APPEL AUX ENSEIGNANTS (France specific)

Tu peux bien-sûr compter sur moi... Par contre, le salon du cheval... Pour ma part, moyen ! Mais enfin, s'il le faut !

Amicalement

JP

pouvez vous donner un cahier des charges de manière à ce que les propositions soient synthétisables...par la suite

It should be possible, in one of the manual from level 1 to level 7.
It should be posible to find 1 page to talk about of "collected".

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Il devrait être possible, dans l'un des manuels officiels des niveaux 1 à 7,

de trouver 1 page pour parler du rassemblé.

http://www.mulco.ca/Fr/Detail/Trucs/Trucs_application_scell.htm

Message édité par: Mick Hunter, à: 2006/12/04 09:23

Concernant les enseignants, la première chose qui me dérange est que tous, sans exception se posent comme détenteurs du savoir : " moi, mes élèves ....." . La plupart veulent faire rentrer leurs élèves dans LEUR moule, celui qu'ils ont appris, ou celui qu'ils imitent.
Peu sont capables de demander ce qu'ils veulent voir se réaliser, et faire ainsi confiance à l'élève pour y aboutir, sans passer par la case " mets ta main comme ça, ta jambe comme si etc" c'est comme s'adresser à un cavalier préalablement considéré comme décérébré, et cela est insupportable.
J'attends d'un enseignant qu'il énonce clairement l'objectif que le cavalier doit chercher à faire réaliser à son cheval, pas ce que lui-même ferait, ou a l'habitude de faire.
Aimant aussi la compétition ( je suis de celles qui croient encore que tous les juges ne sont pas nuls, et que certains sont tout à fait capables de voir et de récompenser un travail juste même avec un vieux cheval de récup), bref, je préfère avoir un cours avec un enseignant qui fait ou a fait de la compétition, et de préférence à haut niveau : une journée avec un Colonel Carde ou un JDO, ont été pour moi des trésors ( tout comme la merveilleuse journée passée avec Nathalie D'Orgeix dont le savoir et la douceur n'ont d'égal que sa simplicité et sa gentillesse).
Voilà sans fioritures ce que je pense de l'enseignement.
bien amicalement

Bonjour à tous

Le problème de l'équitation en France c'est probablement mais en partie seulement le niveau requis pour être enseignant, c'est aussi et surtout le contenu c'est à dire l'équitation enseignée. La meilleur pédagogie du monde ne sert à rien si ce que l'on transmet est mauvais.

Le problème n'est pas nouveau, ça fait 50 ans que ça dure, J. d'Orgeix a dénoncé ce fait depuis bien longtemps déjà et a prouvé (et de quelle manière) qu'une autre voie était possible et ce justement en s'appuyant sur le véritable héritage de la tradition Française et non sur ce qu'en on fait les mauvais disciples de Danlou de l'après guerre.

Les propos du DTN rapportés par Yves semble quelque peu incohérent.
« Le dressage devrait être à la base de la formation initiale »
Mais n'est-ce pas déjà le cas depuis plus 50 ans ? et puis dire cela n'a aucun sens parce que, quel dressage ? s'il s'agit de ce que l'on voit en compétition actuellement on est alors vraiment mal parti. Vouloir donner des attitudes de « dresseur » à un cavalier novice est absurde. Pourquoi fermer la porte quand on prétend attendre des propositions ?

Si le dressage devait être la base de la formation initiale, nous retrouverions alors des élèves tournant dans un manège autour d'un moniteur braillant irrespectueusement tout ce qu'il peut sur ses pauvres apprentis cavalier. Rien de changé.

D'accord avec Xavier.
Juger les épreuves de sorte que les cavaliers les plus méritant les plus "légers" se retrouvent sur les podiums aurait inévitablement des répercutions fortes et rapides sur l'enseignement, ça pourrait-être un moyen de faire passer une réforme douloureuse mais comme cela irait à l'encontre de l'intérêt des marchands ... ?

Nous avons en France tout ce qu'il faut pour construire un enseignant de qualité (J. d'Orgeix, Véronique de Saint Vaulry, Philippe Karl ...) seule manque la volonté des dirigeants au plus haut de la hiérarchie ce sont eux les responsable.

cordialement pierre

les enseignants sont à mon avis suffisamment compétents et nombreux, de manière générale, pour enseigner les bases,mais il faut dire que souvent les élèves souhaitent les contourner, et passer directement à des choses complexes
il manque pour nombre de jeunes cavaliers des "gammes et du solfège" ce qui serait une base commune à tous.
comment envisager quelconque activité lorsque l'équilibre du cavalier n'existe pas et que l'assiette est chancelante?

par ailleurs le dressage est une des bases essentielle puisque le dressage commence par des choses simples. le montoir, l'arrêt, le départ au galop.
si ces éléments simples de dressage ne sont pas maitrisé dans leur principe pas de progression possible.
pour finir les règles fondamentales telle que main sans jambe..., la main ne doit jamais reculer, l'impulsion est indispensable,sont des règles de dressage qui devraient être enseignées dès le début simplement pour obtenir des départ au pas, ou au trot
si les bases de l'équitation était simplement enseignées, et ce n'est pas une question de niveau des enseignants, mais accepté comme incontournables par les élèves on pourrait donner à l'ensemble des cavaliers la possibilité de choisir par la suite ce qu'ils souhaitent faire.et passer au niveau 2 si je puis dire

Ne mettons pas en cause les enseigants. Ils sont le reflet de ce qu'on leur a enseignés ! Que voulez-vous qu'ils fassent, ensuite, laché dans la nature, sans véritable possibilité d'une formation continue...

"les enseignants sont à mon avis suffisamment compétents" "Concernant les enseignants, la première chose qui me dérange est que tous, sans exception se posent comme détenteurs du savoir : "moi, mes élèves ....." "

Oui, les enseignants ont des élèves. Il suffit pour s'en convaincre de lire la définition d' "élève" dans le dictionnaire !

Prenons le pb là où il est : au niveau de la formation des enseignants ! Ne leur reprochons pas de ne pas enseigner ce qu'on ne leur a pas appris ! Ensuite, la réalité des clubs leur laisse-t-elle vraiment le temps de continuer leur formation. Dans bien des cas, ils n'ont même plus le temps de monter à cheval !

Bien amicalement à tous

près un peu plus d'une semaine et 27 interventions sur le sujet lancé, une question et un constat:
1/y a-t-il, JP excepté, des enseignants au sein de l'association; il semblerait que non, vu l'absence de leurs interventions.Ou alors, c'est que le sujet ne les interpelle pas! Dommage
2/s'il est vrai que les enseignants fraichement formés ne sont pas à mettre en cause et qu'ils ne sont que "ce qu'on les a fait" et que c'est leur formation qui est à revoir ( ou la hierarchie des diplômes....), il faut aussi s'interroger sur les modes d'orientation ( un élève de 3e:"j'aime les animaux et particulièrement les chevaux, mais je ne sais pas quoi faire; j'en ai assez des études....le conseiller d'orientation: "et bien fais une formation BPJEPS équitation.....").
Et savoir sélectionner les candidats sur leur volonté d'enseigner et développer et affiner chez eux "LE DESIR D'APPRENDRE POUR LE PLAISIR DE TRANSMETTRE.
Amicalement, yves KATZ.
A Dolmata: je ne pense pas qu'il soit nécessaire de donner un cahier des charges;il me semble préférable que chacun exprime ce qu'il ressent et les solutions qui lui semblent les plus judicieuses pour améliorer notre équitation. Ensuite sera présenté (s'il y a suffisamment d'avis exprimés......) une synthèse.

c'était une suggestion concernant le cdc
mais le problème est que, vous ne pouvez remettre en cause, société, système éducatif, système d'orientation, formation,formateur,institutions,...
si vous voulez percuter il faut cibler , la définition d'un cadre pouvait améliorer la réflexion,...à vous de synthétiser par la suite

Bonjour a tous,
cela fait bien longtemps que je n'étais venu vous voir, une vie un peu trop encombrée ces dernier mois.
Je suis très heureuse de ce sujet et sans problème m'associe au projet.J'ai plusieurs remarques sur ce que j'ai lu:
-Pour les enseignants, oui c'est vrai la formation manque un peu de ..."légèreté", mais est ce réellement une excuse pour les moniteurs, moi même enseignante je ne le crois pas, ils n'ont cas allumer un peu leurs cerveaux et ouvrir des bouquins...aller chercher des gens qui ont un réel savoir...en un mots ouvrir leurs " écoutilles " de la curiosité !
-Pour la compétition de " l'égéreté " moi je trouve cela trés bien, même si ça concerne un petit nombre (ce sera déjà ça), ça pourrais permettre de donner un palmarès a des professionnels investi de cette quête. Pour ma part je n'ai pas beaucoup d'argent et pas de carrière sportive pour ces raisons,...et malgré le dressage de mes chevaux, je sais qu'en concour actuel je serais dans les choux...Alors comment je fais pour me vendre (je suis en indépendante). Seul les cavaliers qui on vu mes chevaux travailler (depuis mes stages avec Jean D'Orgeix), me font confiance, mais croyez moi c'est dur.
-Un label pour les enseignants je suis a 100% pour. Il faudrais faire plusieurs stages sanctionnés par un dîplome ou pas. Il faut donner envie, eveiller la curiosité et montrer que notre savoir faire est du bonheur en " barre "...
-il y a quand même un prblème majeur, c'est le travail du cavalier, je m'aperçoit que'il y a un énorme problème de positionnement, et que sans cela inutile de vouloir aller plus loin, comment faire travailler un cheval si le cavalier n'est pas iréprochable, cela sous entend qu'il faut que le cavalier accepte de passer du temps à ré-apprendre a utiliser sont corp correctement ce qui est a mon avis un travail de fond énorme.
Bon je garde le reste pour Yves..
isa