l'équilibre en question/ balance
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Pierre
quand on se confronte aux autres le but est d'ébranler ses propres fondements pour voir effectivement s'ils tiennent debouts,
la vérité n'est pas à détenir elle est a partager d'où l'intêret d'un forum, apparemment comme vous pouvez le constater nous ne sommes pas seuls, je ne sais pas ce que cela apporte aux autres, mais le simple fait de formuler des réponses est un acte de remise en question et je trouve cela enrichissant pour moi malgré tout.
Kenaz
votre intervention est un ravissement mais pourquoi si tard dans la discussion?
dolmata écrit:
je ne sais pas ce que cela apporte aux autres, mais le simple fait de formuler des réponses est un acte de remise en question et je trouve cela enrichissant pour moi malgré tout.
Cher Dolmata
sans vouloir vous "forcer" mais dans une perspective "enrichissante", je reste fort intéressé par vos commentaires "annoncés" sur un sujet "intéressant" que vous avez soulevé et sur lequel je vous avais "formulé" certaines considérations personnelles...
Cordialement, Peteris
Mon cher Kenaz,
surpris mais content de te lire ici, mon cher "ami érudit"...
Donc, si je suis ce que tu as écrit, et je te sais assez érudit pour n'écrire que des chose dont tu es sûr, la parade est une transition qui "saute" une allure intermédaire. Donc, le "demi-arrêt" qui part de l'assiette serait donc la "demi-parade", cad le geste de la parade sans l'effet : la transition.
Pour Dolmata, le passage à partir du pas espagnol... Pourquoi "construire" le passage à partir de cet air ? Je crois avoir compris que PH Karl agissait de la sorte, mais est-ce une raison...
Le passage, je ne l'ai vu naître que du trot d'école. Le "doux passage". N'est-ce pas joli comme dénommination pour ce passage naissant du trot d'école. Et c'est toujours de la sorte que j'ai essayé de l'obtenir. Donc, j'ai du mal à le concevoir "construit" à partir du pas espagnol. Mais, à partir de ce que vous écrivez, je comprends mieux pourquoi vous avez présenté ce air comme une allure artificielle.
Mon cher Peteris, j'espère avoir compris le balancier global. A vous de me le dire. ;-)
Et je confirme les propos de Catherine : pour l'avoir monté, et sachant d'où il vient (je parle du cheval : les courses, 10 ans de club en rênes allemandes), Kenaz ne peut être que fière du travail qu'il a effectué sur son cheval.
Cordialement à tous
Bonjour à tous
Dolmata :
Dois-je vous rappeler vos propos
"il n'y a qu'une personne qui prend des références correctes dans ce débat c'est Jean Philippe
les autres participants sortent des théories qui viennent de chapeaux magiques pour la plupart
"
cordialement pierre
Jean-Philippe écrit:
Mon cher Peteris, j'espère avoir compris le balancier global. A vous de me le dire. ;-)
Cher Jean-Philippe
Je ne sais comment vous "interprétez" l'idée que le fonctionnement en balancier global soit non une "position" mais l'une des trois options de fonctionnement du dos exploitable par les cavaliers pour accompagner en équilibre dynamique assis les allures de sa monture, ni quelle expérience personnelle vous avez de cette option fonctionnelle du dos dans votre pratique personnelle, mais lorsque vous parlez de "position du cavalier" et de "travail du rein" dans votre message page précédente, vous utilisez des termes "pour le moins inadéquats" pour faire une "équivalence" avez ce que j'écris en faisant référence à l'emploi du fonctionnement en balancier global...
Avez-vous lu les pages que je vous ai cordialement indiqué sur l'Ancien Forum ?
Cordialement, Peteris
J'ai voulu mettre desmots à moi sur votre notion. J'ai perdu, snif... Je suis aller voir certains de vos écrits, je vais y retourner. J'avais pourtant l'impression : le corps qui est une aide dans son emsemble, dans sa globalité. Cette définition vous convient mieux ou j'ai encore tout faux ?
Cordialement
Jean-Philippe
Message édité par: JPhL, à: 2006/09/22 08:27
kenaz écrit:
la parade est l'action de transitionner du galop au pas, ou du trot à l'arrêt, c'est à dire sans passer par l'allure immédiatement inférieure.
"PARADE, est la manière d'arrêter un Cheval à la fin de sa reprise, ainsi PARER signifie arrêter." La Guérinière.
enfin, Baucher utilisait la vibration du côté...de la résistance rencontrée, donc indifféremment.
"Lorsqu'on agit avec une rêne isolée et qu'une résistance se manifeste à l'action de cette rêne, il vaut mieux donner sur l'autre rêne du même mors le demi-arrêt ou la vibration." Faverot de Kerbrech.
Dans la méthode, Baucher explique qu'il utilise la rêne directe pour les demi-arrêts et vibrations et la rêne d'appui pour tourner (dans le chapitre consacré aux "trois nouveaux effets de main" il me semble).
Tout ça pour dire que l'important est de comprendre et d'expliquer, plutôt que d'asséner des dogmes.
Cordialement,
Hervé
Message édité par: Marcantoni, à: 2006/09/22 09:03
Jean-Philippe écrit:
le corps qui est une aide dans son emsemble, dans sa globalité. Cette définition vous convient mieux ou j'ai encore tout faux ?
Cher Jean-Philippe
Votre "définition" vous permet-elle de distinguer si tel ou tel cavalier sait utiliser le fonctionnement en balancier global à son gré ou s'il ne sait que "principalement fonctionner" qu'en balancier lombaire ou dorso-lombaire ?
Vous permet-elle de savoir si vous-même savez utiliser cette option gestuelle pour assumer au niveau de votre rachis vertébral les contraintes de mouvements générés par les allures et transmises à votre corps par la selle lorsque vous y êtes en équilibre dynamique assis ?
Vous permet-elle de différencier entre ce qu'il est possible de réaliser à cheval à partir de l'emploi de l'option de fonctionnement en balancier global et qui s'avère fort peu réalisable à partir des deux autres modes de fonctionnement ?
Vous permet-elle de distinguer les "variables d'impact inertiel sur le dos du cheval" selon que vous utilisez telle ou telle option de fonctionnement de votre propre dos par exemple au trot assis ?
Vous permet-elle de savoir si vous êtes en mesure d'exploiter le fonctionnement en balancier global que "seulement ponctuellement" lors de la réalisation par exemple d'une demande d'arrêt, ou si vous êtes en mesure de l'employer en permanence pour "simplement accompagner le mouvement" chaque fois que vous vous trouvez en équilibre assis à toutes les allures de vos montures, ainsi qu'en mesure de l'employer comme "base de réalisation" pour effectuer de demandes aussi diverses que les changements de direction, les départs au galop, les changements de pied, les épaules en dedans, le Passage, le Piaffer, etc...
Cordialement, Peteris
Comme le message précédent est "un peu long",doublon... Cordialement, Peteris
Message édité par: KLAVINS, à: 2006/09/22 09:27
kenaz écrit:
Cher Kenaz
Bienvenue sur notre Forum.
J'espère que vous interviendrez souvent et sur le plus long terme que je vous souhaite, "pressentant" qu'avec vous, l'on s'amusera plus... :-)
Cordialement, Peteris
Klavins Peter