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Divers

49 réponses [Dernière contribution]
Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Nous sommes d´accord Peteris

Cordialement

Serge

(par Serge)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

J´en suis ravi, Serge.

Cordialement
Peteris

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I am happy about that, Serge.

Cordially
Peteris

(par Petris Klavins)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour Julie,

Lorsque le soir je lis certains textes de nos Anciens et contemporains, mes pensées vont aux chevaux avec qui je suis chaque semaine. J´y cherche des chemins d´amélioration.

L´on dit que dans l´art, l´artiste doit être capable de donner le meilleure de sa vie. Alors je souhaite tout donner, tout ce que ma sensibilité et mon intelligence sont capables de livrer, à Margaux, Octobre, Oka et Orphée.

Et fructueuse réunion ce dimanche à Marseille.
Bien cordialement
Eric

(par Eric Trelut)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Bonjour à tous.

Merci Peteris de votre réponse.

"Les résistances dans l´arrière-main n´auraient-elles que pour seule origine possible des roideurs de la mâchoire et de l´encolure, et réciproquement...?"

Certes non et si par des fautes d´assiette, ou par des demandes inconsidérées ou ... vous contrariez vos demandes de décontraction alors rien n´est possible. Il faut bien évidement un minimum d´harmonie dans la liaison cheval cavalier nous sommes bien d´accord sur ce point. Je supposais, probablement à tort, ce problème résolu.

Est-il possible pour un cheval de contracter une extrémité du rachis sans contracter l´autre et inversement ?

Si la réponse est non alors l´idée de Baucher est juste et personnellement je pense qu´elle l´est mais ?

cordialement pierre

(par pierre)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Cher Pierre

pour ma part, il me semble que le "maximum" d´harmonie dans la liaison cavalier/cheval est bien préférable au minimum... :-)

Pour ce qui est des idées de Baucher, je pense qu´il a certainement vu juste en observant que la roideur de la mâchoire et de l´encolure puisse amener celle des hanches, et réciproquement, et que de ce fait, on puisse "les combattre les unes par les autres".

Cependant,
si dans le cadre des relations "de causes et d´effets mutuelles", nous pouvons envisager logiquement qu´en "annulant" la cause, nous "annulons" l´effet, et que partant de ce principe, s´il y a dans l´arrière-main des "résistances effet" dues à des "résistances cause" dans l´avant-main, il est probable d´annuler les "résistances effet" dans l´arrière-main en "détruisant" les "résistances cause" dans l´avant-main,
je doute par contre très fort que s´il y a dans l´avant-main des "résistances effet" dues à des "résistances cause" dans l´arrière-main, nous puissions annuler la cause dans l´arrière-main en "luttant" contre ses effets dans l´avant-main, surtout si la "cause" est en fait elle-même un "effet" involontairement "causé" par le cavalier...

Pour ce qui est de votre interrogation concernant la possibilité de contracter une extrémité sans contracter l´autre, je vous propose à considérer une "analogie humaine" :

si un lumbago vous contracte les muscles para-vertébraux, il y a de grandes chances pour que la gêne vous crispe aussi involontairement les mâchoires...

si vous pensez à décontracter volontairement celles-ci parce que quelqu´un vous le demande, vous y arriverez probablement, sans pour autant "annuler automatiquement de ce fait" les contractures para-vertébrales causées par le lumbago...

Cordialement
PK

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Dear Pierre

for my part, it seems to me that the "maximum" of harmony in the connection rider/horse is very preferable at the least... :-)

As for the ideas of Baucher, I think that he certainly saw just by observing that the stiffness of the jaw and of the neck can bring that of the hips, and mutually, and that therefore, we can "fight them the ones by the others".

However,
if within the framework of the relations "of mutual causes and effects", we can logically envisage that "by cancelling" the cause, we "cancel" the effect, and that by this principle, if there is in the back-hand "effect resistances" inferred by "cause resistances" in the front-hand, it is probable to cancel the "effect resistances" in the back-hand by "destroying" the "cause resistances" in the front-hand,
I doubt very hardly on the other hand, if there is in the front-hand "effect resistances" inferred by "cause resistances" in the back-hand, that we can can cancel the cause in the back-hand "by fighting" against the effects in the front-hand, especially if the "cause" is in fact an "effect" involuntarily "caused" by the rider...

As for your interrogation concerning the possibility of stiffening an extremity without stiffening the other one, I suggest you to consider a "human analogy" :

if a lumbago contracts your para-vertebral muscles, there is great chances that the discomfort also tenses involuntarily your jaws...

If you think to relax voluntarily these because somebody asks to you for it, you will achieve it probably, without for all that cancelling "automatically from this fact" the para-vertebral spasms caused by the lumbago...

Cordially
PK

(par Peteris Klavins)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Cher Pierre

relisant votre second message, je reste sur une interrogation :

Vous dites que vous veillez tout particulièrement au mouvement en avant d´une part, et puis vous dites que vous demandez cession de mâchoire, nuque, demande de mouvement en avant, puis à nouveau demande de cession de mâchoire, nuque.

Entre ces demandes de cession mâchoire nuque successives, restez-vous dans le mouvement en avant, aux différentes allures, ou l´interrompez-vous pour recommencer à l´arrêt ?

Cordialement
PK

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Dear Pierre

reading again your second message, I stay on an interrogation :

You say that you pay more particularly attention to the movement forward in one hand, and after you say that you ask for yielding of the jaw, poll, then movement forward, and then ask again for yielding of the jaw, poll.

Between these successive demands of yielding of the jaw, poll, do you stay in the movement forward, in the different gaits, or do you interrupt it to begin again in the halt ?

Cordially
PK

(par Peteris Klavins)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Bonjour à tous.

Dans le désordre.

Quand je dis veiller au mouvement en avant cela signifie réponse propulsive à la moindre pression des jambes (les jambes du cavalier commencent au hanches) toujours dans le calme même si l´on demande un départ foudroyant.

Dans un premier temps j´ai appris à mon cheval les cessions à l´arrêt puis au pas et au trot en suite j´ai travailler les transitions en m´efforçant de préserver le bénéfice de la cession, il s´agit d´un subtil jeu de ping-pong entre mains et jambes (assiette) ; si je rencontre des résistances que je ne peu détruire dans la seconde j´arrête, décontracte et reparts ; tout cela sur des rênes molles nuque en point le plus haut, c´est ainsi que je suis arrivé au rassembler. Exemple, du pas au trot rassembler : demande de cession si besoin, demande propulsive, puis dans la phase du changement d´allure demande de cession et on se retrouve au trot rassembler ... donc tout ça en moins d´une demi seconde. Il m´arrive d´avoir le sentiment d´être assis sur une cocotte minute prête à exploser, c´est impressionnant.
J´espère être clair et demande votre indulgent je ne suis pas doué pour l´écriture.


Je doute qu´un cheval soufrant d´un lumbago ou autre ou de gènes le long du parcours vertébral ou de peur ou de surexcitation ou d´une gène provoqué pas le cavalier ... puisse donner une décontraction mâchoire nuque encolure suffisante en qualité et en temps.

Il s´agit de "travailler" avec un cheval saint de corps et d´esprit et dans le calme (calme, en avant, droit) le cavalier étant soucieux de la qualité de son assiette de ses aides respectueux attentif envers le cheval ... C´est de la responsabilité du cavalier que de réunir les conditions les plus favorable.

je commence à me demander s´il est encore possible de pratiquer l´équitation simplement et dans de bonnes conditions, il semble qu´il y ait toujours un petit truc qui coince quelque part, ça ne marche jamais.

cordialement pierre

P.S.

Mains sans jambes, jambes sans mains.

En dressage on veut toujours aller trop vite. Pour arriver promptement, ne pas se presser, mais assurer solidement chacun de ses pas.

Demander souvent ; se contenter de peu ; récompenser beaucoup.

La leçon doit être, pour le cheval comme pour le cavalier, un exercice salutaire, un jeu instructif qui n´amène jamais la fatigue.

Dès que la sueur apparaît, c´est que l´homme a dépassé la mesure.

Vous vous efforcerez de causer avec le cheval et de vous en faire écouter.

Il faut d´abord commencer par l´encolure et ne passer outre qu´après elle aura acquis toute la souplesse désirable...

Placer avant de déterminer, sinon attendre tout du hasard.

Il est rare que les défenses aient d´autres causes que la faiblesse du cheval ou l´ignorance du cavalier.

L´éperon est un rasoir dans les mains d´un singe.

(par pierre)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Cher Pierre

merci pour cette réponse très claire pour moi.

Cordialement
Peteris

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Dear Pierre

thank you for this answer very clear for me.

Cordially
Peteris

(par Peteris Klavins)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

"Un cheval qui donne la sensation d etre une cocotte minute prete a exploser ".
Est ce cela votre representation du cheval heureux? est cela le calme de l hotte? Decarpentry a t il jamais proné cela?

(par jp)