/05/2006

Oh my God! Michel an Catherine Durant Henriquet The Master Ecuyer of the World ,
AFter 1 month of hard developping photoworkshop,

Doing absolutly doing nothing,
oh such incredible great great work exploit
of the best of the world best !!!!!!!!!!

Post edited by: Mick Hunter, at: 2007/05/15 18:41

x
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonjour à tous

Ils nous tournent le dos :-)

-----

Je ne maîtrise pas l'anglais mais j'me soigne, alors petit à petit ...

Pierrex

Message édité par: MEIER, à: 2007/05/15 21:34

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

***,

Associer l'équitation et la physique (même élémentaire) ne me paraît pas un mariage heureux.
Les lois du mouvement de Newton peuvent-elles s'appliquer à deux corps en mesure d'équilibrer consciemment un effort par un autre, ou de l'esquiver?

Au sujet de la " barrière qui recule" (une faute de frappe certainement): le Général Decarpentry parlerait de "faute du dresseur contre l'impulsion", et pour ne pas influencer plus "les ceusses qui tirent" pour reculer, je crois qu'il vaut mieux démentir et parler de "barrière qui se ferme" face à l'impulsion qui fait alors machine arrière. L'honneur de la légèreté que vous aimez sera sauf, et moi tranquille.

La "physique élémentaire" doit faire place à l'école élémentaire où le cheval apprend à apprendre. Une école où le cheval répond par éducation ("avant que vous n'arriviez au contact le cheval recule" : excellent, si développé dans l'idée précédente.). Auparavant la physique était nommée "la philosophie naturelle", jolie expression qui ferait presque oublier que des forces sont en jeu si on en fait l'étude. Par exemple, le jeune cheval à qui l'on appuie sur la hanche, pour lui demander de se pousser, répond par une force contraire en venant vers son dresseur maladroit. Plus tard son éducation le fera aller dans le sens indiqué par la pression. Mais est-ce de la physique? Une école de la sagesse, oui.

Amicalement.

Message édité par: masterai, à: 2007/11/24 19:01