POSITION ACADEMIQUE ET LEGERETE
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502 Bad Gateway
« Le résultat tangible du procédé ? »…C’est le cheval .
Relire les témoignages de ceux qui ont travaillé sur le simulateur dont celui de Daniel et revoir sa vidéo.
Le témoignage que j'ai trouvé intéressant était celui de notre Juliette nationale. Elle a fait une utilisation pertinente du simulateur en s'en servant pour travailler le timing des changements de pied et apparemment pas du tout pour sa position car de ce que je vois sur ces photos de concours elle ne monte pas en BG.
Bien d'accord avec visiteur. Ce témoignage nous en dit plus sur l'intérêt d'un travail sur simulateur que sur le BG.
Quel simulateur avec quel enseignant pour quoi faire ? Ce sont les questions que je me poserais.
Pour le reste et pour en revenir au titre du sujet, je ne suis pas aussi sûr que Catherine que le résultat tangible de la position et du fonctionnement préconisés ici soient particulièrement visibles sur les chevaux. D'autant moins que, finalement, on ne voit pas beaucoup de personnes monter avec cette position comme je l'écrivais plus haut. Mais si Catherine peut nous montrer des vidéos plus convainquantes que celles qu'on a pu voir jusqu'à présent, je suis sûr de ne pas être le seul que cela intéressera.
Mais oui, Piotr ! Et j’en profite pour saluer les excellents résultats de Juliette ce week-end en concours.
Voici le site de la personne avec qui elle travaille :
http://equi-ideal.skyrock.com/
En effet, je ne pense pas qu’Isa Danne soit LE modèle de fonctionnement en BG (bien qu’elle soit à même de l’enseigner des plus correctement)
Elle est desservie physiquement par une cambrure « excessive » qui lui donne cette attitude « rigide » à cheval (ce n’est pas qu’elle tient son dos, comme cela a pu être dit plus haut, c’est qu’elle ne peut pas faire autrement J clin d’œil )
Même rigidité mentale pour une équitation de « contrôle du cheval à tout prix » ou photos et vidéos la montre rarement « aller avec son cheval »…Ce n’est effectivement pas plaisant à voir.
Alors bien d’accord avec vous Olivier quand vous dites :
« Quel simulateur avec quel enseignant pour quoi faire ? Ce sont les questions que je me poserais. »
Oui mais :
- - Tous ceux qui ont travaillé sur le simulateur ont vu leur cheval plus calme, plus décontracté, plus souple, plus « aux ordres » tandis que les cavaliers évoluaient vers une discrétion et une simplification des aides.
- - Quant au fonctionnement en BG, à l’inverse du « cirage de selle » qui, en le poussant incite le cheval à « courir », il permet en accompagnant le cheval au niveau du nombril (jeu du diaphragme) de l’ « aspirer » dans une verticalité propice à son EQUILIBRE (plus que le rassembler à mon sens), quelque soit la discipline. (isopraxie). On peut prendre ce fonctionnement ou pas dans une séance, selon l’objectif.
Olivier, vous réclamez toujours photos et/ou vidéos.
Pour montrer les qualités d’un travail en BG il faudrait, à mon sens, une série de vidéos montrant avant/après et un reportage du cavalier mais aussi d’un enseignant à pied. Un peu comme l’avait fait Maltosa sur des années de travail avec sa jument.
Daniel s’y est mis. Merci à lui .Mais je crois qu’il a été découragé …
Moi j’ai photos et vidéos de mes stages avec Hélène Arianoff ou je travaille ce fonctionnement avec elle.
Les jeter en pâture sur le net ? Je ne suis ni naïve ni masochiste.
Car je suis sure de me faire rincer par (dans le désordre) les détracteurs d’HA, les ennemis de CP, les ratiocinateurs qui réduisent l’équitation aux mathématiques et à la physique, les « galops 7 » qui ont une vision « ffe/étholo » des chevaux et les « Saint Thomas modernes » qui ne croient même plus ce qu’ils « voient »…
:)
Et chaque fois que j'ai proposé desvidéos/photos de cavaliers "célèbres"et qui peuvent nous servir de modèles, on s'est jeté sur les "défauts" au lieu de retenir les points forts.
Comportement négatif et donc inutile à mon sens.
Catherine, je comprends et partage vos réserves sur les risques et périls de l'exposition publique.
Cependant, avant de voir la progression amenée par le travail en BG, déjà pourrait-on espérer en voir le résultat. Comment se fait-il que personne ne soit capable de montrer des vidéos en disant : voilà une personne qui monte en BG comme je le conçois... J'ai par exemple été intéressé par cette proposition : http://www.allege-ideal.com/content/fonctionnement-du-couple qui montre, de mon point de vue, un fonctionnement tout à fait classique, mais qui n'a pas semblé retenir l'attention de grand monde.
Le seul exemple donné par Peter à ce jour, hormis son expérience avec Daniel qui a eu le courage de se prêter au jeu (et à propos duquel je me suis pour ma part abstenu de tout commentaire "déplacé" ou "vexatoire". D'ailleurs, y a-t-il eu ce type de commentaires ?), reste la vidéo de AVG en concours. Avouez que c'est un peu limité comme choix et très limite comme exemple de l'équitation de légèreté dont serait intrinsèquement porteur le BG.
D'autre part, vous laissez croire par vos propos qu'il n'y aurait aucune alternative entre le "cirage de selle" et le BG alors que l'on peut facilement voir tout un tas de cavaliers, et pas les plus médiocres, évoluer justement dans cet espace alternatif. C'est assez surprenant.
Pour voir des cavaliers monter en balancier global, ce n'est pas compliqué : rendez vous dans un poney club et regardez comment montent les tout jeunes enfants, ceux qui nous épatent parce qu'ils sont scotchés sur leur poney ! C'est naturel chez eux parce que la structure de leur dos ne leur permet pas de fonctionner en dorso-lombaire.
Parlez-vous des baby-poneys ?
.
Apparemment, si, il manque de vidéos de cavaliers nous montrant quelque chose qui ressemble à ce que l'on nous propose ici (à l'exception de celles postées par visiteur)... Peut-être parce que c'est intenable "en vrai", surtout sur un cheval qui a des allures que l'on n'a pas ratatinées ?
En fait, on voit bien que c'est une attitude calquée sur les gravures de Baucher et que cela n'a rien de commun avec l'équitation classique. De l'attitude figée d'une gravure, faire une règle de fonctionnement, voilà ce qui me semble être le problème. Que, pour présenter un piaffer, un cavalier prenne cette attitude, pourquoi pas, il n'y a pas de mouvement vers l'avant. Mais dès qu'il y a besoin d'être avec le mouvement en avant, cette atitude me paraît propice à se retrouver pendu aux rênes (cf. AVG en concours dont Peter fait un exemple). Et là, bonjour la légèreté !
De toute façon, à partir du moment où l'on est incapable de montrer le résultat tangible d'un procédé, c'est qu'il y a un problème.
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