Longe et rênes allemandes
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Bonjour,
J´ai longtemps longé seul, ce qui oblige à pallier à un manque que viennent masquer les enrênements : une deuxième personne. Un à la longe et une autre pour la chambrière permet de faire un travail simple et efficace.Si vous êtes versés dans certaines choses, cela fait trois et trois, c´est un bon chiffre. Cela permet une meilleure concentration et permet de garder au cheval une régularité dans les allures.Il y a moins d´affrontements et la longe est à son maximum.Je n´hésite pas à longer sur le mors (prendre des branches afin d´éviter qu´il ne passe à travers la bouche)et n´attache de l´importance qu´au souffle et au rythme (un pas de galop = un souffle). De là, mettre le cheval dans un rythme et le pousser à "l´autoentretenir". La position idéal arrive avec la durée et demande chaque jour à être retrouvée.
(par David)
Bonjour,
Je n´ai jamais essayé de longer à deux, mais il doit être extrêmement aisé de mettre le cheval dans la confusion, la coordination de deux personnes ne pouvant être parfaite.
Par ailleurs, il me semblait que chez le cheval une foulée de galop = une respiration était automatique quelque soit le cheval, non ?
StephE
(par StephE)
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J´ai déjà longer avec des rennes allemandes. Cependant je pense qu´elle ne sont pas totalement adaptée pour cela. Je préfère le Gogue, il me semble qu’il est plus facile à régler et de plus permet une meilleure harmonie dans l’attitude du cheval en longe ou monté
Pour ce qui est de la recherche de la légèreté j´ai parfois l´impression que cette obsession chez certains membres à un coté « secte », il ne faut pas si, il ne faut au grand jamais faire cela…
La légèreté est le fruit d’une expérience individuelle et d’une recherche constante. A mon avis atteindre la légèreté ne ce fait pas toujours dans la légèreté !!
Ainsi il faut accepter d’utiliser un enrênement même si celui ci n’est pas communément accepté par la doctrine des adeptes de la légèreté. En effet lorsque l’attitude d’un cheval est si désastreuse pour X raisons, il est parfois utile d’orienter le cheval vers une nouvelle attitude. L’enrênement permet de montrer au cheval ce qu’on attends de lui, il est évident qu’il va y avoir des résistances… C’est pas grave dès que le cheval aura compris (ils comprennent très vite si on est malin) on pourra enfin reprendre le travail dans le bon sens avec plus de légèreté monté ou en longe. L’enrênement dans ce cas aura été une aide pour un passage difficile et non pas un standard de travail !
Mais que de temps gagné et surtout mieux vaut une bonne explication une fois pour toute qu’une explication confuse jour après jours assimilable à un harcèlement pour le cheval. La légèreté c’est aussi dans l’esprit du cavalier qu’il faut la trouver.
(par Eric)