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Main haute ; main basse? - Hands: low or high?

31 réponses [Dernière contribution]
Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006

"...le cheval se plaçant toujours sur la main la plus haute..."

"La rêne intérieure incurve, ploie ; la rêne extérieure enveloppe, assoit."

"Michel Henriquet a écrit que la main extérieure fixe la position dans le plan vertical de la nuque, et que cette main doit être placée légèrement plus haut que l’autre main, conservée basse."

"Agissez avec les rênes à la base de l'encolure et non au milieu pour ne pas casser l'encolure"
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« The horse will always follow the indication of the hand which is in the highest position »

“The inside rein is bending, the outside rein provides a frame, some stability”

“Michel Henriquet wrote that the outside rein determines the position of the nape (vertical level) and that the hand giving the indication should be placed slightly higher than the inside hand that has to remain in a low position”

“Keep the hands at the base (origin, beginning) of the neck and not in the middle of it otherwise you’ll “break” the neck”

Vaste débat...
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This is open to discussion

Message édité par: tradai1, à: 2006/12/15 09:18

Message édité par: JPhL, à: 2006/12/15 18:08

 

xavier
Déconnecté
Inscrit: 21/09/2006

IL EST AIMABLEMENT RAPPELE AUX INTERVENANTS QUE LES MESSAGES DE PLUS DE 10 LIGNES DOIVENT ETRE TRADUITS PAR LEURS AUTEURS - SOYEZ SYNTHETIQUES! Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement (et sobrement).

je prend la main, car c'est un sujet qui m'a vivement intéressé ces dernières années.

le cheval se place toujours sur la main la plus élevée des deux.
La pratique valide (en tout cas,ma pratique)cet axiome énoncé par les plus grands.

or, si la main extérieure, qui détermine la position de la nuque dans le plan vertical, est placée plus haut que l'autre main, et que nous agissons sur la rêne intérieure, le cheval doit obéir à un ordre (celui de la main basse) tout en ayant à se placer sur la main la plus élevée (la main extérieure)

cette contradiction bouche-nuque,où le cheval tend à se placer sur la main limitante (puisque la plus élevée des deux) est susceptible d'engendrer un placer oblique que trahit l'abaissement, même subtil, de l'oreille intérieure.

Le cheval est susceptible de résister aux aides.Le travail est susceptible d'être faux.

cette tendance se rencontre nettement au galop et au pas, beaucoup moins dans le trot, allure symétrique.

Bien entendu, par main basse, main haute, j'entends quelques centimètres, peut-être cinq, guère davantage.

Plus généralement, le débat "main haute-main basse" qui crispe tant, jusqu'aux plus hautes sphères, n'a selon moi que peu de sens, car une main basse est haute par rapport à une main très basse et une main haute est basse par rapport à une main très haute.

Je dis souvent : "placez vos mains là où le geste vous paraît le plus naturel, puis observez les réponses du cheval et modulez en conséquence."

Pas plus tard qu'hier j'ai entendu un instructeur dire à ses élèves que LA position à adopter était celle de CHAMBRY, mais je pense que c'est une erreur que de donner un modèle, car un cavalier doit d'abord se plaire à cheval, et disposer naturellement de son corps.

Des règles de base, oui, un gabarit unique, non.

"main haute-main basse", c'est en partie le cheval qui donne la réponse ; il me semble essentiel que la main soit toujours légèrement au dessus de la bouche dans le plan vertical ; après, c'est une question de circonstance.

Avec l'un de mes chevaux, j'ai pu adopter dès les commencements la main basse (une quasi descente des aides), c'est à dire, en ce qui me concerne, à proximité du nombril, plutôt en dessous, et avec un autre cheval, qui avait une nette tendance à passer "à la retourne", j'ai dû conserver la main assez haute, c'est à dire, en ce qui me concerne, à proximité du nombril, plutôt au dessus.

L'avancée de la main vers l'avant et très haute, je m'en suis servi avec un Ibérique qui avait vu l'arène et qui était devenu rétif. Observant la part de l'encolure qui se trouvait sous mes mains, j'ai pu constater qu'elle restait alors inactive, en ce sens qu'elle ne venait pas se contracter pour servir de levier aux résistances du bout du devant. J'en ai déduit alors que ce procédé constituait une "division des résistances". Dès que possible, j'ai cherché à descendre mes mains dans le plan vertical, c'est à dire que la main est descendu pour suivre la bouche du cheval.

J'ai pu ensuite m'asseoir durablement.

voilà

Message édité par: tradai1, à: 2006/12/18 11:30

xavier Kenaz

dolmata
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Inscrit: 11/05/2006

pouvez vous éclaircir quelques points?

pourquoi le cheval se place sur la main la plus haute?

parlez vous du filet de la bride des deux?

la main intérieure n'a pas la même action que l'extérieur mais pas uniquement dans la position

concernant la hauteur de la main il est évident que tout est relatif morphologie oblige, la main est toujours plus haute que la bouche du cheval cela au moins c'est déjà à peu près certain

depuis quelques temps il n'est pas bon d'avoir des avis un peu tranchés, donc tout est dans tout et tout ce vaut,
étant réservé sur ce principe,soyez sans réserve afin que l'on sache à quoi s'en tenir (à nos rênes pour le moment...)
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Could you precise some points ? Why is the horse placing himself on the highest hand ? Are you talking about a bridle or a simple jointed mouthpiece? The inside hand has a different action from the outside one but it is not only a question of position. The height of the hands depend on the morphology of the horse but one thing is sure, the hand is higher than the mouse of the horse.

Message édité par: tradai1, à: 2006/12/18 12:17

xavier
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Inscrit: 21/09/2006

bonsoir Dolmata,

les gens qui peignaient, qui peignent les rênes se servaient, se servent du principe qui consiste à élever la main pour provoquer chez le cheval la réaction de l'appui, puis la descente (la plongée) du bout du devant.

Personnellement, je ne pratique pas cette technique car je veux que le cheval suive ma main, pas qu'il s'y oppose ;

le cheval se place sur la main qui lui permettra de trouver cet appui, par conséquent la main la plus haute des deux, sauf dans un cas, lorsque le cheval, contraint par une main impitoyable ou par une encolure renversé, a appris à relever la tête.

Alors, dans ce cas, la main, placée plus bas que la bouche du cheval, offre un contact non pas avec la commissure des lèvres mais avec la langue (je parle du filet, mettre en bride un cheval à la retourne est une entreprise délicate, pour diverses raisons), et le cheval renforce sa défense en s'appuyant sur la douleur, réaction classique chez lui ; il convient alors d'immédiatement élever la main pour reprendre contact avec la commissure des lèvres et inciter le cheval à "redescendre" le bout du devant, à ceci près qu'on ne peigne pas, on suit la descente du nez.

je ne pense pas, contrairement à votre assertion, qu'il soit "à peu près certain que morphologie oblige la main se trouve toujours au dessus de la bouche", je vois hélas plus d'une centaine de cas par semaine de ces chevaux le nez en l'air ou bien de ces cavaliers la main résolument fixée en bas sous la ligne de bouche, bras tendus verticalement comme du bois sans âme.

Ca, ce n'est pas la main basse de Michel Henriquet, vous vous en doutez bien. D'ailleurs, la main basse de Michel Henriquet signifie probablement "main descendue."

Si vous avez le moindre doute sur le placer du cheval sur la main la plus haute, mettez-vous à cheval, levez la main droite (sans dire "je le jure") baissez la gauche et regardez sur quelle main se place votre cheval ; intervertissez, et observez. Vous n'aurez plus aucun doute. C'est exactement, d'ailleurs, ce que vous précise Michel Henriquet lorsqu'il parle de la main extérieure, placée UN PEU PLUS HAUT pour fixer la position de la nuque dans le plan vertical.

Moi, j'aimerais plutôt discuter avec lui de la position dans le plan vertical de la rêne agissante par rapport à la rêne limitante. Surtout qu'il travailla longtemps avec N Oliveira, et que j'ai clairement vu le maître portugais déplacer ses mains dans le plan vertical, et particulièrement la main intérieure, dans son travail du galop.

Voilà, Dolmata.

ps : je ne vois pas en quoi je suis concerné par "depuis quelque temps, il n'est pas bon d'avoir des avis un peu tranchés" mais peut-être était-ce là une simple formule générique.

Cependant je pense clairement qu'en équitation, il n'est pas bon d'avoir des avis tranchés.

xavier Kenaz

xavier
Déconnecté
Inscrit: 21/09/2006

bonsoir Dolmata,

les gens qui peignaient, qui peignent les rênes se servaient, se servent du principe qui consiste à élever la main pour provoquer chez le cheval la réaction de l'appui, puis la descente (la plongée) du bout du devant.

Personnellement, je ne pratique pas cette technique car je veux que le cheval suive ma main, pas qu'il s'y oppose ;

le cheval se place sur la main qui lui permettra de trouver cet appui, par conséquent la main la plus haute des deux, sauf dans un cas, lorsque le cheval, contraint par une main impitoyable ou par une encolure renversé, a appris à relever la tête.

Alors, dans ce cas, la main, placée plus bas que la bouche du cheval, offre un contact non pas avec la commissure des lèvres mais avec la langue (je parle du filet, mettre en bride un cheval à la retourne est une entreprise délicate, pour diverses raisons), et le cheval renforce sa défense en s'appuyant sur la douleur, réaction classique chez lui ; il convient alors d'immédiatement élever la main pour reprendre contact avec la commissure des lèvres et inciter le cheval à "redescendre" le bout du devant, à ceci près qu'on ne peigne pas, on suit la descente du nez.

je ne pense pas, contrairement à votre assertion, qu'il soit "à peu près certain que morphologie oblige la main se trouve toujours au dessus de la bouche", je vois hélas plus d'une centaine de cas par semaine de ces chevaux le nez en l'air ou bien de ces cavaliers la main résolument fixée en bas sous la ligne de bouche, bras tendus verticalement comme du bois sans âme.

Ca, ce n'est pas la main basse de Michel Henriquet, vous vous en doutez bien. D'ailleurs, la main basse de Michel Henriquet signifie probablement "main descendue."

Si vous avez le moindre doute sur le placer du cheval sur la main la plus haute, mettez-vous à cheval, levez la main droite (sans dire "je le jure") baissez la gauche et regardez sur quelle main se place votre cheval ; intervertissez, et observez. Vous n'aurez plus aucun doute. C'est exactement, d'ailleurs, ce que vous précise Michel Henriquet lorsqu'il parle de la main extérieure, placée UN PEU PLUS HAUT pour fixer la position de la nuque dans le plan vertical.

Moi, j'aimerais plutôt discuter avec lui de la position dans le plan vertical de la rêne agissante par rapport à la rêne limitante. Surtout qu'il travailla longtemps avec N Oliveira, et que j'ai clairement vu le maître portugais déplacer ses mains dans le plan vertical, et particulièrement la main intérieure, dans son travail du galop.

Voilà, Dolmata.

ps : je ne vois pas en quoi je suis concerné par "depuis quelque temps, il n'est pas bon d'avoir des avis un peu tranchés" mais peut-être était-ce là une simple formule générique.

Cependant je pense clairement qu'en équitation, il n'est pas bon d'avoir des avis tranchés.

xavier Kenaz

ANDUZE-ACHER Sylvie
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

"le cheval se place toujours sur la main la plus élevée des deux.
La pratique valide (en tout cas,ma pratique)cet axiome énoncé par les plus grands.

or, si la main extérieure, qui détermine la position de la nuque dans le plan vertical, est placée plus haut que l'autre main, et que nous agissons sur la rêne intérieure, le cheval doit obéir à un ordre (celui de la main basse) tout en ayant à se placer sur la main la plus élevée (la main extérieure)

cette contradiction bouche-nuque,où le cheval tend à se placer sur la main limitante (puisque la plus élevée des deux) est susceptible d'engendrer un placer oblique que trahit l'abaissement, même subtil, de l'oreille intérieure.

Le cheval est susceptible de résister aux aides.Le travail est susceptible d'être faux."

Tout à fait d'accord avec vous.
Me rejoignez-vous sur l'idée suivante: allier recherche d'un contact égal et équilibré de chaque côté de la bouche(contact égal sur les 2 rênes), et éliminer la contradiction évoquée plus haut ?

Sylvie Anduze-Acher
coordinatrice Midi-Pyrénées

xavier
Déconnecté
Inscrit: 21/09/2006

bonjour Sylvie,

sujet difficile, à bien y regarder...Contact égal sur les deux rênes...hum...ce qui est certain, c'est que la main gauche ne doit pas s'opposer à la main droite.

Maintenant, avec le PRL que je travaille, le contact égal sur les deux rênes "fait" la ligne droite.

Pour les courbes, avec ce même cheval, je n'ai plus le même contact égal ; j'abandonne un peu, un tout petit peu de la rêne extérieure (!) sans modifier en rien le contact de la rêne intérieure, et le cheval vire, sans que l'impulsion soit un instant compromise.

Mais c'est un drôle de cheval, celui-là.

Avec mon anglais, pour engager une courbe,j'ouvre les doigts de la main extérieure mais je prends un peu, un tout petit peu sur la rêne intérieure, ce qui n'est pas sans modifier un chouia (mais un chouia quand même) l'impulsion.

Alors, contact égal ?

xavier Kenaz

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

Le colonel Jousseaume écrit dans "DRESSAGE":
" Pour un cavalier <sentir son cheval> est aussi nécessaire que <d'avoir de l'oreille> pour un musicien. Ecoutez ce que je ressens en ayant pratiqué la "main haute".

1- "Main haute" sur le plat:
Compensation par le cavalier d'un manque de perméabilité et action rapide sur les postérieurs en rendant le cheval compact.
Le mouvement en avant est absolument invité à guider l'expérience.
On a l'impression d'effectuer "une mise en main" corrective (Par opposition à: éducative).

2-"Main haute" sur un parcours d'obstacles avec un cheval mal préparé:
Corrige le défaut d'un cheval qui refuse la main ou la redoute.
Le mouvement en avant est le bienvenu! Mais viendra-t-il?
Le cavalier est un artiste (Pas d'applaudissement SVP) et le cheval un parvenu, je veux dire un artiste également malgré lui…

Si le cavalier constate qu'il est obligé de lever de temps à autre ses mains
pour compenser une insuffisance physique: il vaut mieux revenir aux variations des allures nécessaires à l'éducation du mouvement des postérieurs et au recul du seuil de fatigue de l'arrière-main, pour éviter de développer des contractions parasites.

La "main haute" n'est pas néfaste si elle guide temporairement le cheval, et devient bénéfique si son action est suivie d'une extension d'encolure le libérant.

Peut-on dire que la "main haute" n'a pas valeur de dressage et qu'elle doit rester une aide passagère? Je dis oui!

A vous.

xavier
Déconnecté
Inscrit: 21/09/2006

Philippe,

en ce qui me concerne, et en espérant que des intervenants viendront réagir, il me faudra du temps pour tenter d'esquisser une opinion à peu près claire :

1) compensation par le cavalier d'un manque de "perméabilité" (du cheval)

il faut que je cogite sur le choix du mot "perméabilité", par opposition à "légèreté."

2)la notion de "mise en main éducative" est nouvelle pour moi, il faut que je cogite encore là-dessus, pour autant qu'on donne à la mise en main la définition de Decarpentry, qui me va bien ("décontraction de la mâchoire dans la position du ramener")

3) parlez-vous de compenser une insuffisance physique due à une "insuffisance de dressage" ou bien d'une "insuffisance physique acquise et irréversible", nuance qui me semble d'importance.

et, pour finir, j'ai toujours du mal à donner une définition universelle de la main haute, car celui qui a le bras long présentera toujours un profil bas.

:-)

xavier Kenaz

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

Xavier, je crois avoir pensé "effet d'ensemble" en marquant "mise en main".

J' ai tenté une étude, si je me plante je l'accepte...

La perméabilité dans mon esprit indique le manque de relais par le corps du cheval des actions de rênes ves l'arrière-main.

Je pense à une insuffisance de dressage.
Au temps pour moi... Je fais amende honorable et 20 pompes, pas plus.

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 31/07/2006

Bonsoir à tous ;

Cette discussion, je voulais l'avoir à l'origine avec Xavier. Nous y avions déjà d'ailleurs à plusieurs reprises fait allusion. Mais, j'ai pensé qu'ouvrir un débat sur le forum serait plus enrichissant.

Mon cher Xavier, après mûres réflexions sur ce sujet, qui m'ont donné des migraines, et après avoir revisionné un certain nombre de photos et de vidéos, j'ai pu avoir confirmation d'une chose : Catherine Michel Henriquet monte le plus souvent les deux mains au même niveau. Sur les quelques documents où j'ai pu constater une élévation particulièrement significative de la rêne extérieure, elle était rêne agissante. La rêne intérieure basse était rêne limitante. Nuno Oliveira a écrit que seuls les écuyers ordinaires conduisaient sur leur rêne intérieure. La rêne agissante est donc prioritairement la rêne extérieure. La rêne intérieure, « rêne fixe intelligente », est avant tout là pour fixer le pli et, bien évidemment, réguler l'action de la rêne extérieure. Tu sais combien je suis culturellement parlant, équestrement parlant, imprégné par ce que les Henriquet m'ont apporté depuis 30 ans que je les connais. Mais, je pense être un disciple libéré de leur propre enseignement et je pense que leur ouverture d'esprit a donné ma propre conscience des faits, suivant la formule consacrée : « Être un maître, c'est libérer ses disciples de son propre enseignement, leur donner la conscience... ».

Je me souviens également de leçons pendant lesquelles, pour pallier à une bascule de nuque vers l'intérieur, il me demandait de monter avec une intérieure plus haute que la main extérieure. Mais, il est indéniable que dans son équitation, la main extérieure est essentiellement rêne agissante. Donc, je ne peux que te rejoindre dans l'analyse que tu as faite lors de première réponse. Si la rêne extérieure est plus haute que la rêne intérieure, elle ne peut être qu'agissante. Et, dans ce cas, la rêne intérieure sera limitante, régulatrice. Et il y aurait contradiction si elle devenait agissante sans que la rêne extérieure cesse d'agir et devienne limitante.

Sylvie, je pense qu'il y a un certain nombre d'exemples où nous pouvons dire que les deux rênes sont de tension égale, sauf l'une d'entre elles qui sera légèrement plus d'étendue. Xavier ta donnait ses exemples. Pour ma part, j'aime bien lors des exercices de la famille des épaules en dedans sentir le cheval légèrement détendre sa rêne intérieure. Je m'interroge donc également sur la réalité de contact égal sur les deux rênes que l'on rencontre si souvent dans les écrits.

Bonne nuit à tous