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steinbrecht, le livre

170 réponses [Dernière contribution]
Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

La connaissance des arts ou des sciences fait apparaître les divergences d'écoles. Ces divergences sont la source de toutes les recherches approfondies

La reconnaissance à titre "générique" élimine les spécificités. La "cuisine française" n'a de sens qu'à l'étranger, mais qu'est-elle ici en France ? rien que de la bouillie pour chats.

Qu'est-ce que l'équitation française si toutes les écoles sont confondues ?

Les grands organismes internationaux (UNESCO, Prix Nobel, ...) éloignés du terrain, pleins des bonnes intentions oeuvrent pour "le melting pot" culturel international.

Cf. Wikipédia :

Melting pot est à l'origine une expression anglo-américaine désignant un creuset (utilisé pour fondre un métal par exemple). C'est devenu une métaphore utilisée pour désigner un phénomène d'assimilation de populations immigrées de diverses origines en une société homogène. Toutes les différences initiales (de culture, de religion, ...) s'effacent pour ne plus former qu'un seul et même ensemble. Ce terme fut en particulier utilisé pour décrire la tentative de politique d'assimilation de millions d'immigrés d'origines diverses aux États-Unis.

Heureusement, les chevaux ne sont pas encore connectés au Web.
Au regard de ce que contient "l'équitation officielle", il faudra s'attendre à la Révolution de nos équidés.

 

MAUREL Bernard
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

La reconnaissance de l'équitation de tradition française n'est pas une question à traiter légèrement, un peu de sérieux que diable !

france
Déconnecté
Inscrit: 06/03/2007
Pour comprendre tout ceci , il faut avoir une vision sociologique des choses .

tout à fait, Upwelling

la société a évolué

si monter à cheval était resté l'apanage des seuls fils de famille fortunés, il y aurait de nos jours bien moins d'équitants

On mesure là tout l'intérêt porté au projet par cette maison d'édition.

ou  le succès qu'elle prévoit ?

***
On mesure là tout l'intérêt porté au projet par cette maison d'édition.

ou  le succès qu'elle prévoit ?

Ce qui est probablement la même chose dans ce cas précis.

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007
si monter à cheval était resté l'apanage des seuls fils de famille fortunés, il y aurait de nos jours bien moins d'équitants

Arithmétiquement vrai, certainement vrai aussi pour les ressources économiques apportées, bien que le PMU finance une certaine partie.

Quant au nombre, il n’est pas probant qu’il ait permis le maintien et le développement qualitatif.

La formation des "animateurs" le dénoncerait-elle ?

 

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

Tout l'interet de l'information donnée par le gymnase du cheval vient justement du fait que c'est une approche totalement qualitative et jamais quantitative  ;

d'ailleurs quand on fait référence au Gymnase du cheval , on fait référence à un travail gymnastique  , mais aussi à la structure adaptée   ( le gymnasium ) qui est le lieu clos ou se produit l'échange qualitatif entre un écuyer professeur et son éleve , excluant par là  toute logique quantitative . 


 

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007
excluant par là  toute logique quantitative

Avec une formation individuelle : comment faire autrement ??

Cela n'a rien d'exclusif.

 

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

Cher Monsieur vous avez tout à fait raison

juste pour le plaisir de la lecture ,  un autre passage du gymnase du cheval très interessant , 

Quel que soit le degré , plus ou moins prononcé , de flexion d'arrière main qu'on envisage , il faut surtout que les premiers exercices entrepris le soient dans le mouvement en avant , parce que , au cours de la marche , le poids passe constamment d'un postèrieur sur l'autre et que la force de propulsion alors développée constitue pour le cavalier la mesure de ce qu'il peut demander , comme intensité de flexion ...

S'il écrase l'allure , c'est à dire , après la flexion , les articulations , ne pouvant plus se détendre avec aisance , doivent au contraire , comprimées sous le poids , se propulser péniblement , c'est alors que le poids imposé à l'arriere main est trop fort pour les exercices de début  et qu'il faut le diminuer jusqu'à ce que le cavalier sente à nouveau se développer sous lui , dans toute sa fraîcheur , la force de propulsion ... 

(traduction d'Edouard Dupont ) 


 

Christopher Cunningham
Déconnecté
Inscrit: 24/06/2007

Upwelling,

Ainsi, ne craignons pas le cheval sur les épaules, c'est à dire sur ses deux épaules avec égalité de poids entre la gauche et la droite. Mais craignons par dessus tout le cheval sur une de ses deux épaules (usure fonctionnelle, ignorance d'un postérieur désaxé, etc...)

Le cavalier sur ses deux fesses percoit une indication d'exellence, le cavalier sur une fesse devrait s'inquiéter.

Etes-vous d'accord?

Christopher

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

 Cher Mr , tout à fait d'accord