lettre de mrs D''ORGEIX et D''ORIOLA à Mr Petersen
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Sans aller jusqu\'\'à crier :-) je ne peux souscrire a vos propos : oui il y a de gros problèmes d\'\'ordres générales, dans les attitudes des cavaliers, des chefs de pistes, des enseignants…, mais par pitié arrêté de généraliser de dire qu’ils sont tous bon a jeter au panier.
Regardez la finale des championnat de France pro1 et dite-moi si Eric Navet, Michel Robert, Eugénie Legrand montent comme vous l’affirmer, dite-moi si le chef de piste a conçu un parcours insipide, si les chevaux n’étaient pas tonique et décontracté avec une bonne capacité à gérer leurs masses…
Tous cela pour dire que oui, le bilan de la situation aujourd’hui n’est pas brillant, mais nous avons la chance de vivre une époque d’évolution. Le train n’avance pas encore très vite et peut être faudra t’il plusieurs années pour qu’il atteigne sa vitesse de croisière mais il est toujours temps de prendre ce train en marche : c\'\'est-à-dire, plutôt que de dire tout ce qui ne va pas, se poser la question de ce que l’on peux faire pour que ça aille mieux !!
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Without going until screaming :-) I cannot subscribe to your remarks: yes there are big problems of general orders, in the attitudes of the riders, the chiefs of tracks, the teachers..., but by pity stopped generalizing to say that they are just to forget.
Look at the final of the French championship pro1 and tell me if Eric Navet, Michel Robert, Eugenie Legrand are like what you said, tell me if the chief of track has designed an insipid course, if the horses weren’t tonic and relax with a good capacity to manage their masses...
All that for saying that yes, the assessment of the situation today is not brilliant, but we are living in a time of evolution. The train does not advance yet very quickly and it can take several years so that it reaches its cruising speed but it is stile time to take this train: i.e., rather than saying all that does not go right, to try to resolve the question of what one can do to make it better!!
(par julien gouz)
Vous donnez le nom de cavaliers formés il y a ... quelques années.
un jeune cavalier, relatif maintenant, sur les parcours de hauts niveaux comme Rodrigo Pessoa a été formé par son père.
je suis propriétaire et je fais sortir un cheval en classique 6 ans,les parcours sont de bonnes côtes comme vous le savez. Le cavalier n\'\'est pas un pro.
je m\'\'occupe moi-même du cavalier, j\'\'ai arrêté l\'\'enseignant qui demandait d\'\'avancer et de poser les mains.
De plus, je ne parle pas de haut niveau dans mes interventions précedentes, mais am3, pro2.
(par Serge)
Nowadays for a horse that want to make the difference en competition,
he wan\'\'t only count on his good papers, a very good trainer and a very good rider.
he will also have to appeal a nutritionnist, a complementary medical pratician for horses, and a psychologist.
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De nos jours pour un cheval qui veut faire la différence en compétition,
il ne pourra plus compter seulement sur de bons papiers, un très bon entraîneur et
un très bon cavalier, il devra également faire appel à un nutritionniste,
un praticien équin en médecine complémentaire, et un psychologue.
(par Mick Hunter)
Je suis d\'\'accord avec Mick sur l\'\'etat du cheval.
pour le prouver, nous sommes régulièrement à verifier la quantité et la qualité de la nouriture du cheval. nous adaptons en fonction de son etat physique et son energie, voir sa "gaité" au travail.
nous verifions donc son "etat" physiologique.
pour ce qui est de l\'\'entrenement, je fais ce que je peux ! Mais le cheval et le cavalier progresse dans le bon sens qui nous préocupe tous sur ce forum. les premiers résultats sont là et il n\'\'y a pas de raison pour que cela ne continue pas.
pour ce qui est du papier, je suis en contradiction avec Mick, il y a des lignées qui sautent et d\'\'autre qui sautent moins bien. Je suis particulièrement attentif aux rayons du cheval et à la quantité de sang qu\'\'il y a dans ses origines.
(par Serge)
Question primordiale : où lire cette lettre ?
merci
(par Olivier Collomb)
adresse direct : http://www.cavadeos.com/templates/display_item.cfm?C1=8&C2=9&ObjMainType...
sinon sur le site de cavadeos : www.cavadeos.com
(par julien gouz)
Merci
(par Olivier Collomb)
If you want to have Christmas in july, and to know what the words adventure and passion mean.
You just have to read the following book.
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Si vous voulez fêter noël en juillet, et de savoir ce que les mots aventure et passion signifient.
il vous suffit de lire ce livre:
"Mes Victoires, ma défaite"
by JO
éditions
du Rocher
(par Mick Hunter)
Dans ce débat qui vous occupe, a savoir si les parcours de haut niveau sont plus intéressant aujourd’hui qu’hier je voudrai ajouter mon grain de sel !
Je dirai que c’est avant tout une histoire de goût, si les parcours sont différents, la monte est aussi bien différente : Il reste encore bien quelques fossiles qui tirent et poussent sur tout le parcours a grand renfort de manchettes, et assauts virulent de l’obstacle dans les trois dernières foulées (est ce ça la légèreté ???).
A mon avis les champions d’aujourd’hui seraient capable de monter les gros parcours d’hier mais les cavaliers stars d’hier seraient ils aussi performant aujourd’hui sur nos Grand Prix (sans prendre 25 points de dépassement de temps ???) ???
Si les parcours ont changés (peut être en moins bien) la qualité de la monte à fait de tel progrès que le spectacle n’est plus le même. Si hier il était spectaculaire, aujourd’hui le spectacle est fait de limpidité, légèreté et élégance. Il est vrai que de ce fait le spectacle n’est plus apprécié par la masse mais uniquement par les initiés.
(par Eric)
Je reviens sur les différences de parcours d\'\'hier et de nos jours.
Il est vrai que les parcours étaient plus techniques et plus " durs " =
les combinaisons n\'\'étaient pas réglées au centimètre . CE QUI IMPLIQUAIT de faire varier l\'\'équilibrage du cheval, son elan, sa prise de battue, de "piloter ! ", ce que nous ne voyons plus sur les parcours de difficultés moyennes, encore moins en petits parcours.
les obstacle variaient de hauteur entre eux sur le même parcours , certains moins hauts que d\'\'autres, plus larges, voir trés larges. Ce qui obligeait le cavalier à " voir " parfaitement son trajet et l\'\'emplacement de la battue : c\'\'était de l\'\'équitation qui nécessitait d\'\'avoir un cheval en impulsion et léger, parfaitement dressé sur l\'\'obstacle.
avec les parcours actuels, on enfile à la queue les obstacles en présentant le cheval dans l\'\'axe et ... ouf pas de barres !
certain internautes vont crier, mais hélas, c\'\'est la triste verité.
la preuve en est, la position du cavalier : jambes derrières les sangles, sur le pommeau, les mains posées et fixes, on ne sait plus accompagner la bouche du cheval.
(par Serge)