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Divers

16 réponses [Dernière contribution]
Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

As usual, excuse my non-existent French. I shall have to write in English.

Knowing the inferior nutrition in any choice of hats, I shall have to caution against consuming it. I say this, because I have photos of ridden horses at trot shoulder in from above:
http://www.kahlin.net/noir/dressyr/horseanatomy/lette_bend_s-i.jpg

and one of the turn on the hindquarters:
http://www.kahlin.net/noir/dressyr/horseanatomy/eric_lette_bend.jpg

These photos indicate a bend in the body, not just the neck.
However, and this is a big "however" I cannot at all guarantee that this horse is ridden in lightness, even if it looks like it from the simultaneous photo from in front, that can be supplied, should the demand arise.
I plan to take some photos of myself and of a friend in this same position for comparison, but due to a ruptured disc in my back, it will have to wait 4-6 months...

It is my belief that the horse can and should bend in the body when ridden lightly and gymnastically. To which extent, though, I cannot say.

The kindest of regards,

Theresa in Sweden

(par Theresa Sandin)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour,

Comme Yves Delord nous l’a indiqué, assouplir un cheval et le redresser sont deux activités équestres différentes qui sont intimement et interactivement liées l’une à l’autre. Il faut les pratiquer alternativement pour pouvoir exploiter la souplesse dont le rachis est capable; on peut constater cette souplesse lorsque l’on observe de près les chevaux afin de pouvoir bien les comprendre, les soulager, les décontracter, et surtout les redresser.

D’abord, cher Colonel Carde, je confesse avoir beaucoup appris en lisant et relisant souvent « Equitation académique » du Général Decarpentry. Car, d’après ce que le Général L’Hotte a écrit, lorsque je lisais le livre, j’avais déjà une bonne expérience équestre. Je pouvais déjà associer à mes mémoires et à mes sentiments les messages et les images imprimées dans les livres. Je ressentais ce que je lisais. Ensuite, j’appliquais les exercices proposés indépendamment de l’ordre dans lequel ils étaient présentés dans les livres; mais seulement lorsque j’étais sûr que le cheval allait être prêt à les exécuter et surtout à en bénéficier. J’étais déjà considéré par les équitants qui me connaissaient bien comme un psychiatre des chevaux.

Ensuite, la difficulté que j’ai avec le chapitre sur l’ « assouplissement latéral du dessus », vient du fait que le travail au trot, au pas d’école, et sur deux pistes assouplit les chevaux, mais trop souvent au dépend de la souplesse latérale du rachis, donc de la ligne du dessus.
Je m’explique. Comme je l’ai déjà indiqué, je suis convaincu que lorsque le cheval travaille au trot son rachis tend à se comprimer, et donc se raidit un peu. Maintenant, j’ajoute: qu’il se raidit aussi, lorsque le cavalier rassemble le cheval, surtout si celui-ci est placé dans le ramener dans une légèreté relative. Comme Coralie Smyth nous l’a si bien fait remarquer, le corps du cheval va s’incurver surtout derrière son épaule et coude intérieurs. Et, je crois aussi un peu grâce au mouvement de cardan du joint sacro-lombaire.

Compenser l’obliquité du cheval est l’un des soucis principaux de la belle équitation, sans cette compensation il n’y a pas d’espoir d’obtenir le synchronisme au piaffer, entre autres. D’après ce que j’ai pu constater récemment aux Jeux Olympiques d’Athènes, l’obliquité du cheval n’a pas l’air d’être un souci pour les autres disciplines et c’est probablement là que se trouve la différence entre le dressage académique et le CSO.
Pour réduire cette obliquité, il faut assouplir latéralement la ligne du dessus avant de rechercher à assouplir l’ensemble du cheval. Et, oui StephE, cela se fait surtout au mieux dans la légèreté au pas ordinaire impulsé sur des courbes. C’est donc tout au long du dressage du cheval que l’on doit assouplir latéralement la ligne du dessus; au début, avec un cheval neuf, plus tard comme préparation aux airs avancés du dressage académique. On assouplit latéralement la ligne du dessus toujours au pas, au moins pendant la phase d’échauffement et aussi à la fin des instants de détente au pas; instants de détente qui doivent être insérés dans la session de travail dès que le cavalier sent le cheval commencer à se raidir au niveau du rachis.

Physiologiquement, cela à du sens. Lorsque les espaces inter-vertébraux sont comprimés les nerfs rachidiens peuvent être plus ou moins pincés; ce qui peut causer des bloquages du dos qui pourront déclencher des réflexes de défenses parfois très surprenantes de la part du cheval.

A suivre…
Amicalement
MK

/////////////////
Hello,

As Yves Delord indicated to us, suppling a horse and straightening him are two different equestrian activities that are intimately and interactively linked to each other. They must be practiced judiciously to be able to exploit the small amount of suppleness of he dorsal spine; we can notice this suppleness when we observe horses very closely in order to understand them, to soothe and relax them, and mostly to straighten them.

First, dear Colonel Carde, I admit that I learned a lot from reading again and again « Academic Equitation » by General Decarpentry. Because, according to what General L’Hotte wrote, I had a good enough equestrian experience when I read the book. I could associate my memories and my feelings to the messages and pictures printed in books. I felt what I read. Later, I would practice the suggested exercises independently of the order in which they were presented in the books; but only when I was sure that the horse was going to be ready to do them and mostly benefit from them. Already, the equestrians who knew me well would consider me as an equine psychiatrist.

Then, the difficulty I have with the chapter on “lateral suppling of the horse’s back” is that the work at the trot, the two-track work, and the work at the school-walk supple the horse, but too often at the expense of the suppleness of the spine, thus of the back.

I explain. Like I indicated already, I am convinced that when the horse is at the working trot the spine tends to be compacted, thus it stiffens a little. Now, I add that it stiffens also, when the rider collects the horse, especially if he is put on the bit in a relative lightness. Thus, like Coralie Smyth pointed out so appropriately, the body of the horse will bend laterally mostly behind his inside shoulder and elbow. And, I think maybe also a little thanks to the universal joint movement of the lumbo-sacral joint.

To compensate for the natural obliquity of the horse is one of the main concern of the beautiful equitation, without this compensation there is no hope for synchronization of piaffe for example. According to what I saw at the Olympic games in Athens, obliquity doesn’t seem to be much of a concern for other equestrian disciplines, and it’s probably there that the difference between Academic Dressage and Show Jumping is found.
To reduce this obliquity, we must supple laterally the back of the horse before trying to supple the whole horse. And, yes StephE, this is done best in lightness at a regular impulsive walk. Thus all along the training we must supple laterally the spine, at the start, when the horse is green, and even later as part of academic training. We must always supple laterally the back at the walk, at least during warm up and at the end of each moment of pause at the walk; moments of pause that must be inserted in the working session as soon as the rider feels that the horse starts to stiffen along his spine.

Physiologically, this is meaningful. When the inter-vertebral discs are compacted some spinal nerves can be more or less pinched, which may cause some blocks on the back that will trigger some very surprising resistances from the horse.

A suivre…
Regards
MK


(par Michel Kaplan)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Thank you Theresa for these very interesting pictures, even though they aren’t great examples of lightness.
The shoulder in seems to be obtained with too much contact on the inside rein and not enough on the outside.
The turn on the haunches seems somewhat lighter.

Anyhow, on each picture, I drew a straight line from the middle of the withers to the middle of the last lumbar vertebra:
On the shoulder in photo the lateral bend of the spine is very small, which is to be expected at the trot without enough lightness.
On the turn on the haunches photo the lateral bend of the spine is more obvious.

Good work!
Regards, MK
\\\\\\\\\\\\\\\\\
Merci Theresa pour ces images qui sont très intéressantes, même si elles ne montrent pas une légèreté exemplaire.
L’épaule en dedans semble être obtenue avec trop de contact sur la rêne intérieure et pas assez sur le côté extérieur.
Cependant, le tour autour des hanches semble être plus lèger.

De toute façon, sur chaque image, j’ai tracé une ligne droite du milieu du garrot au milieu de la dernière vertèbre lombaire.
Sur la photo montrant l’épaule en dedans la flexion latérale du rachis est très faible, ce qui est normal étant au trot et sous la tension de la rêne intérieure.
Sur la photo montrant le tour autour des hanches la flexion latérale du rachis est plus évidente.

Bon travail!
Amicalement, MK

(par Michel Kaplan)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour à tous

De bref passage sur le forum, je suis particulièrement en accord avec vous , Michel, sur ce qui à du sens.

Que penseriez-vous de considérer les états de décontraction, tension, contraction ou tétanisation de la musculature dorsale sous la perspective de la musculature cybernétique dorsale du cheval et de ses rapports avec l´assiette du cavalier ?

Amicalement
Peteris

(par Peteris Klavins)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Correct me if I am wrong - but when I see these pictures - I can´t see any flexion... Bend yes, but no flexion. Interesting!/Margareta

(par Margareta Westlin)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Chère Margareta

Regardant les photos, j´appréhende mal la distinction que vous faites entre incurvation (globale) et flexions vertébrales (latérales), et je trouve le cavalier un peu trop verticalisé à mon sens...

cordialement
PK

:):):):):):):):):):):):)

Dear Margareta

Looking at the pictures, I understand not well the distinction that you make between bending (globally) and vertebral flexions (laterally), and I find the rider a bit to much verticalized in my mean...

Cordially
PK

(par Peteris Klavins)