La main fixe ; mais encore .....

Daniel, qu'il s'agîsse d'un cercle avec une seule main ou autres...j'écris beaucoup de choses ici et parfois de facon assez affirmative. Je le fais car je n'ai pas une expérience qui m'autorise à le faire mais une expérience, si pauvre soit elle, qui m'oblige à le faire.

Quelqu'un qui me lit et qui n'a jamais entendu parler de ce que je raconte (et il y en a beaucoup je crois) est en droit de ce demander: mais où a t'elle trouvé tout ca? Dans un "Kinder-surprise" ou est-ce vraiment fondé?

Bien à vous
Pascale

Hello,

Bruno,

Lorsque nous disons "art", nous suggérons "sentiment", voire "talent", et nous risquons de créer des chimères là où le travail suffit.

Faire sentir que tout cela est du domaine du possible, qu'il ne s'agit pas d'un mystère détenu par une élite, bref donner l'envie d'avoir envie.

"Fastoche, si tu te donnes le temps."

Qu'est-ce qui est impossible si on se donne le temps ?

Qu'est-ce qu'il y a de pire que de contempler Oliveira et de se dire : "ça, c'est pas pour moi."

Or, Oliveira, c'est 90% de travail, 10% de talent. Presque un "Monsieur tout le monde."

Réjouissons-nous !

Bye

Message édité par: xavier, à: 2010/03/25 13:52

Vite fait entre deux changements de brouette au temps,

Xavier, excusez moi, je ne peux pas m'en empêcher:

Faire sentir que tout cela est du domaine du possible, qu'il ne s'agit pas d'un mystère détenu par une élite, bref donner l'envie d'avoir envie.

Oui, N. Oliveira était un "homme de manège" .

:-)
Pascale

Bonjour toutes et tous,

Je ne peux participer à cette discussion incompréhensible pour moi.

Cependant, Xavier:

Or, Oliveira, c'est 90% de travail, 10% de talent.

Le culte des pourcentages est une dangereuse addiction...

Amitiés,
Jean M

Bonjour Jean .. mais oui vous pouvez participer .. ne fussent que pour dire ce qui est imcompréhensible ou se qui vous semble pas exact ....:-))))))

Xavier,
Vous et d'autres me prêtez souvent des intentions.
Du travail, oui, ai-je déjà dit ou écrit le contraire ? Votre histoire d'élites : n'ai pas de mon fait.

Du travail bien sûr mais à condition qu'il soit rigoureux, bien orienté, juste, contrôlé, correcteur, etc.

Hors ces exigences: point de salut.

Cordialement, bruno

Tout ce debat du comment pourquoi de la main fixe...depuis des semaines.

La main fixe, c'est la main qui sait et qui se controle, dont tout les mouvements, actions, deplacements sont volontaires et non pas accidentels.

Apres cela il y a la main fixe qui est douce, genereuse, patiente, joueuse, creative.

Ou la main fixe qui tire , resiste, etc...

Evidemment la legerete ce preocuppera plutot de la premiere version de la main fixe et le Rollkur de la seconde.

Il n'y a pas de recette magique, la pratique, l'equilibre du cavalier, equitation centree, les epaules detendues, c'est ce qui donne au cavalier les atouts de la main fixe.

Merci Sandra,

La main fixe, c'est la main qui sait et qui se controle, dont tout les mouvements, actions, deplacements sont volontaires et non pas accidentels.

J'approuve complètement.
Aprés, il reste à l'enseigner avec tous les chevaux possibles et imaginables. Donc autant de mains-fixe que de légèretés que de chevaux.

Amicalement
Pascale

hello,

Bruno,

"Vous et d'autres me prêtez souvent des intentions."

Ah non, pas une seule intention, je vous assure ; lorsque je mets votre prénom, c'est parce que je réponds précisément à un de vos messages, car beaucoup d'interventions se croisent.

Rien de plus. Par conséquent, je confirme que vous n'avez jamais écrit le contraire "Du travail", et pour les élites, et bien, elles ne s'adressent à absolument personne en particulier, d'autant plus que ces élites n'existent pas (surtout du point de vue du talent.)

"Du travail bien sûr mais à condition qu'il soit rigoureux, bien orienté, juste, contrôlé, correcteur, etc."

Et bien, pas mieux.

Jean,

Michel, c'est 99 % de travail ! Devinez qui le dit....

bye

Ouf!

Il m'a semblé que Bruno de la Bonnelière ait fait allusion au commandant de Salins.

Ce derniet met en avant le cinquiéme effet de rêne, la reine des rênes, laquelle est prétendue briser toute résistance.

Je note qu'aujourd'hui, les troisième, quatrième et cinquième effets sont jugée démodés, voire bannis de l'enseignement...

A coup sûr parce qu'ils exigent, de façon absolue, la main fixe!

Quand Pascale Berthier propose le tourner sur une seule rêne intérieure, le texte et les photos montrent qu'elle fait usage d'une rêne d'opposition (en direction de la hanche du dehors), à coup sûr parcequ'elle à la main fixe!

Quand René Bacharach, bien que bauchériste déclaré, dans un retour au classique, propose un usage simplifié des rênes, avec la "rêne du pli" qui céde la place à la "rêne du tourner" (cette dernière est magnifiquement décrite par Decarpentry, note en bas de la page 51), force est de penser que la rêne dite du pli, obligatoirement d'opposition dans la description qu'il en fait, suppose que Bacharach avait la main particulièrement fixe.

Quand Jean MdB déclare ne rien comprendre à nos propos, il nous prouve qu'il à la main fixe!

J'irai jusqu'à dire que les rênes allemandes ne sont pas nocives avec une main fixe... C'est à dire qui est capable de s'en passer!

Etc..Etc...

A bientôt,

Christopher