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De la main

243 réponses [Dernière contribution]
Théophile Pamphlet
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Inscrit: 26/08/2008

 Théophile Pamphlet 

 

 

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Inscrit: 29/01/2011

Menage toi Theo, je n obtiendrai jamais bien entendu quoi que ce soit dans les piliers et pour cause :) pour le reste , tout ne va pas si mal :)
Tu lis a ta maniere, et certains a la leur, et alors........

Christopher Cunningham
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Inscrit: 24/06/2007

Bonsoir,

Le jour où j'ai vu mon chat venir à moi du fond du jardin, au pas tranquille, et que j'ai pu observer les mouvements latéraux de sa colonne vertébrale en regard des déplacements de ses pattes, j'ai compris ce qu'était la base de la bonne main, des bons coudes, des bonnes épaules (cf: le post de C. Carde) et de la relations entre deux colonnes vertébrales. Les chats exagèrent volontairement dans un but pédagogique.

Je remercie mon chat de m'avoir appris ce qu'était la bonne main.

Tout le bla-bla sur la main me semble inutile à ceux qui ne sentent pas tous les mouvements de la selle. Une bonne nouvelle: Cela s'apprend!

Les bouquins me semblent d'aucune utilité si l'on a pas observé tout ce qui se meut à quatre pattes et si l'on en a pas fait une base d'étude en selle.

Christopher

Théophile Pamphlet
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Inscrit: 26/08/2008

 Théophile Pamphlet 

 

 

 

 

VOCHE Jacques
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Inscrit: 17/03/2006

Il est bien ce Théophile Pamphlet...dommage qu'il n'intervienne pas plus souvent pour remettre en place toutes les....( tu c'est ce qui sont pas loyaux dans les débats )

...
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Inscrit: 29/01/2011

la logique voudrait que le travail au pilier, la cabriole ,  qui vient apres, chez LG, celui du trot hardi qui donne le juste appui ne soit pas avancé pour demonter que l appui est mauvais. n est ce pas Theo ;) heureusement qu on ne met pas les chevaux a la cabriole pour les faire trotter comme il faut, comme logique , il y a mieux.......
Tout le reste n est que baratin oiseux.
Doit on rappeler que faire flechir les posterieurs en bloquant le cheval sur place; dans les piliers evacue  totalement la question de la transmission des forces au travers d un corps en mouvement, et que si on a abandonné ces pratiques, c est bien qu elles ont des limites , mais il faut reflechir un peu pour les mettre en evidence !.
Ce  n est absolument pas le probleme du dressage d aujourd hui qui se deroule rappelons le pour ceux a qui cela aurait pu echapper, trop preoccupés par la bouche de leurs chevaux,  aux trois allures :)
D ailleurs a la lecture de " Equitation totale" de JCR , on se demanderait  meme si celui ci , qui preconiserait si j ai bien lu,  un basculement permanent du bassin, donc finalement une sorte de blocage d une partie du dos, en preconisant la mobilisation permanente de la charniere lombo sacrée ???????comme attitude de travail de base ????????? ( on se demande bien comment un animal peut s en sortir sans dommages , voir le chat de CC ) n est pas vraiment passé a coté de cette question...

KATZ Yves
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Inscrit: 17/03/2006

 Mr Pamphlet,
Que n'êtes vous venu nous présenter votre travail lors de la rencontre pédagogique du 18 Mai? Cela aurait toujours eu plus de valeur et de poids que vos trop fréquentes réflexions négatives.................
Quant aux lectures des uns et des autres, attention à l'interprétation personnelle que vous en faites. Assurez vous que vos chevaux en sont les meilleurs interprètes; Sachez vous en référer à eux ,après avoir pris la peine de sentir, puis de lire......................

Amicalement, yves KATZ http://educaval.forum-pro.fr/

FARNAULT Philippe
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Inscrit: 25/07/2006

 Bonjour,

 
Quant aux lectures des uns et des autres, attention à l'interprétation personnelle que vous en faites." Yves Katz.
C'est évident et cela restera un éternel problème. Seulement votre phrase, Yves, ne nous aide pas à y voir plus clair dans ce sujet...

Je n'ai pas trouvé Théophile Pamphlet négatif sur ce coup là... On peut chacun donner son opinion.

 Je retiens l'essence de son intervention dans cette phrase "  Autoretenue, accompagnée obligatoirement par l'auto-impulsion. " 
L'exemple du cheval dans les piliers " préparé et livré à lui même " est parlant, et peut servir de guide à qui veut s'approprier pour lui-même cette observation ancienne. 

Amicalement.

upwelling
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Inscrit: 23/11/2011

 les aides de retenue et les aides propulsives sont interprétées tres différemment par Pluvinel et par la Guerinière , et comme il faut toujours etre prudent de replacer un texte dans un contexte , les précautions que Pluvinel donne pour les aides de retenue sont à prendre dans le contexte propre à Pluvinel  ..

et pour revenir au texte de l'ecole de cavalerie , le contexte reste aussi que c'est un ouvrage écrit sous la Régence pour une classe sociale supérieure ou pour le moins spécifique  , s'inscrivant dans une tradition , qui ne s'encombrait pas d'un certain nombre de taches basiques  , et qui consent de monter un cheval  (en bride )  une fois que le groom l'a assoupli sur le bridon ... 

 

nelly valère
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Inscrit: 10/09/2011

"La notion d'appui

La notion d’appui est, on le voit par la répétition du mot dans le texte tiré de la thèse vétérinaire (Valérie Delavenna, Lyon 2006), une notion primordiale. Il se trouve que cette notion fait, dans le domaine équestre, l’objet d’une grande diversité d’interprétations dont on trouve bien des exemples dans les traités des plus grands maîtres, comme dans le vocabulaire équestre de nos contemporains.

En effet, lorsque nous, cavaliers des temps modernes, parlons d’appui, nous parlons de l’appui de la bouche du cheval sur le mors : nous disons que le cheval s’appuie. Les Anciens, eux, disaient, dans ce cas, que le cheval pesait à la main, ou tirait, suivant la direction des forces. On trouve cependant à cette époque-là l’expression « le cheval a trop d’appui », ce qui confirme la possibilité de confusion.

La Guérinière définit ainsi l’appui : « apui : c’est le sentiment que produit l’action de la bride dans la main du cavalier, et réciproquement l’action que la main du cavalier opère sur les barres du cheval », avec plus loin, ce qui est peut-être une distinction : « les chevaux qui ont trop d’apui sont ceux qui s’apesantissent sur la main ».

Il y a là deux notions différentes d’appui, puisqu’il y a réciprocité, à savoir :

  • Un sentiment dans la main (nous dirions « ressenti », donc passif) qui est donné par l’effet de la bride agissant sur les barres, et qui, en toute vraisemblance, varie suivant la qualité ou la force de résistance de la bouche du cheval au poids ou à la pression. Quelle est la direction de la force (même minime) « ressentie », quelle est sa source ? La question reste posée, me semble-t-il.
  • Une action de la main, manifestée par l’application d’un appui du mors sur la langue et les barres, appui dont la force varie en fonction de la bouche du cheval et de la finesse de la main.

Ainsi La Guérinière parle-t-il de bouche faible qui fuit l’appui du mors sur les barres, de bonne bouche ferme et légère qui accepte l’appui « à pleine main », et de bouche dure qui s’appuie sur la main : où l’on voit que la notion d’appui était pour le moins duelle. Il semble bien que nous n’ayons gardé de ces notions, que la dernière."

Ce passage d'un texte que j'ai écrit pour Cheval-Savoir tente de cerner la notion d'appui dont, une foid de plus, on ne peut pas faire l'économie si l'on veut appuyer ses convictions sur les écrits des maîtres pour les valider. La difficulté est de lire de façon analytique sans a priori et de ne pas mettre de côté ce qui ne convient pas aux idées auxquelles on tient.