Divers
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Hervé,
en baissant la tête > comment ?
descente totale des aides > cela veut-il dire que le cheval à l´initative de reculé seul ?
il se bloque ou bien s´arrête ?
il reléve la tête > depuis où et comment ?
Serge
(par Serge)
N´ayant aucune connaissance en la discipline obstacle, je veux bien reconnaitre les cartes de visite de personnes hautement qualifiées, comme Jean D´Orgeix et Dominique Durand concernant la position en C S O. Par contre, j´ai du mal à les rejoindre dans leur analyse de la position ( je préfère le terme de disposition) du cavalier de dressage : leurs exemples sont , à mon avis, partiaux, et quelque peu " oublieux" de la position de maîtres, comme La Guérignière, et plus près de nous de Nuno Oliveira : tous deux étaient disposés de la même façon à cheval, et Le Maître Oliveira fonctionnait en balancier global : les actions de leurs jambes et de leur bassin, étaient sûrement très loin des bidouillages évoqués, et ils ne devaient sûrement pas non plus être assis derrière leur cheval . A ce propos, quelle référence utilisez-vous pour être assis , devant ou derrière un cheval ? que faites vous des notions d´équilibre et de centre de gravité ?
Effectivement, les buts de ces 2 disciplines sont totalement différents, mais de grâce, ne jugez pas le dressage de cette manière.
(par Sylvie Anduze-Acher)
Cher Dominique,
Votre pertinente intervention mérite réflexion: vous dites que les buts entre le saut et le dresssage sont totalement différents, voir opposés. Que l´éducation du cheval et la position du cavalier sont différentes. OK pour la position du cavalier mais pour le cheval de saut, le travail de base est le même et comme notre association est centrée sur la légèreté, vous n´en faites pas mention!
Le cavalier assis dans une chaise n´est décidément pas la bonne image à donner sauf...si ses talons sont en arrière, à la verticale.( les pieds de chaque côté de la chaise et à la verticale des hanches )
Quant au piéton, votre description ( Ou celle de Monsieur d´Orgeix )est fausse: dans la position orthostatique de l´homme debout, les jambes sont fléchies et les cuisses non-reculées.Si vous tentez l´expérience, vous trouverez dans cette position l´équilibre idéal qui nous permet, à cheval, d´être en équilibre à tout moment sans perturber celui du cheval. Faites en ensuite l´expérience avec des étriers longs ou courts, dans les trois allures et regardez où se placent vos jambes ( sans vous tenir avec le mains ).
" Gratouillage " stérile des jambes derrière la sangle. Vous faites offense aux meilleurs cavaliers de dressage ( y compris Monsieur Michel Henriquet ) qui ont démontrés et expliqués comment agissent
des jambes souples et sensibles. Pour le côté humoristique de ce chapitre, essayez de " gratouiller " la sangle de votre selle afin d´en constater les effets...sur votre cheval!
Pour terminer, le concept de la légèreté entre dressage et saut ne devrait pas être différent car on peut voir autant de cavaliers de sauts utilisant des embouchures de torture et autant de cavaliers de dressage ne sachant point utiliser correctement une bride complète. Ce qui revient à dire que le travail de base est et devrait être le même comme cité plus haut.
En toute amitié, Frédy
(par Frédy Mercay)
Bonsoir,
Je ne souhaites surtout pas soulever de polémique autour de se grand messieurs qu´est Jean D´Orgeix,il ne mérite vraiment pas ça, mais je suis un peu surprise par la dureté de vos propos à son égard.
Juste un petit commentaire : si je regarde les 2 premières photos (de F.Burker et N.Oliveira) de l´article qui se trouve sur notre site"l´art du dressage", par Dietrich von hopffganten, il me semble que leur attitude correspond plus à ce dont nous parle monsieur D´Orgeix!?
Peut être que les cavaliers de dressage et de CSO ne sont pas aussi éloignés que se que vous pensez!!
Bonne soirée,et s´il vous plait allons les uns vers les autres le fossé n´est pas si grand!
Isa
(par isa Danne)
Bonsoir à toutes et tous .
La position assise du dressage n´est pas la bonne. Relire un de mes messages plus haut dans le forum ( à propos des photos )
La position actuelle des cavaliers de dressage, les jambes verticales, assis sur le pommeau de la selle, ne correspond pas à ce qui se faisait en 1964 aux jeux olympiques de Tokyo, y compris par les Allemands !
Nous ne pouvons pas avoir le cheval devant soit et pouvoir reculer le bassin si nous sommes en position verticale, en chargeant les épaules, ce qui surcharge les antèrieurs et perturbe complétement l´équilibre naturel du cheval bien plus qu´une position assise sur le trousquin ( tout cela pour simplifier )
cordialement
Serge
(par Auteur anonyme)
Pardon pour l´erreur d´auteur et des voeux, coupure internet !
mille excuses
Serge
(par Serge)
Mr. Jean d´Orgeix, who cannot be ignored in the field of jumping at high level as indicated by his exceptional CV, insists on the specificity of the jumping discipline relatively to academic dressage. He bases this on the fact that the desired goals are totally different, even opposed, and therefore that the training of the horse and the position of the rider must be essentially different. Especially, he points out, since academic dressage has been subjected to rules, codified for competition needs.
I strongly encourage all the members of Allege-ideal to acquire urgently the cassette "l´exemple des grands cavaliers" [The example of great riders] produced by Mr d´Orgeix that is a source of unequalled information and gives answers to almost all the questions posed on this subject in the forum.
He describes very clearly the position he suggests for jumping: practically vertical legs at the girth and the seat back with the thigh lifted (as if the rider was siting on a chair). He explains to us in a most convincing way all the advantages such a position offers: the rider is seated behind his horse and, this way, can use the integrality of the propulsive aids, i.e. his legs that start at the point of the hip and end at the calf. He insists on the efficiency of the impulsive action of the rider´s seat and specifies that the action of the calf must be "against the hair", from back to front. Which can be only done with the position he suggests. He demonstrates that only this position leads to the ease and solidity of the rider and gives him the ability to resist on a perfectly steady hand (the essential condition for resisting with a steady hand, that doesn´t move back, is to have a support, i.e., the stirrups).
On this same video, he shows us that all the great jumpers of today have adopted that same position. But he shows us also , with proofs of the pudding, that the great academic Dressage Masters from the old days (General L´HOTTE, Colonel Margot, etc...) who worked in extreme lightness (see the piaffe with floating reins of one Master of these times) all used the same position he suggests and not the position consisting in moving the pelvis forward in the saddle and bringing back the bottom of the legs that is practiced nowadays by dressage riders.
Still in this video, Mr Jean d´Orgeix rebels precisely and with infinite humor against the teaching of the so called "pedestrian" position, pelvis forward, leg back, thigh almost vertical, shoulder, hip, and ankle on alignment, the stirrups very long. In adopting this position, Mr d´Orgeix shows us that, the rider being "in front" of his horse, his impulsive aids are reduced to a simple sterile "itchy scratching" of the calves "behind" the girth. He can´t use his seat that turns out to be the most efficient impulsive aid, but that requires a rider placed rationally "behind" his horse. In addition, the rider having long stirrups withe the leg back doesn´t have a bearing point and therefore is unable to resist while keeping his fixity in case it´s needed. Then he uses the weight of his bust without any control and inevitably he pulls. Mr d´Orgeix shows us on another video a rider who had adopted this "pedestrian" position on a runaway horse on the rectangle, totally unable to slow down his horse after five turns of frantic canter.
Personally I am totally convinced by the arguments of Jean d´Orgeix. Not only because he has outstanding references as a competitor at high level and as a trainer, but also because always he justifies and explains in a limpid manner his positions thanks to an exceptional analytical and synthetic mind. I have myself applied his principles with unexpected results for which I´ll never be grateful enough. No doubt that he is the target of some critiques (almost often from persons who have applied a caricature of his method), but, to my knowledge, nobody has been able to develop a rational argument against the principles he defends.
Besides, the jumper (practicing at high level) has a commitment to get results. Finding yourself in front of an oxer 1m40 or 1m50 high with a horse having limited means demands a rational equestrian education and a rider´s position adapted in order notably to be able to take advantage of all the needed impulsion. He must be able to resist without pulling when a delicate line for the rebalancing preceding a big jump. The lecture of a rider, no matter how sophisticated he is, isn´t enough. He is in permanently faced with the problem and mustn´t cheat without risking an immediate sanction.
Also conserving an equitation in lightness, within the environment of Grand Prix Jumping courses, that are very technical with jumps at 1m50 or 1M60 requiring a maximum impulsion is an particularly difficult exercise, but how fascinating, that imposes in particular a perfect fixity of the hand in case the horse resists, and thus some support on the stirrups (see Mr. Whitaker). Ditto concerning the exploitation of a reformed TB outside on an canter lane. The rider who manages to get a relative lightness (that has nothing to do with the descente de main) with such a horse, without altering the quality of the canter, isn´t it admirable?
The concept of lightness in the field of jumping would it be different from the one usually evoked in the dressage world? But this is another problem!
Warm regards
Dominique
(par Dominique Durand (Translated by MK))
Bonjour Serge,
Il baisse l´encolure en se ramenant
Dès que le mouvement est commencé il a l´iniative de le continuer.
Il s´arrête.
Il relève l´encolure en ouvrant la nuque
cordialemeny,
Hervé
(par Hervé)
Bonjour Hervé,
Il baisse l´encolure sur une élévation de la main ( il me semble ) normal .
il continue donc seul le mouvement > il ne peut reculer lontemps sans indications > s´arrêt.
il reléve l´encolure > normal si vous avez une action impulsive > il a besoin de sa ligne de dessus des oreilles aux jarrets pour répondre à votre demande, même si c´est pour reculer.
cordialment
Sere
(par Serge)
Bonjour Monsieur D´Orgeix,
Ce que je cherche sur le degrés de liberté des apophyses pour l´incurvation des chevaux, message plus haut, va peut-être permettre mécaniquement, de dire que la liberté inter-vertébrale n´est pas énorme ( ce qu´il ne faut pas confondre avec les mouvements de l´encolure ).
J´ai l´impression que les cavaliers veulent à tous prix ""cintrer"" les chevaux pour je ne sais quelle figure, comme si c´était un aboutissement.
Merci de vos interventions
Cordialement
Serge
(par Serge)