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Position/Tr.

23 réponses [Dernière contribution]
Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour

Je reviens sur ce forum après une longue absence.

Merci de rappeler ce qu\' a écrit le Col. Carde.

Ceci souligne que le cheval doit rester placé et engagé pour s\'arrêter au carré.et ne pas tomber sur les épaules.

Si je me trompe, merci de me le signaler.

A bientôt.Pierre.
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Hello

I return to this forum after a long absence.

Thank you for reminding me what Col. Carde wrote.

This highlights that the horse must stay on the bit and engaged to halt square and not fall on the shoulders.

If I am wrong, thank you for telling me.

To soon, Pierre

(par Pierre C.)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Où se trouve notre esprit à cheval?
La prise de conscience est intimment lié avec le savoir faire, sinon, science sans consciense.
L\'esprit dans nos jambes,
l\'esprit dans nos fesses,
l\'esprit dans nos bras.......
Les leçons de longe sans étiers et sans rênes (en faisant durer l\'exercice) correspondent au solfége du cheval et sont révélatrices de beaucoup de défauts. De cet exercice part une prise de conscience du chemin à parcourir mais également des outils employés, de leur origine( qui les a forgés et dans quel "esprit").
La force musculaire et la volonté de la développer sont limités car la masse musculaire du cheval s\'effondrera avec l\'âge (comme l\'homme). En revanche, sa rétivité sera toujous présente et donc sa détermination à se soustraire à une simple demande.Pour terminer, nous ne voyons pas tous la même chose et ne recherchons pas tous la même chose mais pouvont nous renconter sur les principes fondamentaux en attendant le principe souverrain qui réunira en un geste simple toutes nos quêtes.

(par Un cheval blanc)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Le problème vient aussi du cheval, car si celui-ci se trouve dans le cercle vicieux(axe de la bouche au dessus de la ligne horizontale pour un repaire théorique), le corps du cavalier subit cet état. Seul le cavalier le sent, ce qui donne la sensation que le corps ne tombe pas et doit produire une surcharge musculaire pour se maintenir ou un abandon(la suspention).
Même lors de leçons de longe avec toute la meilleure volonté du monde (pour le trot et le galop), la sensation de malaise persiste et se retrouve parfois dans le rassemblé où l\'impression d\'avancer sans avancer (surtout en le metttant à l\'épreuve à l\'extérieur)se rencontre. Trouver la bonne utilisation de la bouche reste le coeur du problème, annule le malaise(pour un effort)et évite de tomber dans le verbiage équestre.

(par Un cheval blanc ?)