Divers

If you allow it to me, I to add my small stone at this building which goes up slowly. In a first, I prefer to do standard work rein long (that avoids slowing down inconsciamment whereas one tests the accelerator vainly...). With the least pressure of the legs, Cheval (it thus does not have a name this animal? :) must go ahead. 2 pressures without effect, and the riding crop must immediately act, only once, firmly, without brutality, nor anger. (the badine, it is easier to use, I find...). Horse goes then highly ahead and you are always reins long. Before it does not disconnect, YOU ask him for a downward transion, with if possible, the bust and the voice. Horse in any event would have transitionné and you keep control thus... Count the treads and ask in one or two of more the following day... Then, it is the promptitude of your answer and its regularity which will make it possible "to educate" your horse. It must answer the second pressure of the calves, and this always, some is time, your mood, the flies, the day of the week or the size of the moon... If you decide to leave him two chances, it is necessary that it is always... Personally, I use much the voice. Clear orders (not from sentence of the kind "go, one needs trotter, horse now"), a call of language or its not to draw the attention and "trotter". A voice engraves for the downward transitions or the congratulations and an acute, firm voice authoritative, but without anger for the rising transitions or the vocal reprimands... This use of the way is discussed, but I always found it very useful and paramount. It is your constancy in your reactions (always two pressures of the calves, not of riding crop to a pressure if you are badly luné, nor to three if you had a good day), your accuracy without anger (the same fault always deserves the same reprimand, the same realization always deserves the same reward), your firmness (if you decided to go au.trot, you must go there) who will allow you to gain the respect (and not the obedience) of your horse. Thus your horse will finish by you forgiving your variations sometimes, but it will never do it as long as you will not have gained his respect (just like you go pardoner to a friend what you will never forgive with an unknown, neighbor, etc...). I think for example of the horse of Nathalie who without sorrow will have forgiven him small égarrement at the end of a bad day. This work is more to make on the rider that on the horse, but it brings its attitude to the horse, just like your horse will be anxious if you are afraid, it will be anxious if it does not know how you will react... StephE

(par StephµE)

Si je puis me permettre, j´insisterai derechef sur la nécessité d´agir avec la cravache dès la 1ère pression, dans la seconde exacte qui suit son action sans réponse.
- Cette pression de jambes peut avoir été interrompue, ou demeurer active jusqu´au résultat attendu (soit 2 ou 3 secondes).
- L´action de cravache doit être juste suffisante pour obtenir un résultat en une ou deux secondes: un toucher ou un tapotement répété jusqu´au résultat (ce qui laisse au cheval la possibilité de réfléchir posément à ce qui se passe); une attaque plus franche seulement si les résultats continuent à tarder au fil des répétitions.
- La voix (ordre "trotte" sans plus) permet des résultats plus rapides et amuse plus le cheval. Mais très vite on n´a plus besoin des jambes, et il me semble que ce n´était pas le but de Nico, c´est pourquoi je ne l´ai pas mentionnée.

Si l´on attend la 2ème, ou la 3ème pression pour agir avec la cravache, le cheval l´attendra sans doute aussi pour s´ébranler ! (voir à ce sujet mon article sur "la politesse des aides", site www.saintvaulry.com).
Je suis parfaitement d´accord avec StephE sur l´absence totale de main, qui évite de parasiter l´exercice...

I will insist again on the need of acting with the stick after the 1st leg pressure, in the exact second which follows its unanswered action.
- This leg pressure can be stopped, or remain active until the awaited result.
- the stick action must be just enough to obtain a result in one or two seconds: a touch or a tapotement repeated until the result (what leaves to the horse the possibility of thinking calmly of what occurs); a franker attack only if the results continue to delay in spite of the repetitions.
- the voice (order "trott ", no more) allows faster results and amuses more the horse. But very quickly one needs no more legs, and it seems to me that this was not the goal of Nico, that´s why I did not mention it.
If one waits for the 2nd, or the 3rd pressure to act with the stick, the horse will undoubtedly wait also for it to answer (see my article on " courtesy of the aids", in french, site www.saintvaulry.com). I do agree with StephE on total absence of hand, which avoids parasitizing the exercise...

(par vsv)

Bonjour Nathalie, j´essaie celà dès demain et j´espère ne pas avoir à trop utiliser la cravache ?! Dans tout celà, difficile de définir la part de "je ne comprends pas ce que tu me demandes à cause d´une confusion des aides" et "je me fiche bien de toi" . De toute façon, je privilégie la méthode douce car de toute façon, je pense que se fâcher ne résoud rien !
Amicalement .
Nico

(par Nico)

Bonjour Step E, c´est vrai que rênes longues, mon cheval qui se nomme "Imairone" se porte assez bien en avant . C´est lorsque je réajuste les rênes qu´il se ralentit, ou plutôt, au moment où je lui demande de céder dans sa nuque . N´allez pas dire que je lui tire sur la bouche car je m´efforce toujours de le décontracter en jouant dans mes doigts . En fait, il cède difficilement et est toujours à l´affût de relever la tête . Pourquoi ?

(par Nico)

Bonjour,
juste un commentaire au sujet de la cravache.
Nico, Ce n´est pas parceque vous l´utilisez que vous devez le faire avec colère. La cravache est un outil comme vos jambes ou le reste de votre corps, si vous l´utilisez, justement, votre cheval ne vous en voudra pas.
De plus si cela permet une meilleur compréhension entre vous , elle vous fera gagner du temps et de la finesse dans vos aides.
Ce n´est pas fait pour l´utiliser tout le temps mais pour passer un cap. Vous devriez ne plus avoir à vous en servir très rapidement, et la substituer par une très légère pression de vos mollets, mais surtout la voix.
isa

(par isa danne)

Bonjour véronique,

Moi aussi, je préfère la première pression, mais en fait je rebondissais sur ce que disait Nathalie, et j´insistais surtout sur la constance à mettre dans la chose...

Par contre, en ce qui concerne, la cravache, comme le dit mon moniteur, toute action doit être suivie d´une réaction. Tout comme la jambe, l´action de la cravache doit être suivie d´une réaction immédiate. Je préfère donc un seul coup de cravache à plusieur tapotements sans effets (à ce sujet, j´aime bien les cravaches pour les enfants, avec la petite main au bout, elles font plus de bruit que de mal, et le bruit est souvent plus efficace pour cela :)

StephE

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Hello Veronique, Me also, I prefer the first pressure, but makes some I rebounded on what Nathalie said, and I especially insisted on constancy to put in the thing... On the other hand, with regard to, the riding crop, like says it my monitor, any action must be followed of a reaction. Just like the leg, the action of the riding crop must be followed of an immediate reaction. I thus prefer only one blow of riding crop with plusior tapotements without effects (on this subject, I like the riding crops for the children, with the small hand with the end, they make more noise than of evil, and the noise is often more effective for that:) StephE

(par StephE)

Bonjour Nico,

Dans ma conception du travail, je respecte un certain ordre qui me parait logique. La première chose est d´avoir un cheval qui se porte FRANCHEMENT (assez bien n´est pas assez bien :) en avant à la moindre pression des jambes sur une ligne droite, sans main et qui transitione vers le bas, principalement à la voix, la direction (non assistée à ce stade :) fonctionnant avec de larges rênes d´ouvertures en direction de la bouche du cheval.

Ensuite, je travaille sur de la descente d´encolure. A la pression des mollets, sur des rênes ajustées (j´ai pas dit courte, j´ai dit ajustée et l´on peut les peigner pour fluidifier le mouvement), mon cheval doit doucement, descendre le bout de son nez en l´avançant pour "donner" son dos... C´est la première acceptation du mors comme moyen de communication. Pour moi un cheval qui ne sait pas faire cela ne peut pas aller plus loins... Cheval (j´arriverais pas avec son nom, il aurait pas un petit surnom ?:) sait il correctement faire cela en gagnant du rebond et de l´élasticité dans ses allures ?

Quant à la cession de nuque, elle reste pour moi un mystère de l´équitation moderne. Je vois tous ces cavaliers aux chevaux campés qui triture leur bouche sous peine de décontraction et de "cession de la nuque", mais je considère que les cessions de nuque viennent plus tard et toutes seules lorsque l´arrière-main a cédé. Je considère qu´il faut se préoccuper de l´arrière-main, car si vous avez l´arrière-main (le dos englobe ici, l´AM), vous aurez forcément l´avant-main, mais l´inverse n´est pas vrai (ce serait trop facile ;)...

Ce n´est que ma conception personnelle à cet instant T (y´a bien que les imbéciles qui changent pas d´avis :), mais pour l´instant, je n´ai pas vu d´exemple pouvant me démontrer de contraire d´une façon qui m´aura convaincu :)

StephE

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Hello Nico, In my design of work, I respect a certain order which appears logical to me. The first thing is to have a horse which goes FRANKLY (rather well is not rather well:) ahead with the least pressure of the legs on a straight line, without hand and which transitione downwards, mainly with the voice, direction (not attended this stage:) functioning with broad reins of openings in direction of the mouth of the horse. Then, I work on descent of neck. With the pressure of the calves, on reins adjusted (I do not have known as short, I said adjusted and one can comb them to flux the movement), my horse gently must, to descend the end from its nose by advancing it "to give" its back... It is the first acceptance of the bit like mean of communication. For me a horse which cannot do that cannot go more loins... Horse (I would not arrive with its name, it would not have a small nickname?:) can it correctly do that by gaining rebound and elasticity in its paces? As for the transfer of nape of the neck, it remains for me a mystery of modern horsemanship. I see all these riders with the camped horses which triturates their mouth under penalty of relaxation and of "transfer of the nape of the neck", but I consider that the transfers of nape of the neck come later and all alone when the back-hand yielded. I consider that with back-hand should be been concerned, because if you have the back-hand (the back includes here, AM), you will have the forehand inevitably, but the reverse is not true (it would be too easy;)... It is only my personal design at this moment T (y´ has although the imbeciles who do not change an opinion:), but for the moment, I did not see an example which can show me of opposite in a way which will have convinced me:) StephE

(par StephE)

Bonjour,

Il ne peut y avoir une pression de jambes sans réponse à la demande. Il ne faut pas attendre la 2 ème pression. C´est une erreur !

Une pression de jambes, pas de réaction, cravache et un coup sec et net. Le cheval doit fuir ce coup !

En deux ou trois fois, il a compris.

Cordialement

Serge

(par Serge)

StephE,
Je pensais comme vous, avant.
Mais comme je l´ai précisé, le coup de cravache unique "secoue" le cheval, au risque de perturber sa compréhension (or la peur est l´ennemie de l´apprentissage).
Vous semblez d´ailleurs m´avoir mal lue : j´ai parlé d´un tapotement répété jusqu´au résultat, pas d´un tapotement sans effet. Il permet d´expliquer les choses avec plus de progressivité. Très utile avec un cheval sensible ou impressionnable, et pour allonger le pas sans risque de prendre le trot (avec un lusitanien par exemple).
Comme vous pouvez l´imaginer, j´ai pris soin de vérifier la validité de cette leçon de jambes adoucie avant de la conseiller comme alternative à l´autre version (j´ai une formation scientifique). C´est cette comparaison qui m´a convaincue de son intérêt.

(par vsv)

Pauvre Nico ! Comment s´y retrouver là dedans ? Au stade où vous en êtes, la priorité est la mise en avant de Cheval (j´ai bien noté qu´il avait un nom, mais je ne l´ai pas retenu -promis je m´en souviendrai le prochain coup). On reste donc sur le basique "jambe sans main, main sans jambe" (et on ne cherche absolument pas à placer). Les rênes sont tenues entre le pouce et l´index, les doigts se ferment et la main monte uniquement pour arrêter ou ralentir (et se faisant, ZERO JAMBE). Autre priorité à mon sens : le travail sur des allures SOUTENUES (étant donné le contexte décrit). Ce qui implique évidemment une bonne détente au pas (pas actif, rênes longues). Pour le maintien des allures, la mise en avant, je suis aussi plutôt partisante du coup de cravache "net", que celui-ci intervienne à jambe1, 2 ou 3 est à mon sens question de feeling par rapport au cheval (c´est un peu les phases 1, 2, 3 du PNH : si on sort l´artillerie au stade 1, cela pourra renforcer un sentiment de crainte de la part du cheval...). Il va également falloir que vous travailliez à fixer votre main (c´est un gros morceau) et arrêtiez -dans un premier temps- de jouer continuellement avec vos doigts, tant que vous n´aurez pas l´assurance d´avoir la main fixe (absence de tout recul et capacité à résister si le cheval tire). Pour vous aidez, vous pouvez commencer par poser vos mains sur vos cuisses ou sur un collier de chasse. Bonne continuation.

(par nathalie)