Vidéo CR Stage Allège ??? - Topic not translated
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Merci de renoncer !
pourquoi condamner ces mains hautes sans savoir le pourquoi.
Qui condamne sans savoir pourquoi ? Ne sommes nous pas justement plusieurs (Xavier, Gaston, moi et certainement d'autres) à chercher à savoir pourquoi ?
Notre premier reproche est avant tout d'avoir mis une vidéo aussi "troublante" sans explication. Ce qui ouvre la porte à l'irronie, aux critiques de nos détracteurs ! Rien d'autre ! Et nous avons insité lourdement, surtout moi, j'en conviens, pour avoir ces explications !
Une anecdote, une expérience,
il y a 30 ans environ…
J'ai effectué un stage chez Michel Pélissier dans le Perche durant une année. On peut le voir dans le dernier EPERON, à la page 35, derrière Pierre Jonquères d'Oriola et Jean d'Orgeix…
Un jour, il était une fois… Je tenais absolument à ce qu'il m'explique pourquoi il me demandait d'agir ainsi (J'en ai oublié la raison aujourd'hui). Il ne m'a pas répondu.
Je croyais qu'il suffisait d'être curieux pour progresser et bien non, le message était de travailler, d'acquérir sa propre expérience, alors que cet homme était près de moi avec son savoir, si proche et bienveillant cependant.
Si vous êtes enseignant laissez chercher vos élèves, vous serez leur meilleur guide…
Vous connaissez: "Aide toi, et le ciel t'aidera". Montez à cheval puisque vous avez la chance de pouvoir en disposer. Mettez une blouse blanche puisque vous entrez dans un laboratoire…Et revenez demain ou après en apportant des réponses.
A ce moment les langues vont se délier parce que chacun malgré tout possède déjà en lui les repères pour parler du sujet du moment: haut les mains! Haut les cœurs!
Michel Pélissier nous faisait monter en rênes allemandes (Il s'agissait de chevaux de CSO) sans rênes directes… Sûr que l'on ne pouvait agresser la bouche des chevaux. Si l'on tirait le cheval n'était plus manoeuvrable. En sortant de chez lui nous étions des virtuoses de l'accompagnement du cheval avec des mains qui demandaient dans la plus totale discrétion. Rien à voir avec les mains hautes. Je me souviens simplement!
Merci à lui. Mon cœur lui est toujours fidèle.
Vos échanges passionnés sont tout à fait sympathiques et donnent à ce forum un goût bien agréable.
A l’évocation de Michel Pélissier je ne peux que réagir : j’ai appris à monter à cheval au Centre Hippique Girondin, près de Bordeaux, là où son père, le commandant Pélissier, lui enseignait l’équitation. Lequel commandant a également formé mon ami Xavier Delalande qui vient d’écrire un livre fort intéressant : « l’Equitation par le rythme » chez Belin.
Michel Pélissier c’est le talent, la modestie, la gentillesse. Que notre époque puisse produire plusieurs cavaliers de cette classe et …tout ira bien !
Pour revenir aux mains, hautes basses vous ne pouvez, messieurs, aller plus avant dans votre réflexion, je le crains. Comme l’a dit l’un d’entre vous les mains doivent se trouver là où elles doivent être au moment où il faut. C’est l’attitude du cheval ( et par conséquent son équilibre) Ce sont les résistances éventuelles qui nous imposent, l’espace d’un court instant, de les lever, les baisser, ou de résister sur place à la hauteur qui convient, mais jamais de les RECULER. Ensuite, elle doivent se baisser, et se trouver dans une position que l’on pourrait dire normale ou usuelle, légèrement au dessus du garrot pièce de voûte de l’édifice équestre. C’est ce que je crois ! Je vous souhaite le bonsoir.
PS : Bravo à Josette d’avoir si gentiment exposé son problème. Allege-Ideal c’est cela : le courage de ses opinions, la sincérité, l’échange, l’amitié.
Pour revenir aux mains, hautes basses vous ne pouvez, messieurs, aller plus avant dans votre réflexion, je le crains.
Colonel, je pense que vous avez entièrement raison. Et c'est d'ailleurs en ce sens que j'ai clos ma dernière réponse à Josette. Il ne nous/me reste plus qu'à remettre autant de fois que l'on pourra sur le métier notre ouvrage...
Bonne nuit à tous
cher(e)s ami(e)s,
Cette vidéo a le mérite de poser le problème de la Communication, notion qui me semble faire défaut à notre association.
Quelques reflexions, en vrac:
Communication interne:
- peu ou pas de comptes rendus des quelques rencontres ou sont présents nos fondateurs.
- Quid des fiches de travail (4 déjà?) établies par C. CARDE.
- Et la rubrique mensuelle de M. HENRIQUET sur Cheval Magazine? Ne pourrait-on la publier aussi sur ce site et bénéficier d'explications? Celle de Décembre sur la notion de Calme me pose questions.
...
Communication externe: quid de notre image de marque,de notre notoriété, notions vitales pour l'efficacité de notre combat sur la place publique?
A.I est intervenue cette année auprés de F.E.I. Cette info fut signalée par Cheval Magazine.Suis-je la seule, parmi ceux qui l'ont lu, à avoir été choquée de la présentation?
Sous la rubrique "BOF!", avec un carton jaune (les amateurs de foot apprécieront...)illustré d'un logo représentant un poing fermé, pouce vers le bas (et j'entends monter la clameur qui, dans le cirque romain, accompagnait ce geste: "Malheur aux vaincus!"..)
Et ce, dans une revue ou interviend M.HENRIQUET?..
Nous ne sommes pas pris au sérieux et nous ne nous donnons pas les moyens de nos ambitions.
Président, j'ai été trés émue et quelque peu alarmée par la lassitude que j'ai sentie poindre dans votre réponse à Xavier Kenaz:" je suis fatigué...je le fais parce qu'on me le demande..."Oserais-je parler d'un manque d'impulsion:) ?!...
Je rejoins Xavier et je complète son" Donnez moi du courage, Colonnel!" par un vigoureux "Courage, Colonnel!"
Et je souhaite de tout coeur que l'âme de notre association ne se soit pas envolée avec celle de notre cher Jean d'Orgeix!..
Chère Catherine,
Effectivement, comme beaucoup d'autres, vous avez pointé les faiblesses de notre association. Effectivement aucun professionnel de la communication ne se propose pour offrir ses services bénévolement, et cela nous manque cruellement. Alors, effectivement, les bonnes raisons sont avancées, telles que travail à pein temps, vie de famille, enfants, chevaux ( et je passe les autres travaux qui incombent naturellement aux femmes lorsque leur première journée de travail étant terminée, une autre recommence à la maison), qui n'empêchent pourtant pas certains de s'occuper d'une région, de se battre pour trouver du temps pour monter à cheval, de se battre pour faire avancer l'association et de lui sacrifier beaucoup d'énergie. Se plaindre est vain et n'apporte rien hormis de la rancoeur.
L'essentiel est d'aller de l'avant, de penser équipe et non individualité, et de n'attendre aucune reconnaissance.
Voilà, n'y voyez rien de personnel, votre message m'a juste donné l'occasion de dire ce que je pense, et j'espère sincèrement avoir pu prouvé que lorsque l'on veut, on peut .
avec toutes mes amitiés
Je passe une copie des deux messages précédents dans un sujet 'communication AI' dans le forum général.
lien vers le nouveau sujet
Message édité par: BLESCHET, à: 2006/12/17 18:39
Concernant Xavier Delalande dont a parlé plus haut le colonel Carde,
X.D. a déjà exposé dans L'EPERON un aperçu de notions sur l'acquisition du rythme en équitation (EPERON de MAI 2002, à la page64 – EPERON de Juin 2002, à la page 66).
X.D. avait été ensuite dénigré, un peu aveuglément et de façon surprenante, dans la Tribune de L'EPERON de Février 2003, à la page 6.
Je m'étais permis de prendre sa défense en écrivant à la revue qui a eu l'amabilité de faire paraître ma lettre dans L'EPERON de Mai 2003, à la page 8.
La communication avec les élèves est un domaine difficile pour certains enseignants. En allant dans les clubs (Je suivais alors mes enfants) je me suis rendu compte de la pauvreté du dialogue en terme d'équitation. Et cette recherche de Xavier Delalande adaptée à la pratique de l'équitation est un bon moyen d'élargir et la communication et les sensations de ses élèves.
Un excellent moyen pour les intéresser plus à ce qu'il font, et faire probablement mentir les statistiques en rapport avec ceux qui renoncent à pratiquer ce sport après quelques temps d'essai.
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The communication with the pupils is a difficult field for certain teachers.
While going in the clubs (I followed my children then) I realized of the poverty of the dialogue in term of horsemanship. And this search for Xavier Delalande adapted to the practice of horsemanship is a good means of widening and the communication and the feelings of its pupils.
An excellent means to interest them more so that it make, and to probably make lie statistics in connection with those which give up practising this sport after a few times of test.
Message édité par: phfarnault, à: 2006/12/18 19:26
Bonjour à tous
Xavier,
Ma remarque était un peu ironique, bien évidement il faut savoir et comprendre pourquoi on fait les choses et justement pourquoi condamner ces mains hautes sans savoir le pourquoi.
JPh,
Je renonce.
cordialement pierre