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Une gravure qui me plait

15 réponses [Dernière contribution]
FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

Dolmata,

J'aimerais bien conserver l'idée campagnarde de la barrière pour représenter les mains, sinon:
http://www.sosflam.com/images/Extincteur/CPP6-SAFE.jpg

Votre métaphore, un peu forte, me gêne par l'absence de poésie. Bye.

dolmata
Déconnecté
Inscrit: 11/05/2006

Pour Jacques
là vous pourrez mettre autant de mots que vous voulez, mais l'idée de "participation" implique obligatoirement une soumission quelque part, ce serait hypocrite de considérer que la participation d'un animal est libre et entière
sous prétexte que l'on est à pied ou autre, l'enseignement est une soumission même avec l'être humain alors l'animal...
je prends un exemple simple, à pied vous commencerez toujours par travailler dans un lieu isolé, je me trompe, vous vous servirez du parre botte c'est une contrainte qui ne peut être accepté que par une soumission et pourtant vous n'avez encore rien touché
en revanche l'idée de participation entraine que vous ameniez celui qui apprend à s'interroger à chercher d'une certaine manière une réponse
dans ce cas, je pense effectivement qu'il y a participation, et dans ce sens je vous suis, mais la soumission est implicite au processus
pour finir s'il n'y a pas de participation la soumission ne sera pas totale et donc la raison de votre action inutile
enfin la relation fils père est une relation aberrante dans ce contexte
le cheval n'a aucune idée de filliation
sur la tension des r^nes j'ai besoin de plus d'explications
Philippe
quoi de plus poétique que la chaleur du brasier, car la chaleur touche avant de faire aucun mal, la barrière c'est du solide si on s'en approche les yeux fermés on se la prend dans la figure et l'on se fait mal

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

Ah, non Dolmata pas çà!
Si je tape "appui" sur le rectangle Reherche du site, j'obtiens 439 résultats et si je tape "tension" il y a 950 résultats… Je suis fier de ma réponse! Et puis je crois que vous avez suffisamment d'expérience sur le sujet. Non?
D'accord pour la poésie au coin du feu, mais les mains ouvertes.
Sinon, ma barrière à moi: elle peut aussi s'ouvrir!
Amicalement. Bye.

dolmata
Déconnecté
Inscrit: 11/05/2006

pour Jacques
avoir l'autorité du dominant implique la soumission du dominé, pas d'angélisme pour ne pas qu'il existe de soumission il n'y a que le prés
mais je suis entièrement en accord avec vous , c'est une soumission participative, qui laisse des degrés de liberté et donc permet à l'élève de combler une issue que vous lui laissez
pour le travail
même progression,mêmes exercices, sauf que la détente (jamais de longe) je la donne après les exercices (je peux l'expliquer si c'est indispensable), le parre botte si nécessaire
pour la tension des rênes je pense vous suivre, mais quelle métaphore utiliseriez vous, du point de vue du cheval
la barrière je ne peut en être satisfait car c'est une métaphore solide, ce qui ne correspond ni au zéro ni à l'infini, de plus la barrière ouverte donne l'idée du vide que la main peut laisser (la métaphore est trop proche du mécanisme de la main, et donc n'en devient plus une, "Philippe va être en colère"), hors je pense, mais nous ne serons certainement pas d'accord
la main si proche du zéro soit elle, ne peut donner dans l'esprit du cheval l'idée de vide car la participation que vous lui demandez vous impose de ne jamais le laisser tomber car à ce moment là il est perdu, la main à un rôle même à 0
ce qui n'écarte pas totalement le fait que le cheval puisse tendre ses rênes, seulement dans certaines conditions et à certain moment, maintenant s'il ne le fait pas dans ces moments précis est il hors de l'impulsion, là est la question que je vous pose?

pour Philippe
j'avais oublié que la barrière pouvait s'ouvrir mais la chaleur peut se faire aussi carresante ce qui n'exclut pas le fait qu'elle est toujours présente et donc "rassurante"
par contre je ne sais trop quoi dire sur les résultats de votre recherche sur le site

dolmata
Déconnecté
Inscrit: 11/05/2006

concernant le cheval qui tend les rênes j'ai douté de la main "intouchable" qui ne peut envisager ce principe car vous le dites effectivement cela devient une désobéissance à la main, ma crainte fut effectivement une perte de l'impulsion
cela a pris la forme , a ce moment là , dans mon cas, simplement la possibilité de faire varier l'équilibre en allongeant ou en raccourcissant l'encolure de manière plus systématique, et rapide mais c'est ma main qui donne pas le cheval qui tend finalement