Le contre galop et son pli...
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Autre solution simple que j'utilise : cercle en bout de manège, mettre le cheval dans le contre pli quelques foulées avant la demande de galop et demander le galop quand on retrouve la piste, avant d'aborder le petit côté. Attention, je situe l'endroit par rapport au coin et au petit côté, mais le cheval reste sur le cercle...Le cheval est bien canalysé par l'approche de ce coin et du petit côté et le contre pli libère l'épaule int et facilité donc le déparet sur le bon pied. C'est simple et efficace. Le cheval part sans pb, théoriquement. Le mécanisme du départ étant réglé, on revient progressivement dans le bon pli. Il y a des tas de manière de régler ce type de pb, toutes aussi valables, d'ailleurs.
Bonsoir,
Merci Marie et Jean Philipe pour vos recommandations.
En fait, je le demande dans le pli interieur en réduisant le cercle le poids à l'extérieur.
Avec mon entraineur on lui apprend à accepter un départ à droite sans résistance ni défense, il faut absolument qu'il finisse par enfin comprendre que son attitude ne lui coûte que des inconvenients et qu'il n'y gagne rien.
Petit à petit les défenses s'estompent mais je n'ai cours que 2 fois par mois et entre les cours je crains de mal faire donc je me cantonne au pas et au trot.
Je ne rentrerai pas dans le débat du contre pli au galop ça ne fait pas encore parti de mes gammes (et pour un bon moment encore).
J'avais aussi du mal à le faire partir du pied droit à main droite en longe. Il m'a fallu bien des semaines et des semaines pour qu'enfin dès l'ordre donné et sans attendre la seconde sommation il prenne le galop à droite sur le bon pied, bien qu'il lui arrive encore de rechigner en m'envoyant le pendant de la longe dans ma direction par un grand coup de tête violent, le dos creusé la tête très relevée signe de sa désaprobation.
Je passe outre du moment qu'il avance.
En refusant de partir au galop à droite (s'il ne s'agit pas d'une mauvaise habitude) il est possible que le cheval s'oppose à l'inflexion de sa colonne vertébrale sur la droite. Et particulièrement à la longe où le cercle est restreint; d'où l'importance de marcher avec lui pour le faire évoluer sur toute la carrière.
Monté, c'est au pas et au trot qu'il va habituer son corps à s'incurver dans la douceur.
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A priori, le cheval destiné à la discipline du dressage est au préalable confirmé dans ses allures, et a appris les départs au galop du trot et du pas en extérieur (ce serait l'idéal). Si sur une carrière il ne veut pas partir au galop d'un côté, il faut retourner dehors sur des lignes droites où le cheval n'aura pas de difficulté à orienter son bassin.
Autre point très important: Avec un cheval dont le départ au galop risque d'être violent, le cavalier doit lui démontrer malgré tout qu'il accepte d'entrer avec lui dans son galop. Sinon la brutalité du cheval se maintient. Après cette démonstration (étalée sur une période difficile à mesurer), et seulement après, le ralentissement peut être imposé. Il convient de ne pas se mettre en danger cependant… Inconsciemment les défauts d'accompagnement du cavalier ne permettent pas aux chevaux de s'exprimer avec souplesse.
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Le docteur Pradier me disait dans les années 70 qu'un cheval qui ne veut pas s'infléchir d'un côté ne doit pas être forcé, mais au contraire courbé à l'opposé pour dégager les éventuels pincements ressentis au niveau de la colonne vertébrale du côté raide. Le forcer à se plier du côté raide ne ferait que confirmer sa défense… Bye
Message édité par: phfarnault, à: 2007/02/08 16:19
Oui,
mais nous sommes en face d'une personne Sophie qui ne parviens pas à faire partir son cheval au galop sur le pied droit. Et elle cite P. Karl. Et il se trouve que ce dernier a parfaitement expliqué comment faciliter le départ sur le pied voulu dans son DVD N°2.
En utilisant le "travert" avec le poids du corps à l'exterieur.
Je tentais juste de résoudre son problème : clarifier les aides et mettre dans l'équilibre favorable.
Après libre à elle d'incurver son cheval comme bon lui semble lorsque celui-ci aura assimilé l'exercice aux 2 mains, une fois la confusion et les resistances passées.