"Dérives du dressage moderne"
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Bonjour à tous,
Cela fait un moment que je parcours ce site et ce forum sans jamais intervenir.
J'ai 20ans, je suis cavalière de CCE depuis 5ans et tourne actuellement en C, et surtout amoureuse de ce cheval fantastique dont j'ai eu la chance de croiser la route. Comme il compte plus que tout autre pour moi, je suis toujours soucieuse de son bien être, n'hésite pas à renoncer ou abandonner un concours ou tout autre si je ne le sens pas en forme ou pas prêt
.
Je travaille le plus souvent seule, ou avec une amie, à la recherche comme moi, d'un cheval travaillant juste, dans la légerté, la décontraction et le bonheur.
Bref, après cette petite présentation, je vous fais part de ma récente expérience, qui explique ce titre, que j'ai osé emprunté à P. Karl.
Travaillant seule et cherchant à progresser en dressage avec mon cheval, dressage qui compte de plus en plus dans les CCE, je poste des messages dans differents forums où l'idée ressort qu'il vaut mieux travailler ac un "dresseur pur", on me conseille une certaine personne (dont je préfère ne pas citer le nom), qui semble très réputée dans le monde du dressage actuel et qui a d'autant plus participé à moults championnats de france, d'europe et du monde.
Rendez vous est pris, je pars pour une semaine de stage, pensant en apprendre sur la décontraction et le travail du cheval et progresser dans ce sens, aquérir un peu plus de légerté ect...
Première scéance qui ne se déroule pas trop mal.
A la deuxième scéance, plus je suis les conseils de la personne qui me fait travailler, je sens mon cheval de plus en plus lourd, qui commence à se contracter, à grincer des dents.
Mettant celà sur le compte des courbatures de la veille, j'attend la scéance du lendemain pour confirmer les doutes qui naissent en moi.
La scéance du lendemain est encore pire, un cheval de plus en plus tendu, qui est lourd, très lourd, mais il faut continuer. Et l'on m'explique que ma rêne extérieur doit être bloquée dans le garrot et constituer un mur infranchissable contre lequel je dois envoyer mon cheval, à l'aide de ma jambe intérieur, pour qu'il s'y cogne et cède... Ou que l'on m'explique encore que je doit fermer mes doigts sur des mains basses et pousser fort dans mes jambes. M'expliquant encore que je ne devais pas craindre de rentrer dans le conflit ou les défenses au début...
Je vous l'avoue, j'en ai pleuré et ai eu honte d'infliger de telles contraintes/souffrance à mon cheval et de devoir le monter ainsi.
Il n'y aura pas de 4ème scéance, je décide de stopper là cette aventure.
En fait, mon cheval et moi même pouvions être bien perdus dans cet univers, puisqu'habituellement, toute sa détente se fait dans un petit trot calme mais énergique, vers le bas et dans un maximum de relachement et de décontraction, idem en fin de scéance et que LA, on me demande, sans chercher comment et pourquoi je monte mon cheval habituellement, d'ajuster mes rennes et de serrer fort mes doigts ac bcp de jambes de façon à mettre le cheval dès le début dans une attitude haute!
J'avais la naïvetée de croire qu'en dressage de haut niveau, l'actuel (si je ne m'abuse??) reglement du dressage de la FEI recherchait décontraction et légerté et que les cavaliers s'y tenaient encore???
J'ai également monté d'autres chevaux, dont un avec un mors droit d'attelage (liverpool) pr faire du dressage, cherchez l'erreur...
Et surtout, surtout, pas une once de décontraction chez aucun de leurs chevaux, et la légerté? Pas Vue...
Des chevaux tendus, qui ont certe de très belles allures mais trottent mécaniquement, dans la soumission, que dis-je, la résignation.
Je me suis alors demandé si je comprenais bien ce que l'on me demandait, si ce n'était pas juste un passage ou si je ne devait pas croire un personne ayant quand meme fait pas mal de résultats....
Et puis, en rentrant, je me suis replongée dans le livre de P.Karl dont je ne comprenais pas tout aupraravant. J'y ai maintenant tout compris, y ai vu décrites toutes les choses que l'on m'a demandé d'exécuter et toutes les "dérives du dressage moderne", et oui j'étais en plein dedans...
Je me suis rassurée également en me disant, que oui, il était possible d'obtenir quelque chose d'un cheval, sans jamais avoir à rentrer et rechercher le conflit, dans la décontraction et le bohneur du couple, et bien plus encore...
Mon cheval a retrouvé son box, mon cheval à retrouvé ce travail vers le bas qui lui fait tant de bien, et moi j'ai retrouvé ce cheval léger et heureux de travailler, j'ai retrouvé notre harmonie.
Et même si là route est encore longue, plus jamais on me reprendra à faire de telles expériences...
Chère Clara,
J’ai la chance de bien connaître le champion du monde de saut d’obstacle Jos Lansink, ayant eu dernièrement un cheval dans ses écuries. La plupart des experts considèrent qu’il représente le summum en matière d’éducation du cheval d’obstacle de très haut niveau. C’est probablement actuellement le meilleur dresseur en Europe et probablement au monde dans ce domaine.
Or, pour l’avoir vu souvent travailler ses chevaux sur le plat chez lui, et l’avoir suivi lors des concours internationaux, je puis vous affirmer que l’élément fondamental de sa monte réside essentiellement dans le relâchement et la décontraction extrêmes de ses chevaux. Jamais il ne les coince. Jamais ses chevaux ne collent à la main.
Ses chevaux sont dans une attitude généralement ronde (nuque cédée), dans le mouvement en avant et l’impulsion, l’attitude rassemblée n’étant jamais obtenue au détriment de la phase de poussée des postérieurs, ce qui s’avère absolument nécessaire dans le cadre du travail d’un cheval de sport. Il parvient ainsi, du fait de la décontraction extrême de ses chevaux, à ralentir spectaculairement la cadence du galop tout en conservant un engagement unique. On a l’impression, avec ce cheval physiquement mais aussi psychologiquement totalement relaxé, d’assister à un film projeté au ralenti, tant l’allure semble décomposée et aérienne.
Ce relâchement hors du commun du cheval lui permet de pousser à l’extrême ce ralentissement et cet engagement sur quelques foulées, à titre d’exercice de gymnastique lors du dressage sur le plat, cette attitude rassemblée étant toujours suivi d’un allongement également réalisé dans la plus grande décontraction.
Jos Lansink obtient ce résultat unique grâce à la qualité d’une main qui sans cesse entretient la décontraction en veillant à détruire les sources potentielles de résistance (en particulier par petites flexions latérales décontractives de l’encolure pratiquées en permanence). Il résiste et rend, toujours en accord parfait avec les subtiles demandes impulsives toujours très discrètes de ses jambes qui caressent son cheval au moment opportun. La nuque de ses chevaux n’est jamais bloquée, mais reste toujours décontractée et souple.
Inutile de vous dire que personnellement je m’inspire énormément de ce cavalier d’exception dans le cadre du travail quotidien de mes chevaux d’obstacle destiné au haut niveau. Or il est fondamental de noter que, pour obtenir ce résultat de décontraction totale du cheval, j’ai pu rapidement constater que la tenue des rênes préconisée par Jean d’ORGEIX permettant de travailler en actions indirectes, constitue un atout considérable, voire même une nécessité absolue. D’ailleurs j’ai dorénavant acquis la conviction que, d’une manière générale et quelque soit la discipline pratiquée, cette tenue des rênes permet de bonifier grandement la qualité de la main d’un cavalier quel qu’il soit, et donc par voie de conséquence, d’améliorer sensiblement l’ensemble de ses capacités équestres.
A ce propos, je reste personnellement très surpris et je l’avoue déçu que cette nouvelle manière de tenir et d’agir sur les rênes, à propos de laquelle Jean d’ORGEIX affirmait je cite « j’ai aujourd’hui la conviction qu’elle apporterait un progrès dans la qualité de base de nos cavaliers et serait bénéfique pour eux et à travers eux au renom de l’équitation Française », n’ait pas fait l’objet d’un débat spécifique conséquent au sein d’Allège (contrairement à des sujets développés me paraissant beaucoup plus futiles), et que l’ensemble des membres de l’Association ne l’ait pas unaniment et définitivement adoptée. Persister à monter le pouce bien appuyé sur la rêne avec les doigts fermés me parait constituer une véritable hérésie ou même une véritable infirmité, en particulier pour qui se réclame de pratiquer une équitation de légèreté.
Pour mémoire, cette avancée équestre décisive, aboutissement de très nombreuses années de pratique, d’observations et de réflexions du Maître, est décrite en détail par Jean d’ORGEIX dans son avant dernier ouvrage « Les Mains et autres non-dits de l’Equitation » et dans la cassette N°2 de sa dernière collection consacrée à l’action des mains.
Cette parenthèse étant fermée, cette tenue des rênes, alliée à une application subtile du principe de la barrière (principe également décrit dans l’ouvrage ci-dessus mentionné), résultant de la fixité des mains qui n’agissent qu’au 3ème temps du galop, permet d’accéder facilement à la décontraction constatée des chevaux de Jos Lansink.
Donc en tout état de cause, vous avez eu mille fois raison de fuir cette équitation détestable faite de contraintes forcées et de contraction des chevaux, malheureusement trop souvent enseignée en France.
Amicalement,
Dominique
mr Lansink ne voudrait il pas adherer?? je blague, je ne connais pas assez les cso pour emettre un avis!(ceci dit j'ai pu l'admirer en indoor a la télé!!)
mais bon , dominique, quoique qu'aillant conscience des "sujets futiles"..(quoique "très parfois" mfbof! et alors? ils ont le merite d'exister, chaque questionnement, est quelque part une ouverture au dialogue..je le vois comme ça;
quand a fermer les pouces..mm!?? si les mains avancent déjà,c'est déjà pas mal! ceci dit, je ne l'avais pas compris comme ça.. mais je peux avoir mal compris! bien amicalement!fs
Bonjour M. Durand.
Je ne croix pas qu'il y aie des postes futiles. Toute discussion est enrichissante tant qu'il y a un échange constructif sans imposer sa façon de voir les choses. En équitation, il n'y a pas de petit détail. Tout à son importance n'est-ce pas ?
Si le sujet n'a pas encore été traité, pourquoi ne pas ouvrir un poste ? Nous serons tous contents de participer au débat, dans la mesure de nos compétences et de nos connaissances, avec notre façon propre de penser et de nous exprimer.
Et comme je ne me souviens pas vous avoir déjà lu ici ( je peux me tromper), je vous souhaite la bienvenue et j'espère vous lire souvent.
Amicalement
En faisant une petite recherche sur le forum (dans la zone de saisie en haut à droite sous le bandeau Allege, j'ai tapé orgeix), j'ai trouvé ce post auquel Jean d'Orgeix lui-même avait participé:
www.allege-ideal.com/index.php?option=com_joomlaboard&Itemid=&func=view&catid=3&id=8936#8936
Chère Laurence,
Je suis sincèrement désolé si j'ai vous choquer, comme d'autres membres, en utilisant le terme futile à propos de certains thèmes développés sur le forum. Notez cependant, et la nuance a son importance, que j'ai seulement indiqué que ces sujets "me paraissaient plus futiles", ce qui est un sentiment très personnel, ne signifiant en aucun cas qu'ils l'étaient dans l'absolu. Loin de moi l'idée d'émettre un jugement de valeur quelconque sur la qualité des thèmes abordés, ce qui aurait été totalement absurde et présompteux de ma part.
Contrairement à ce que vous semblez croire, je ne suis pas un nouveau venu ayant adhéré à l'association par amitié pour Jean d'Orgeix qui me l'avait demandé il y a plusieurs années. Mais j'interviens très peu car la grande majorité des thèmes développés ne suscite pas un grand intérêt pour moi (ce qui ne signifie bien entendu pas qu'il n'ont pas d'intérêt!). Ceci est probablement du au fait que la plupart des membres de l'association pratiquent la discipline du dressage ou équitation académique, et ne sont je présume guère sensibilisés par l'éducation du cheval d'obstacle de haut niveau dont la préparation requiert une éducation sur le plat spécifique.
Contrairement à ce que vous supposez, ce n'est pas la première fois, loin s'en faut, que je tente d'aborder le thème de la tenue des rênes et le principe de l'action indirecte conseillé par Jean d'Orgeix car je considère que c'est un thème universel qui dépasse complètement le clivage des différentes disciplines équestres.
Mais j'ai le sentiment que nul ne réalise, ou feint de ne pas réaliser, l'importance fondamentale de cette avancée décisive suggérée par Jean d'Orgeix. Oser prétendre modifier la façon de tenir ses rênes et de s'en servir par rapport à la pratique ancestrale enseignée en haut lieu peut apparait comme un sacrilège. Jean d'Orgeix, génie équestre et révolutionnaire dans l'âme, risque ainsi de se heurter ainsi aux gardiens du temple, chantres du conservatisme le plus absolu et hostiles à toute évolution, aussi profitable puisse-t-elle être.
C'est la raison pour laquelle j'ai tenté à plusieurs reprise d'attirer l'attention de l'Association que j'espèrais progressiste, sur l'importance de ce concept, mais jusquà présent sans grand succès. Apparemment une fois de plus, l'importance du sujet est passé à la trappe, masqué par un mot malheureux que j'ai eu le tord d'utiliser et qui a focalisé l'attention.
Jean D'Orgeix a toujours souhaité avoir l'avis des instances dirigeantes et de l'intellingencia équestre sur ses suggestions techniques, en particulier concernant cette tenue des rênes, mais bien entendu tous ces notables épris d'immobilisme ont préféré se défiler et se sont bien gardé de lui expliciter les erreur d'analyse qu'il aurait pu commettre.
Amicalement,
Dominique
Bonjour à tous
M. Durand, bien que ne valant pas grand chose vous avez mon soutien total. Ne lâchez pas.
pierrex
Cher Pierre,
Bien au contraire, je suis très sensible à votre soutient et vous en remercie. J'ai d'ailleurs perçu, au travers de vos interventions sur le forum, l'estime que vous portiez à Jean d'Orgeix et je me réjouis infiniment qu'un novateur de sa trempe soit apprécié à sa juste valeur par certains qui réalisent la dimension réelle du personnage, mais qui sont trop peu nombreux à mon goût.
Beaucoup de cavaliers dits réputés se contentent en fait de vivre sur l'acquis du passé sans appoter la moindre pierre à l'édifice, mais ceux qui font évoluer la grande équitation restent des exceptions. Jean d'Orgeix fait indéniablement partie de ces exceptions, n'en déplaise à ses tristes détracteurs.
Toutes mes amitiés,
Dominique
Bonjour, Dominique. J’imagine que…
Jean d’Orgeix a été chercher des repères dans l’équitation classique pour que sa vision de l’équitation soit accessible et comprise par beaucoup de cavaliers. C’est ce qui devrait permettre l’échange entre eux (obstacle, dressage…). Une « méthode française… », titre « lourd » de signification !
Il serait d’ailleurs intéressant d’effectuer l’analyse de la progression de son enseignement en reprenant la lecture de ses livres, du premier au dernier.
La première charnière semblerait être la période de sa vie où il a été entraîneur de l’équipe de France de saut d’obstacles, au contact sur le terrain avec les allemands dont il a analysé leur travail.
Sa méthode reprend donc son expérience personnelle première à laquelle il a apporté une base classique et des emprunts de l’observation de l’équitation allemande des années 70.
Puis l’application de cette synthèse faite et les observations en découlant, à partir des différents stages que Jean d’Orgeix prodiguait, sont une deuxième charnière apportant des moments riches et personnels à ce qu’il a appelé ensuite « Ma doctrine ».
Je pense en particulier à ce passage excellent « ma reprise n’est pas passée », dédié à l’équitation sportive de saut d’obstacles ou d’extérieur, mais s’adaptant pourtant et totalement à la discipline du dressage où beaucoup de chevaux montrent un manque de perméabilité (dans « Les mains, et autres non-dits de l’équitation », page 94).
Je veux dire que adhérer à la méthode de Jean d’Orgeix n’ôte pas l’intérêt de participer aux discussions générales, ni n’empêche cette ouverture. Sa méthode n’est pas fermée.
Vous avez parlé des « … mains qui n’agissent qu’au 3ème temps du galop » proposées par Jean d’Orgeix, elles représentent pour moi un moyen utile de corriger une situation.
Se mettre ainsi en opposition ponctuelle au galop seulement n’a pas valeur d’éducation (à mes yeux) et ne doit pas oblitérer l’éducation du cheval rendu par son travail quotidien « capable d’équilibre », état bien établi et solide à partir duquel le cavalier peut ensuite prétendre intervenir. Dans le cadre d’un parcours d’obstacles, il faut que le cavalier soit « terriblement » calme pour intervenir ainsi tout en avançant vers l’obstacle.
Maintenant compte tenu du message de Jean d’Orgeix sur la tenue des rênes que vous relayez, qu’en est-il avec 4 rênes ? Je ne peux répondre.
Que voilà des échanges sympathiques sous lesquels pointe la passion prête à s’enflammer ! C’est tout le tempérament français qui s’exprime dans vos lignes. Et c’est tant mieux : rien n’est pire que la tiédeur dans ses opinions, pire encore …l’absence d’opinion.
Je suis heureux de lire à nouveau Dominique Durand dont la fougue n’a d’égal que la qualité de son style et la précision de son argumentation, et je souris à ses déclamations que Jean d’Orgeix n’aurait pas désavouées. J’y retrouve les mêmes reproches aux « instances dirigeantes » comme aux grands cavaliers « qui ne veulent pas expliquer ». Quitte à choquer moi-même je ne saurai vous dire ce qu’est aujourd’hui cette « équitation officielle » et par conséquent je ne la comparerai pas à celle de préconisait Jean d’Orgeix ou tout autre cavalier de renom.
Par contre, puisque l’association a été mise en cause dans le regret que la tenue des rênes n’ait pas fait débat, je me vois contraint de donner sur la question un avis trop rapide mais qui contient l’essentiel de mes convictions :
La main commence aux hanches du cavalier, elle se continue par son dos, ses épaules ses coudes. Elle se termine par le jeu des doigts. La tenue des rênes n’est qu’un aspect, secondaire à mon sens, de l’efficacité de la main. Car si l’une des parties du corps ci-dessus mentionnée se contracte, la précision de la main et son action sur la bouche du cheval en est altérée. Ainsi en est-il fréquemment de la contraction des épaules et du manque d’élasticité des coudes. Jean ne serait pas content s’il lisait ce qui suit (mais nous étions suffisamment complices pour se dire ce genre de choses sans altération de la qualité de nos relations) : la main doit être essentiellement considérée comme un relais de l’impulsion et ne jamais en être un interrupteur. Pour qu’il en soit ainsi le cavalier tiendra ses rênes comme il voudra mais en ayant perpétuellement à l’esprit cet impératif qu’il érigera en dogme.
Voilà ce que je crois. Bien amicalement à vous tous.
chère clara..il y a le dressage dit de competition.. que je nommerais plutot "de representation", ou l'on met l'animal coute que coute dans le moule a gauffres adequat a la prestation demandée.
et il y a l'équitation dite de "legereté", ou l'on recherche un equilibre et une connivence avec son cheval, de façon a pouvoir lui demander certains mouvements, la comprehension du cheval et sa preparation conditionnant cette demande se verifiera par la légereté dudit équidé..si l'on doit l'empoigner, c'est qu'il y a un os!soit il a mal compris, soit on s'est mal exprimé, soit l'un des deux est souffrant..là je blague!
ça tombe bien! vous etes pile poil sur le bon site!!allez visiter les autres post, celui ou le colonel Carde explique ce que va faire l'association cette année!
(ps vous avez bien fait.. de laisser tomber ce stage!) amicalement,fs