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DE L'EFFORT

24 réponses [Dernière contribution]
Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

Bonsoir Philippe.
Sociabilité, c'est indéniable.

Avant de domestiquer (au sens moderne) l'homme était surement pourvoyeur d'eau et d'aliments pour les animaux qui vivaient à proximité.
Avant d'être domestiqués, les chevaux, les loups, et d'autres pouvaient vivre en symbiose réduite avec les hommes tout en gardant leur liberté.

Actuellement, on pourrait dire que les chevaux aiment plus les hommes que les hommes, les chevaux. (En toute ignorance !)
C'est un avis personnel.
Cordialement

 

Christopher Cunningham
Déconnecté
Inscrit: 24/06/2007

Bonsoir,

Philippe, je prends bonne note de vos remarques.

J'ai utilisé sciemment le mot "miracle" pour indiquer que je ne cherche pas trop à savoir pourquoi et comment le cheval est devenu montable. Il l'est.

Ce que des millénaires ont rendus possible, nous devons le garder comme un trésor.

Vous avez parlé, naguère, du "monde distingué du cheval". (cf: B.Drummond).

Je n'ai pas oublié.

Amitié à tous.

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

Bonjour,

Alors que je garde par commodité un cheval au box, que je lui enlève toute initiative alors qu’il est en main (par exemple au sortir du box), alors qu’ensuite je le tiens attaché pour être tranquille à un anneau, est-ce que je suis en mesure (courage ?) une fois monté dessus de lui donner le goût de l’entreprise (interdit jusque-là), le goût de l’effort ensuite?

Est-ce que je vais continuer à conserver mon cheval monté dans des limites de conception humaine susceptibles de provoquer de la rétivité?
La limite humaine serait aussi le « Non ! ne fais pas çà » qui accompagne trop souvent l’éducation d’un enfant ; expression qui est transposée en direction du cheval.

Le « courage » de la légèreté à cheval est de savoir « rendre » alors que nous sommes toujours en train de « prendre ».

Lorsque je montais régulièrement à cheval, je savais n’être pas loin de la légèreté lorsque j’avais la sensation que le cheval allait m’échapper, alors qu’il montrait plutôt se tenir seul.
Mon plaisir résidait, au début de cette sensation qui pourrait paraître « désagréable », à ne pas céder à la tentation de me rassurer en reprenant.
Dans ma tête, je considérais ainsi me mettre « du coté du cheval ».

Évidemment parler ainsi de l’équitation risque de ne pas être compris, ne m’exprimant pas à partir des repères techniques habituels issus de l’enseignement ou des livres…

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

Merci, Philippe pour cette réflexion. Je crois que votre propos est audible.
Ainsi, vous rejoignez le concept de la liberté conditionnelle....