Est-il besoin d'ajouter que l'ouverture aux autres  opinions et la tolérance pour leurs expressions reste au programme de ces rencontres, et de l'association elle-même ( sachant que notre objet social reste bien établi ...)

Bonjour,
Bernard, MERCI pour vos mots bienveillants. Je regrette encore d'avantage de ne pas pouvoir être là le 18.

Yves, svp, ne vous offusquez pas. Oui, à ce sujet en tous cas, je suis devin ;-) et ce n'est pas très difficile. Mais, au regard de tous les efforts fait par vous et beaucoup d'autres pour la réussite -et l'organisation même- d'une telle rencontre, j'espère sincèrement être un devin qui se trompe.

cordialement
pascale

 Pascale, je ne vous connais pas. Par ailleurs, j'essaie souvent, dans ce cas , de ne pas être désagréable. Je trouve cependant que le ton de vos interventions est un peu hautain .... Ne vous sentez vous pas quelque peu dédaigneuse quand vous proclamezque vous êtes "devin".
Vous devriez avoir plus que des regrets de ne pouvoir être présente le 18. C'est pourtant une journée idéale pour présenter en vrai, sur le terrain, votre travail et démontrer l'exatitude des affirmations sur vos vidéos et commentaires. Car, excusez moi de cette remarque car généralement, je ne veux pas commenter des vidéos, ce que l'on voit de votre travail ne re présente nullement ce que l'on peut attendre d'un "bauchériste éclairé" et ne convainc nullement, ne serait ce qu'au niveau du travail de base d'un  jeune cheval.

!

 Serge, vous avez tout à fait raison quant à la stérilité des derniers échanges... par contre, soyez convaincu que la compétition n'est nullement le seul moyen d'apprécier les qualités équestres d'un cavalier ou les compétences pédagogiques d'un enseignant. Et il est bienheureux que la perfection n'existe pas en qéquitation; c'est ce qui en fait un des  charmes journaliers.
Il est des plus désagréables que certaines personnes ne puissent suivre le fil d'une coinversation et cherchent en permanence à criitiquer.......

Personne n'est bon ou mauvais ici, et les compétitions actuelles ne sont certainement pas le seul critère de jugement pour savoir cela.
Pour y réussir , en dressage tout dumoins, il faut accèpter de détruire un travail correcte fait dans la légèreté.
Samedi dernier j'ai donné un cours à une de mes élèves de la région. Elle a été juge de dressage pendant 30 années. Elle vient de démissionner de cette fonction bénévole car, sachant ce qu'elle sait aujourd'hui (elle participa tout d'abord à des clinics de JC Racinet), cela la rendue malade d'être obligée de juger en contredisant son âme et sa conscience.

Yves, je suis hautaine? Bon, si vous voulez.
Si, pendant cette réunion, vous y trouvez des gens qui ont parfaitement compris les bouts de vidéo de mon travail et qui sont en plus capables de démontrer la même chose, en peu de temps, avec des chevaux qu'ils ne connaissent pas, et bien je me serai complètement trompée concernant mon pronostique, quant aux représentants équestres présents le 18.

Pour être convaincu, il faut l'être de par sa propre sensation réelle dans la pratique. Donc c'est normal et même trés salvateur que vous ne soyiez pas convaincu vous même. Se laisser convaincre simplement par des bouts de film, sans chercher plus loin, c'est se laisser manipuler aveuglément. Donc, bravo pour votre septiscisme! Même si, question ton dédaigneux, vous n'êtes -ici- pas mal non plus.

Je devrait "plus que regretter"? Ah oui, c'est à peu prés mon état d'esprit actuel. Si mon domicile était en France et pas aux frontières polonaises et tschèques, je serais venue. (Un jour...j'y parviendrai.)
Les absents ont toujours tord, vous savez bien.

cordialement
pascale

Les derniers échanges n'ont pas été stérils.

On pourrait éviter parfois certains bouts de texte mais bon, pas de cavaliers les meilleurs du monde, pas de personnes les plus sereines du monde.
Le Dalai Lama n'écrit malheureusement pas sur ce forum.

cdlt
p. 

C'est impressionnant ce que vous vous envoyez dans les dents alors que vous êtes censés avoir une philosophie assez proche.
Bref, peut importe, j'aimerai apporter un éclairage différent sur les évolutions que vous souhaiteriez tant vouloir apparaître dans l'équitation actuelle.
Dans les années 90, j'avais alors 13 ou 14 ans et n'étais plus satisfait de l'équitation proposée en club, pas de compréhension du cheval, trop de dogmes appliqués, des «il faut faire comme ça parce que c'est comme ça» pas d'approche qui soit à mon sens logique ! La chance que j'ai eu dans ces années là était de voir arriver, des États-Unis, les chuchoteurs qui proposaient eux une approche logique des choses qui m'a séduit. J'ai commencer a récolter tous les articles de presse que j'ai pu et a commencer a pratiquer en obtenant des résultats qui m'encouragerent à continuer. Jusqu au jour ou j'ai eu accès au coffret de Parelli, avec touts la philosophie, les exercices de base etc. On y expliquait la notion de pression de cession, de légèreté, de gradation dans les demandes, de confort, d'inconfort. De renforcement positif et négatif, de sensibilisation, desensibilisation etc. Une Révolution pour moi, cavalier de club de 14 ans qui était désormais en mesure d'aider des cavaliers beaucoup plus avancés que moi en équitation, sur des problèmes d'éducation de leurs chevaux.
J'ai poursuivi dans cette voie qq temps, jusqu au jour ou j'ai voulu progresser un peu plus à cheval et plus seulement a pied. A ce moment, je me suis tourné vers les articles d'Élisabeth de Corbigny dans cheval pratique qui m'ont appris énormément sur la connection du mors aux pied du cheval, la cession, les déplacements latéraux la légèreté... J'étais certes loin du Dressage, mais quand en club, on est incapable de vous apprendre autre chose qu'une cession a la jambe face a un mur, avec cravache et eperons. Et que la, en suivant les conseils de magazines, on goûte aux début des hanches en dedans et épaules en dedans... C'est top. D'Élisabeth, je suis passé à John et Josh Lyons, qui m'ont permis de progresser encore a distance via des livres, DVD... J'ai aussi eu la chance de rencontrer Isa Danne avec laquelle j'ai suivi quelques cours, et passé du temps a la voir monter, et discuter d'équitation. Isa m'a affiné le travail de 2 pistes, le rassemblé, la notion d'équilibre du cheval, le cheval qui travaille avec son dos.
C'est avec toutes ces connaissances en tête que je suis parti me former 1an aux États-Unis, chez Josh Lyons qui m'a encore énormément appris sur le travail du cheval et qui m'a permis d'avoir les fondamentaux de mon métier actuel.
Tout se long discours pour vous dire quoi ? Qu'il n'est pas de votre ressort de reformer la base, vous n'avez aucun pouvoir la dessus, les rencontres sont excellentes pour se sentir reconnu comme une communauté a part entière, mais elle ne convainquent que ceux qui sont déjà convaincu, et au courant.
L'équitation ethologique (je haïs ce terme) s'est intégrée dans le milieu du cheval grâce aux nombreux articles qui sont parus chaque mois dans les magazines. Des centaines de cavaliers se sont intéressés a ces méthodes, mais elles sont limitées au point de vue équestre ! Et c'est la qu'il faut intervenir, appporter des exercices, une pédagogie, claire, précise, des livres, des DVD, car peu de jeunes lisent sans être hautain parce qu'on sait, mais avec un désir d'expliquer, de rendre simple. Une fois cette démarche commerciale effectuée (mais ça ne coûte pas très cher de faire des articles dans un magazine) et en parallèle, labelisez des formateurs AI, qui soient sur le terrain pour aider les cavaliers en demande a évoluer dans leur équitation.
Sortez vous du système Francias qui tergiverse sans aller nul part, qui prévoit de grandes choses qui ne voient jamais le jour, agissez a petite échelle, faite parler de l'association et surtout developpez un programme pédagogique avec de vrais exercices ! Pas juste des concepts.

Bonjour,

Ah, oui Nicolas ! Je vous suis totalement dans vos propositions.

Merci

Voici les vidéos dont, je pense, parle M.KATZ:

http://youtu.be/a-o81qxhWKg

http://youtu.be/s9s9GpRx5Ss

http://youtu.be/ExPxv7-c1ps

M.KATZ vous dites "ce que l'on voit de votre travail ne représente nullement ce que l'on peut attendre d'un "bauchériste éclairé" et ne convainc nullement, ne serait ce qu'au niveau du travail de base d'un jeune cheval."

Pourriez vous expliquer à un nul  comme moi ce que vous ne trouvez pas bien dans ce travail ?

ps :
-il me semble que le cheval est un  Mérens de 14 ans qui auparavant faisait de la rando et de l'attelage
-pour répondre aux mauvaises langues ( lu sur un autre forum ), je ne suis pas là pour faire de la pub à Pascale que je connais pas, que je n'ai jamais rencontré et que j'ai découvert dans ce post : je ne suis pas son commercial
- tous les stages sont " commerciaux" dans la mesure ou l'on rétribue l'enseignant ( Mr MAUREL fait aussi payer ces stages )