enseignement dans la legerete
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mer, 27/07/2005 - 00:00
#12
Merci à tous pour vos conseils fort utiles.
Toute forme de contact n´est certainement pas assimilable à de la répression, mais je crois qu´il me faudra infiniment plus d´heures de pratique avec ce style de monte pour acquérir une juste sensibilité.
Cordialement
(par Hélène)
Bonjour,
je pense que suivant les écoles, les disciplines, les chevaux et le sentiment du cavalier, on peut avoir plusieurs notions de la légèreté.
Pour moi, la légèreté, ce n´est pas sans main. C´est une main qui agit à propos, qui n´a pas de mouvements inoportuns et qui agit sur un cheval à l´écoute de la moindre indication. La légèreté s´entend aussi aux jambes qui ne devraient pas avoir à insister lourdement sur les indications et l´assiette qui permet de jouer sur la masse du cheval (Peteris, c´est à vous.. :)
La tension des rênes est à mon avis affaire de l´instant. On peut pendant un bref instant prendre une tension importante, l´essentiel étant d´aller vers les oreilles du cheval et non vers son ventre. L´essentiel étant que ce soit le cheval qui tende les oreilles vers l´avant et non le cavalier qui ramène le menton. Dans le premier cas, je pense qu´on est léger. Dans le second, on est "lourd"...
Il est également utile de vérfier tout cela par une descente de main. Comme je travaille quasi toujours dans l´incurvation, pour moi, il s´agit de laisser flotter la rêne interne et de faire taire la jambe externe, le contact (pas appui) étant gardé sur la rêne externe et la jambe interne.
Le ramener forcé par le cavalier entraîne, à mon avis, un désengagement des postérieurs, effondrement du garrot et perte de la tension du dos.
Voilà mon avis de petit cavalier de campagne.
StephE
(par StephE)