départ au galop
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Bonjour à tous
Peteris. Nous ne sommes pas toujours d'accord mais là, pas de problèmes.
Pourquoi un jeune cheval ne connaissant pas grand chose au langage des aides répondrait-il mieux à un bavardage complexe (aides multiples) plutôt qu'à un seul mot (aide unique) ?
En pédagogie on vas du :
- pratique -> théorique
- concret -> abstrait
- simple -> complexe
Par exemple agir de la jambe extérieur pour tenir les hanches du cheval n'a aucun sens si le cheval n'a pas appris la cession à la jambe isolée.
De manière général je pense qu'on a trop dans l'idée que les aides on un effet mécanique direct sur le cheval.
Simplement mon avis.
cordialement pierre
+++++ Traduction logiciel +++++ Software translation
Hello with all
Peteris. We do not agree always but there, not of problems.
Why a young horse not knowing large thing with the language of the assistances answer would a chattering better complexes (multiple assistances) rather than with only one word (single assistance)?
In pedagogy one go from:
- practical - > theoretical
- concrete - > abstract
- simple - > complex
For example to act of the leg outside to hold the hips of the horse no direction has if the horse did not learn the transfer with the isolated leg.
In manner general I think that one has too much in the idea that the assistances one a direct mechanical effect on the horse.
Simply my opinion.
cordially stone
Désolé, je n'ai pas pris le temps de tout lire. Donc, ce que je vais écrire l'a peut-être déjà été...
À travers la littérature équestre, on peut retrouver d'innombrables controverses sur la manière de faire partir son cheval au galop : les aides diagonales, les aides latérales intérieures, les aides latérales extérieures... la Guérinière écrivait que seule la jambe extérieure était la jambe du départ au galop. Ceci semble logique puisque cette jambe agit sur le postérieur extérieur qui, lui, est le premier membre du cheval a pousser au galop. Nuno Oliveira a écrit pour sa part que « l'un ou l'autre de ces procédés est bon. Ce qui est nécessaire, c'est de donner au cheval la gymnastique appropriée pour partir au galop par des aides bien déterminées. » (Nuno Oliveira in « Réflexions sur l'Art Équestre »). Ce qui importe avant tout est la préparation que l'on apporte à ce départ. Nuno Oliveira a également écrit : « De la qualité de l'allure où l'on est, dépend la qualité de l'allure qui va suivre. ». Il faut donc s'appliquer à rechercher la meilleure cadence, le meilleur équilibre possible dans la plus grande légèreté possible. Ceci permettra au cheval d'être dans les meilleures dispositions pour partir au galop. Bien souvent, il est d'ailleurs plus facile de partir au galop après une transition descendante trot/pas par exemple.
Donc, plus que les aides de demande, les aides de préparation me paraissent importantes : les jambes vont veiller au maintien de l'impulsion, de la cadence. La rêne extérieure veillera à contrôler l'équilibre de mon cheval. Elle sera donc légèrement soutenue. La rêne intérieure, quant à elle, veillera à la correction du pli. Attention de ne pas exagérer le pli du cheval au galop. La rêne intérieure sera donc plus basse, posée à la base du garrot. À partir du moment où le cheval est dans l'attitude correcte pour partir au galop, dans la bonne cadence et léger, il ne reste plus qu'à utiliser les aides exécutoires. L'échec dans les départs peut venir d'une mauvaise préparation, mais il vient également très souvent d'un cavalier qui s'oppose involontairement au départ de son cheval par ses mains qui ne laissent pas partir sa monture. Donc, il faut faire attention à ne pas se jeter en avant et à bien laisser partir son cheval en ouvrant les doigts le temps du départ.
Désolé, je n'ai pas pris le temps de tout lire. Donc, ce que je vais écrire l'a peut-être déjà été...
À travers la littérature équestre, on peut retrouver d'innombrables controverses sur la manière de faire partir son cheval au galop : les aides diagonales, les aides latérales intérieures, les aides latérales extérieures... la Guérinière écrivait que seule la jambe extérieure était la jambe du départ au galop. Ceci semble logique puisque cette jambe agit sur le postérieur extérieur qui, lui, est le premier membre du cheval a pousser au galop. Nuno Oliveira a écrit pour sa part que « l'un ou l'autre de ces procédés est bon. Ce qui est nécessaire, c'est de donner au cheval la gymnastique appropriée pour partir au galop par des aides bien déterminées. » (Nuno Oliveira in « Réflexions sur l'Art Équestre »). Ce qui importe avant tout est la préparation que l'on apporte à ce départ. Nuno Oliveira a également écrit : « De la qualité de l'allure où l'on est, dépend la qualité de l'allure qui va suivre. ». Il faut donc s'appliquer à rechercher la meilleure cadence, le meilleur équilibre possible dans la plus grande légèreté possible. Ceci permettra au cheval d'être dans les meilleures dispositions pour partir au galop. Bien souvent, il est d'ailleurs plus facile de partir au galop après une transition descendante trot/pas par exemple.
Donc, plus que les aides de demande, les aides de préparation me paraissent importantes : les jambes vont veiller au maintien de l'impulsion, de la cadence. La rêne extérieure veillera à contrôler l'équilibre de mon cheval. Elle sera donc légèrement soutenue. La rêne intérieure, quant à elle, veillera à la correction du pli. Attention de ne pas exagérer le pli du cheval au galop. La rêne intérieure sera donc plus basse, posée à la base du garrot. À partir du moment où le cheval est dans l'attitude correcte pour partir au galop, dans la bonne cadence et léger, il ne reste plus qu'à utiliser les aides exécutoires. L'échec dans les départs peut venir d'une mauvaise préparation, mais il vient également très souvent d'un cavalier qui s'oppose involontairement au départ de son cheval par ses mains qui ne laissent pas partir sa monture. Donc, il faut faire attention à ne pas se jeter en avant et à bien laisser partir son cheval en ouvrant les doigts le temps du départ.
Cher Dolmata
vous ne vous êtes pas encore exprimé sur la réponse que je vous avais adressé suite à votre message précédent.
Je reste fort intéressé par des commentaires éventuels...
Cordialement, Peteris
a ce sujet regardez bien les anciens cassetes video (il y en 4) de Jean d'Orgeix, là où il était encore jeune ( à peu près 60 ans) et c'est lui qui monte. Le départ au galop y est très bien expliqué. Il faut choisir: soit métode D'Orgeix soit les manuels. Les deux approches sont incompatibles.
bonjour,
en ce qui me concerne, je viens tard au galop, j'attends que le pas et le trot contiennent,
en quelque sorte, celui-ci.
Comme M. Katz, je rechigne à déséquilibrer un trot qui fait tomber dans le galop.
En attendant tard, j'en viens non pas à demander mais à espérer le galop en réduisant mes aides à leur plus simple expression, c'est à dire que si cela est possible, je n'utilise qu'une seule aide.
Si cela s'avère impossible, je reporte l'étude du galop.
Cette "seule" aide est la montée discrète du nombril vers l'oreille extérieure. J'ai toute conscience que cette rotation entraîne indirectement le jeu délicat d'autres aides, mais ainsi pratiquée, la demande de départ au galop reste légère, et j'obtiens de la part des quelques personnes dont je "m'occupe", le souci permanent de n'employer que le minimum d'aide (quantitativement comme qualitativement)
Ainsi, pas plus tard qu'hier soir, j'ai fait travailler ma fille (17 ans) sur la ligne droite de la manière suivante :
arrêt-départ au trot-arrêt-départ au galop-arrêt sur une orientation variable du nombril (poussée légère du nombril en avant, vers le bas et "au milieu des épaules" du cheval pour le trot, montée du nombril vers l'oreille extérieure pour le galop.
Point essentiel, je demande que le galop ne soit jamais entretenu par les aides;
je demande la transition descendante avant l'extinction de l'auto-impulsion, et je n'allonge le temps du galop qu'à mesure que l'auto-impulsion dure davantage.
Si le cheval anticipe ma transition, je fais intervenir les aides.
Voici livrée mon expérience des départs au galop.
Comme M. Katz, je rechigne à déséquilibrer un trot qui fait tomber dans le galop.
On ne peut plus d'accord. C'est là où le travail préparatoir à la longe prend toute sa signification. Mon "Va galop... Op" , qui déclanche le galop à la longe m'est très utile pour obtenir mes départs avec un jeune cheval sans que celui-ci ne perde son équilibre.
je demande la transition descendante avant l'extinction de l'auto-impulsion,
ceci me paraît également important.
Pour le départ au galop, je l'obtiens de ma jeune jument à peu près comme Kenaz le décrit (je n'utilise pas les mêmes mots mais je pense que le mouvement est analogue).
C'est le travail en balancier global sur le simulateur de Peteris qui m'a permis de découvrir cette façon de faire. Et la jument a compris tout de suite et part en équilibre sur le pied désiré.
(Et je fais des jaloux parmi ceux qui travaillent leurs chevaux depuis bien plus longtemps que moi sans obtenir ce résultat !)
Pour le départ au galop, je l'obtiens de ma jeune jument à peu près comme Kenaz le décrit (je n'utilise pas les mêmes mots mais je pense que le mouvement est analogue).
Moi de même ;-)
Hello Gigi
Reading your last message,(especially its French translation... :-), I have the feeling that you have misunderstood my meaning in French, but I cannot post a complete translation in English before next week.
But shortly, about the back of the young horses, I consider for my part that if a horse is not strong enough to tolerate the weigh of his rider on his back, it is too soon to mount on him..., and that if he tolerates the weigh of a rider at walk or posting trot, he is also capable to do it without problems at sitting trot and sitting cantering, under reservations that the rider knows how to avoid to stiffen the "dorsal cybernetic musculature of his horse" by the mean of the inertial constraints that the rider "can impose" on the horse because of his personal gestural functioning...
Cordially, Peteris
Klavins Peter