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Divers

32 réponses [Dernière contribution]
Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Le caveçon que j´utilise mesure environ 3 cm au niveau de la zone de contact du chanfrein et possède deux anneaux latéraux en plus du central.
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The caveçon I am using is +/- 3 cm broad for the part in contact with the nose. It presents also 2 siderings.

(par Vincent Delespaux)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011


J´ai vu un bauchérisant contemporain utiliser, avec le filet, un caveçon sur chaque côté duquel un anneau permettait d´établir une rêne. Le cavalier avait dans les mains l´équivalent de la rêne de filet et de la rêne de bride. Le cheval était monté dans la contraction et la compression ; je ne sais si - hors des présentations - , la bride était utilisée.

(par Olivier Collomb)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Bonjour,

a propos du licol a noeuds, Il me semble bien que C. Henriquet n´a pas eduque son cheval avec le licol, c´est parce qu´il est mis dans la legerete qu´elle peut dérouler sa reprise de grand prix en licol.

sinon pour ce qui est de la "force" du licol a noeud il faut savoir que c´est un outil tres puissant qui peut agir de façon tres severe sur des zones extremement sensible de la tete. c´est d´ailleur cette puissante qui fait, que bien utilisé,il peut etre precis. Attention mon intention n´est pas de critiquer ou de revendiquer l´utilisatin d´un licol a noeud mais je tenais juste a preciser le cote tres dur de cet outil sous son apparance et sa reputation douce (parce que le cheval n´a rien en bouche).

Nadege

(par Nadege)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Bonjour à tous.

Merci Nadège pour cette précision effectivement on a trop tendance à associer licol et douceur.

J´ai l´impression que chacun interprète les oeuvres équestres du passé selon sa convenance (moi y compris), que l´on oubli le contexte de l´époque où les notions de dureté, violence, châtiment, douleur ... étaient bien différente des nôtres.

Je crois qu´au sujet de Baucher il faut bien distinguer entre 1re et 2me manière.

cordialement pierre

(par Pierre)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Bonsoir,

Pour l´avoir vu de près, Catherine Henriquet utilise un bosal, qui me semble-t-il, n´a rien à voir avec un licol.

Ses rênes sont attachée en dessous et sont reliées sur un seul point d´attache.

Les rênes se rassemblent devant l´encolure du cheval et s´y "appuie". Il me semble que cela a un effet précis, mais je ne me souviens de ce qu´avait dit MH à ce sujet.

StephE

(par Stephe)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

vous avez raison de souligner qu il y a place a interpretation des mots.Mais tenons nous aux faits rapportés.

Seeger montre avec precision que les chevaux de Baucher ne sont pas dans le meme equilibre que les chevaux de l ecole classique ( fut ce t elle germanique pas d anti teutonisme primaire svp).
Consequence directe: Seeger n aime pas ce galop plus horizontal que le sien - peut etre parce qu il ne sait pas l obtenir- et il avoue alors que le changement de pied au temps n est pas accessible aux dresseurs de l ancienne ecole.
Baucher sait monter les chevaux dans un "equilibre horizontal" inusité pour son epoque puisque le reproche que lui fait Seeger est que ses chevaux ne plient pas autant que les chevaux des anciens les hanches ni les grassets . Ce qui en revanche leur donne la possibilité de changer de pied au temps et de faire tous les autres airs
On pourrait donc dire, en prenant des libertes, que le prinicipal apport de Baucher est non pas dans la malaxage methodique des barres des chevaux mais surtout dans le fait d avoir montre qu on peut monter les chevaux dans un equilibre plus horizontal et que cela ouvre des possibilités insoupçonnées. Ce constat repris par les cavaliers classique les a amenes tres vite a changer de pied au temps, en chargeeant un peu moins les posterieurs et donc en sortant d une esthetique classique qui leur etait chère.

(par jp)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Bonjour Stephe

Je ne sais pas si Mme Henriquet monte en bosal, mais tout le monde a pu et peut encore voir les photos de la réunion d´AI à Autouillet où elle montait en licol à corde. Et il s´agit bien du type de licol que j´évoquais, c´est à dire celui sur lequel on fixe les deux renes sous la tête.

Amicalement

(par Hélène Solmiac)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Bonjour Hélène,

On parle donc bien de la même chose, mais qqun (je ne sais plus qui) parlait d´anneaux sur le côté qui manquaient sur un caveçon.

StephE

(par stephe)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Justement, car la quête de l´outil parfait est la quête de l´arme qui réussira à annuler la bagarre, le belliqueux qui peut nous poursuivre durant toute une vie équestre ; l´attention à comprendre l´instrument et le perfectionner afin d´atteindre un son plus harmonieux "le son harmonieux étant en équitation le déplacement le plus harmonieux".
Le mors et les rênes sont les insturments indispensables afin de réussir à composer quelque chose, sinon vous sombrez dans le sans âme.
Baisser sa garde car soit, vous essayez de résoudre le coeur du problème, soit vous jetez le bébé avec l´eau du bain!
Les termes renvoient à un esprit, mais surtout à un esprit à l´origine de l´équitation. Bras se dit arm en anglais et le bras est le prolongement de la main, main qui nous fait tant défaut en équitation.
Les mots montrent l´esprit et peuvent faire peur notamment aux nombreux érudits de l´équitation n´ayant aucune réalisation et sachant "noyer le poisson" à travers des discours d´une telle noblesse.

(par David)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Le mors et les rênes VOUS sont indispensables. Soit.
Pour le reste, je suis probablement bien trop stupide car je ne comprends pas le sens profond d´un discours aussi décousu. Je cesse donc de débattre.

(par Hélène)