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départ au galop

30 réponses [Dernière contribution]
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Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonjour à tous

J'ai du mal à comprendre ce que dit Gigi désolé je ne parle pas anglais et il n'y a pas de traduction en français ...

Je dirais cependant qu'il ne s'agit pas d'apprendre à parler au cheval mais on lui demande seulement de comprendre et la nuance est de taille (je comprend bien l'italien je ne suis pas capable de l'écrire, je pense qu'en travaillant un peu je pourrais comprendre l'anglais pour autant je ne serais pas capable de le parler)

Peteris, j'adhère complètement à votre message
Vous parlez de rotation du bassin (assiette) je parle d'une poussée de la fesse du côté du galop (dans une autre discussion), n'est-ce pas la même chose ?
Si le cheval est calme rien ne s'oppose à ce qu'il apprenne a répondre aux sollicitations de l'assiette (aide) même très tôt, les limites viennent plutôt des compétences technique, sentiment équestre et tact du cavalier. Il faut aussi savoir s'il est souhaitable d'éduquer le cheval ainsi pour la pratique équestre envisagé.

cordialement pierre

Gigi
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Inscrit: 03/05/2006

Peteris: Before I give you my feelings, I have to understand your questions and I am not so sure I am understanding them.

The analogy I gave about "MOM" my not be in right context if we are talking about the biomechanics of the canter. A canter is a canter no matter if it is a baby or old timer. Is this what you are saying?

I do feel that it is difficult for horses to canter in a circle or ring with good balance at first. Although there are many horses that have wonderful canters and for them it is not a problem. The young horses that I have broken are not so sure about cantering at first with weight on their back. They also have a hard time on a lunge line at first. Even though a gallop in the pasture is quite easy for them, when you bring them to a restricted area, I find it maybe harder.

Before I write more, maybe you could rephrase what your questions are? I am trying to figure out what you are asking. (smile)
gigi

KLAVINS Peter
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Dear Gigi

What I say about your "inadequate comparison", it is that when you teach a baby to say Ma, then Ma Ma, and then Mom, you teach him to express "different things" more and more complex requiring an "addition of competences" from his part, while when you ask for a depart to canter to a horse, whether it is by voice, by actions of legs or by seat's action of your part, it is always the "same biomechanical answer" and not different motor actions more and more complex that you seek from his part...

In this case, in what you described of your practice, what evolves, it is not "his way to start to canter" for the horse, but your way of asking for this depart...

That is why I asked you why to refrain from using of seat's actions directly from the beginning to favor the answers of your "babies" to your demands of depart to canter ?

Have I to rephrase also my second question ? :-)
Cordially, Peteris

//////////////////

Chère Gigi

Ce que je dis à propos de votre "comparaison inadéquate", c'est que lorsque vous enseignez à un bébé à dire Ma, puis Ma Ma, puis Maman, vous lui enseignez à exprimer des "choses différentes" de plus en plus complexes nécessitant une "addition de compétences" de sa part, alors que lorsque vous demandez un départ au galop à un cheval, que ce soit par la voix, par actions de jambes ou par action d'assiette de votre part, c'est toujours la "même réponse biomécanique" et non des actions motrices différentes de plus en plus complexes que vous sollicitez de sa part...

En l'occurence, dans ce que vous avez décrit de votre pratique, ce qui évolue, ce n'est pas "sa façon de partir au galop" pour le cheval, mais votre façon de demander ce départ...

C'est pourquoi je vous demandais pourquoi vous abstenir d'user des actions d'assiette directement dès le début pour favoriser les réponses de vos "bébés" à vos demandes de départ au galop ?

Faut-il que je reformule aussi ma seconde question ? :-)
Cordialement, Peteris

Klavins Peter

Gigi
Déconnecté
Inscrit: 03/05/2006

Peteris: Forgive me for not getting back but it has been a busy day and I am off this weekend to teach a clinic.

You are right...............the horse never changes his mechanics in canter so why would I use that analogy???? Maybe I can use it and say the letter M is consistent as the mechanics in canter for the horse. The horse always canters this way (unless he is a 4 beat canter). But if we keep the M as being consistent then the aids just get more invisible as the horse learns and the outcome is a perfect word?????? Ok,,,I am just reaching at stars right now?? (Smile)

I do think I gave a reason why I do start with really simplistic aids when a horse is a baby. I don't think young baby horses except the seat. I believe it is more weight related by the rider and then when the horse understands and feels comfortable the aids can get more refined. In my above post I noted about horses having a hard time to canter in an enclosed area. Allow them to think they are doing it first so they have the confidence to continue to carry the canter as they get stronger. If I do not respond, it is not because I don't want to but because I will not be here this weekend. Have a great weekend filled with lots of happiness,
gigi

Peteris : Me pardonner pour ne pas obtenir arrière mais c'a été un jour occupé et je suis outre de ce week-end pour enseigner une clinique. Vous avez raison ............... que le cheval ne change ainsi jamais sa mécanique dans le galop pourquoi j'emploient cette analogie ? ? ? ? Peut-être je peux l'employer et dire la lettre M est conformé en tant que mécanique dans le galop pour le cheval. Le cheval avance à petit galop toujours de cette façon (à moins qu'il est un galop de 4 battements). Mais si nous gardons le M en tant que devant conformés puis les aides justes devenir plus invisibles pendant que le cheval apprend et les résultats sont-ils un mot parfait ? ? ? ? ? ? Ok, je suis atteinte juste à tient le premier rôle en ce moment ? ? (Sourire) Je pense que j'ai donné une raison pour laquelle je commence par les aides vraiment simplistes quand un cheval est un bébé. Je ne pense pas de jeunes chevaux de bébé excepté le siège. Je crois que c'est plus de poids rapporté par le cavalier et alors quand le cheval comprend et se sent confortable les aides peuvent obtenir plus raffinées. Dans mon poteau ci-dessus j'ai noté au sujet des chevaux ayant un moment difficile d'avancer à petit galop dans un secteur inclus. Leur permettre de penser qu'ils le font d'abord ainsi ils ont la confiance à continuer à porter le galop pendant qu'ils deviennent plus forts. Si je ne réponds pas, il n'est pas parce que je ne veux pas à mais parce que je ne serai pas ici ce week-end. Avoir un grand week-end rempli d'un bon nombre de bonheur, gigi

KLAVINS Peter
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonjour à tous

cher Pierre

après lecture attentive de votre précédent message, je vous laisse le soin de répondre vous-même aux problématiques que vous avez mis en exergue...

Cordialement, Peteris

Klavins Peter

dolmata
Déconnecté
Inscrit: 11/05/2006

pour peteris
vous dites
"Ce que je dis à propos de votre "comparaison inadéquate", c'est que lorsque vous enseignez à un bébé à dire Ma, puis Ma Ma, puis Maman, vous lui enseignez à exprimer des "choses différentes" de plus en plus complexes nécessitant une "addition de compétences" de sa part, alors que lorsque vous demandez un départ au galop à un cheval, que ce soit par la voix, par actions de jambes ou par action d'assiette de votre part, c'est toujours la "même réponse biomécanique" et non des actions motrices différentes de plus en plus complexes que vous sollicitez de sa part..."

il est étonnant que la comparaison ne soit pas correct car c'est bien un processus d'aprentissage qui est en jeu et qui met en oeuvre l'intelligence du cheval et donc sont intêret

le bébé appelle sa mère et c'est bien son but que de parfaire sa demande pour obtenir d'autant mieux ce qu'il souhaite, et par échange la mère développe le contact, cela apporte le flou sur celui qui gagne le plus au change, j'aime à penser que le cheval a autant de plaisir à parfaire sa réponse, utopie ...

quand à la réponse bio mécanique elle peut être différente il existe plusieurs forme de galop (voir les études de Gustave Lebon sur le sujet)le galop est trop souvent considéré comme non modifiable dans sa mécanique. sans parler de la vitesse sans parler du galop à trois ou quatre temps, c'est l'allure qui est souvent la moins traitée
mais aussi la plus complexe pour le cavalier

je pense par ailleurs que le départ au galop est un bon exercice pour dissocier mouvement et allure c'est à partir du premier que l'on obtient le seçond et le tout ainsi dans la forme et l'équilibre que l'on souhaite

le cheval "sait" en principe galoper si l'on ne met en oeuvre que la "nature" lorsque l'on demande un départ
mais c'est un peu dommage si l'on veut "modifier" le galop par la suite
monter à cheval n'est pas un acte naturel

enfin
pour répondre à la question du début
sur les aides
je ne sais pas??
cela change en fonction du cheval de son humeur et de son avancée
seul la mise en équilibre la justesse de la réponse et le minimum d'effort sont des objectifs invariables
c'est ce que l'on doit chercher

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

A vous lire, Dolmata, je me demande si vous avez lu/pris en considération les 2 phrases suivant celle que vous avez relatée dans votre message ?

Ne confondez-vous pas "biomécaniques du galop" et apprentissage par le cheval d'"effectuer à la demande" du cavalier un "départ" au galop, à savoir une "transition vers le galop" à partir de l'arrêt, du pas, du trot, voir du reculer..., "transitions biomécaniques" qu'il sait, à priori, déjà faire depuis longtemps en liberté... ?

Lorsque le cavalier exprime son "ordre/souhait" de galoper, soit le cheval part au galop, soit il ne part pas au galop... :-)

C'est pourquoi j'ai évoqué la recherche d'une "même réponse biomécanique" comparativement à l'apprentissage/enseignement d'"actions/réponses motrices" de plus en plus complexes nécessitant l'addition de compétences acquises progressivement.

Pour ce qui est des aides employées par le cavalier pour obtenir le "départ" au galop faisant l'objet de ce sujet, je demandais à Gigi pourquoi s'abstenir de préconiser l'emploi de l'aide de l'assiette au début du travail monté avec des jeunes chevaux.

En fait, je me doute un peu de la réponse qu'elle s'abstient de formuler elle-même... :-)

Il est vrai que pour beaucoup de cavaliers, focalisés sur leurs mains et leurs jambes, l'"aide de l'assiette", qui est autre chose que de "savoir maintenir son équilibre personnel à cheval aux différentes allures", reste ignorée et inexploitée judicieusement dans leur pratique personnelle, et que ceux qui tentent de l'utiliser, notamment au trot assis, sans maîtriser préalablement le fonctionnement d'accompagnement des allures en balancier global se retrouvent, très fréquemment, confrontés à des réactions de défenses, de raidissements et de mises sur les épaules qu'ils préfèrent "éviter" en privilégiant par exemple le travail au trot enlevé, en attendant que le cheval soit "plus fort dans son dos"...

Pour ma part, je considère que si un cheval n'est pas assez fort pour supporter le poids d'un cavalier sur son dos, il est trop tôt pour le monter..., et que s'il supporte le poids d'un cavalier au pas et au trot enlevé, il peut également le faire sans problèmes au trot assis comme au galop assis, sous réserve que le cavalier sache comment éviter de le "raidir dans sa musculature cybernétique dorsale" par les contraintes inertielles qu'il peut lui imposer du fait de sa gestuelle fonctionnelle personnelle...

Dans la pratique courante concernant l'emploi du trot assis, je pense que beaucoup de cavaliers masquent derrière une "prétendue fragilité de départ du dos du jeune cheval" leur incapacité personnelle à rester liants et supportables sans inconfort majeur par une monture non encore accoutumée/résignée à subir sans trop le manifester les gênes fonctionnelles autres que celles de poids occasionnées par son/sa/ses cavalier(e)(s)...

Compte tenu qu'il y a bien plus de cavaliers ignorant comment exploiter leur potentiel à fonctionner en balancier global que de cavaliers le faisant déjà, je suis bien conscient que les modalités de demande de départ au galop telles que je les ai présenté page 1 sont présentement inexploitables par un grand nombre.

Il n'en reste pas moins, du fait de leut rationalité et de leut efficacité, qu'elles méritaient d'être succinctement décrites, et, comme les "barrières limitant l'accès à l'emploi du fonctionnement en balancier global" sont essentiellement d'un ordre de remise en question personnelle et de reconnaissance d'éventuelles lacunes techniques personnelles, peut-être inciteront-elles quelques-un(e)s à franchir le pas déterminant la volonté de compléter/optimiser/enrichir leurs compétences équestres déjà acquises... :-)

Cordialement, Peteris

(par KLAVINS Peteris)

Gigi
Déconnecté
Inscrit: 03/05/2006

I guess I am one of those old ladies that can't mount up on a horse without pain!!! (smile)

I see your points Peteris. You feel that a horse must be strong in the back before he is asked to canter. Breaking young thoroughbreds for the track, I certainly never sat on their backs to canter. Maybe that is the biggest problem here is that we start our horses to fast without waiting for there bodies to be strong.

I still like and will continue to post into the canter on babies until I "feel" that they are ready for my seat. It does not take long to sit on them for canter transition.

Regards,
gigi

Je devine que je suis l'une de ces vieilles dames qui ne peuvent pas monter vers le haut sur un cheval sans douleur ! ! ! (sourire)

je vois vos points Peteris. Vous estimez qu'un cheval doit être fort dans le dos avant qu'il soit invité à avancer à petit galop. Cassant de jeunes pur sangs pour la voie, je ne me suis certainement jamais assis sur leurs dos pour avancer à petit galop. Peut-être c'est le plus grand problème ici est que nous commençons nos chevaux pour jeûner sans là corps de attente pour être forts. J'aime et continuerai toujours à signaler dans le galop sur des bébés jusqu'à ce qu'I « sensation » cette ils soient prêt pour mon siège. Cela ne prend pas longtemps pour se reposer sur eux pour la transition de galop.

WEAL Andy
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonsoir Sylvie,

Une réponse enfin!!

Je pense que le plus important c'est le timing de tout ça. Par exemple, j'utilise jambe ext sur 1, jambe int parfois sur 2. Puis c'est le mouvement de rotation de bassin (très cher à Peteris)

Enfin je pense que tout est dans le timing...

Andy

Hi there,

I haven't yet answered this question Sylvie, so here goes.

For me the inside leg/outside leg debate is not the main point, both can be valid.

BUT there is the timing that is of prime importance.

For me I actually use both inside and outside depending on the time in the canter.

Outside on 1 (pretty much always, but leg hardly back or not back), inside can be on 2.

And then there is the rotation mouvement of the hips that Peteris says is so important.

Anyway, I think timing is all.

Andy

ANDUZE-ACHER Sylvie
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

hello Andy, nice to read you.
Don't you think ( it's just a question), that the rotation mouvement of the hips, well done, can give automaticaly the good touch of the outside leg /inside leg with the good timing ?
friendly
hello Andy, ravie de te lire.
Ne penses-tu pas ( juste une proposition qui je crois plaira aussi à Pétérix) que la rotation du bassin qui initie le départ au galop, donnera automatiquement le bon timing entre la jambe extérieure et la jambe intérieure ?
amicalement

Message édité par: anduzeacher, à: 2006/07/27 21:47

Sylvie Anduze-Acher
coordinatrice Midi-Pyrénées