35 propositions insolentes...

Bonsoir ça chauffe toujours ici
je devrais me taire
mais bon
le dressage à la mode germanique actuel
je ne vois pas en quoi il a une identité?

je ne vois pas non plus la haute et la basse école comme vous?
cela dépend des airs il me semble
et donc il n'y a que quelques sauteurs de Saumur et de Vienne qui en font, le reste (les 99,9%) est à ras de terre

l'éthologie ou "cirque" pour mémoire on ne connait Baucher que par le cirque et je revois Oliveira au gala des artistes au cirque d'hiver en passant devant tous les jours ainsi que dans la rue Amelot le coeur serré

le spin comme la pirouette de dressage n'a absolument aucun intêret pour un travail quelconque
l'un est trop rapide l'autre est trop lent
par ailleurs le changement de direction et de vitesse s sans altération de l'équilibre est me semble t'il le but du dressage quelqu'il soit

et pour finir "Questions Equestres" c'est le seul livre d'équitation que je n'ai pas terminé
c'est incontournable mais "triste"
c'est peut être le seul mot que je peux trouver
alors je me force mais c'est dur
par ailleurs j'ai entrepris un autre ouvrage, y a des images, c'est peut être ça, c'est "l'Equitation" de A.Podhajsky ce nest pas forcément hilarant mais il y a cette petite touche que L'Hotte n'a pas, que dire???
SV

Bonjour,

Voilà, c'était ma dernière tentative de me faire comprendre de vous.

je ne vous demande pas de me répondre, mais vous comprendrez que sur un forum chacun a le droit de s'exprimer, et je n'hésiterais pas à le faire de nouveau. Après c'est à chacun de juger.

Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2008/08/06 18:33

Bonjour,

mais plus nous avançons, plus j'ai l'impression d'un gros malentendu...

Malentendu d'autant plus regrettable que j'apprécie particulièrement la façon dont vous traitez vos chevaux.

Bonjour
Si ma mémoire est bonne, dans podhajsky, vous retrouverez une équitation de tradition allemande:

elle semble plus "Espagnole" sinon Vienne n'est plus Vienne et donc Française à part les aspects militaire qui sont gardés comme incontournables mais propre à la cavalerie (les appuyers sans avancé par exemple)de n'importe quel pays

une équitation ne se définit pas par sa progression
mais par ses objectifs, cela me semblerait plus cohérent

la progression est propre aux individus

SV

Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2008/08/06 18:33

L'équitation "germanique" descend du français La Guérinière en grande partie via Vienne (se référer à la filiation de Maître à élève Max Von Weyrother (écuyer en chef à Vienne de 1814 à 1833) - Seeger - Steinbrecht).

cela devient labyrinthique comme filiation
la tradition allemande est directement militaire et pour une cavalerie moderne pas une cavalerie sur les postérieurs

il y a quelques ruptures historiques entre La Guérinière
et l'équitation d'aujourd'hui
c'est donc une redécouverte

"Ce qui différencie les écoles "Française" ou "Allemande" à cette époque vient surtout du rejet total de Baucher par les seconds."
cette différence a disparut dès que Baucher n'était plus
ce n'est pas L'Hotte qui a entretenu la flamme.
les Bauchéristes n'ont été qu'une poignée
SV

Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2008/08/06 18:33

Je suis en train de relire ce dernier livre de Racinet en regroupant ses démonstrations concernant l'interprétation qu'il nomme "exagérée" ou "erronée" de La Guérinière par l'équitation allemande:

"La Guérinière, auquel les allemands prétendent rester fidèles, contre toute évidence..."

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Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2008/08/06 18:33