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Baucher en Allemagne / Baucher in Germany

23 réponses [Dernière contribution]
Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Il n´est pas banal qu´un cavalier français découvre Baucher en Allemagne et sous un maître allemand qui l´a lu et l´apprécie. Puisque cela m´est arrivé, à cause des études que je poursuis en Allemagne, une courte description intéressera peut-être les membres d´Allège-Idéal.
Il s´agit de leçons particulières données par le même professeur à un élève montant toujours le même cheval, concurremment avec le propriétaire de l´animal. L´élève monte seul le cheval dans l´intervalle des leçons, tantôt en manège, tantôt en extérieur. L´élève a une expérience équestre antérieure et son assiette est acquise. Le professeur connaît bien le cheval et ses problèmes physiques.

Pour introduire l´élève au bauchérisme et former un cheval au dressage peu avancé, le professeur se focalise sur les points suivants:
Première considération : le professeur s´intéresse peu à la position de l´élève et ne détaille point des exigences touchant telle ou telle partie du corps. Il le veut bien assis dans ses fesses, détendu, bien à l´aise. Il importe que l´assise soit bien équilibrée, le poids n´étant jamais renforcé vers l´intérieur. Il lui demande seulement de ne jamais faire agir les mains vers arrière, tout en lui conseillant de les tenir fort écartées l´une de l´autre dans une première phase d´apprentissage pour le cavalier et d´éducation du cheval, ce qui amène à l´utilisation toute française de la rêne d´ouverture, inconnue des allemands. La rêne d´appui est bannie. Il démontre l´utilité de chaque nouveau conseil par des explications d´ordre psychologiques, physiques ou musculaires.

Deuxième considération : l´engagement des postérieurs est une préoccupation majeure et la condition de tout travail. Il est favorisé par l´amélioration de l´équilibre et le mouvement en avant.

Troisième considération : dès les premiers temps de la reprise, le cheval doit céder à la main du cavalier qui obtient au début sur le cercle et par l´incurvation la cession au mors et la légèreté dans le rassembler. Le travail de la main est donc essentiel : le cavalier doit imposer au cheval la légèreté, parfois avec “force” si le cheval s´obstine à la refuser. Mais surtout, lorsque le cheval cède, le cavalier cède à son tour, et c´est la note bauchérisante essentielle du pédagogue.

Ceci concerne une première phase d’apprentissage de plusieurs mois.

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It is not common that a French rider discovers Baucher in Germany thanks to a master who has read him and appreciates him. It is what happened to me, because of the studies that I continue in Germany. A short description might interest the members of Allège-Idéal.
It is about private lessons given by the same professor to a pupil who always rides the same horse, conjointly with the horse owner. The pupil rides the horse alone meanwhile the lessons, sometimes in the arena, sometimes outdoors. The pupil has former equestrian experience and its seat is acquired. The professor knows the horse and its physical problems.

To introduce the pupil with the baucherism and to educate a horse with not very advanced breaking in, the professor focuses himself on the following points:
First consideration: the professor is not really interested in the position of the pupil and does not detail requirements concerning such or such part of the body. He wants him to be quite sitted on his buttocks, relaxed and confortable. It matters that seat is well balanced, the weight being never reinforced towards the interior. He only asks him to never move the hands towards the back, while advising him to hold them extremely wide apart one from the other, in a first phase of training of the rider and education of the horse. It brings to the very French use of the opening rein that is unknown in Germany. The neck rein is banished. He demonstrates the utility of each new advice with explanations of psychological, physical or muscular level.

Second consideration: the engagement of the hind hand is a major concern and the condition of any work. It is supported by the improvement of balance and the forward movement.

Third consideration: From the first times of the riding lesson, the horse should give to the hand of the rider who obtains at the beginning the giving up of the bit and lightness in gathering on the circle and by incurvation. So, the work of the hand is essential: the rider should impose on the horse lightness, sometimes with “force” if the horse persists to refuse it. But especially, when the horse gives up, the rider gives up in its turn, and it is the essential baucherist touch of the pedagogue.

This concerns a first learning stage that lasts several months.
(I hope my English was OK…)

(par Laurent)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour Laurent,

Il y a quelque chose qui me gêne dans ce qu´il a été écrit : "le cavalier doit imposer au cheval la légèreté, parfois avec “force” si le cheval s´obstine à la refuser."

Je pense, pour l´avoir vécu, que la sensation de légèreté est forcément fausse si elle est imposée.
Le problème, c´est que le cavalier qui impose n´a pas conscience d´être dans une fausse légèreté.

je préfèrerais le terme de "proposer" plutôt qu´imposer. Et je bannis toute force. C´est comme si vous vouliez apprendre à nager gracieusement à quelqu´un qui n´a pas envie de nager à un moment précis de la journée pour raisons de peur, de non motivation, etc... Pour moi, le respect du cheval passe par l´acceptation de ses refus, que j´essaie ensuite de comprendre.

Pour parvenir à la légèreté, je pense d´une part qu´il est préférable de respecter le rythme naturel du cheval dans sa progression vers la légèreté : si le cheval refuse un jour, la foi suivante cela peut tout à fait bien se passer.

D´autre part, je suis convaincue que l´emploi de la force va à l´encontre d´un fonctionnement en balancier global.

A bientôt
Caroline
/////////////
Hello Laurent

Something you wrote bothers me: "the rider should impose on the horse lightness, sometimes with “force” if the horse persists to refuse it."
I think, from experience that the feeling of lightness is always wrong if it is imposed.
The problem, is that the rider who imposes is not aware that he gets a false lightness.
I would prefer to "suggest" rather than to impose. And I banish all force. It is similar to trying to teach graceful swimming to someone who doesn´t want to swim... For me the respect of the horse is based on accepting his refusals that I try to understand.
To achieve lightness, on one hand I think that it is preferable to respect the natural rhythm of the horse in his progression towards lightness: if the horse refuses one day, the next time this may go very well.
In another hand, I am convinced that the use of force is in contradiction with functioning in "balancier global".
To soon,
Caroline

(par Caroline Robin)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour,
Je me permets de renchérir sur vos propos car, tout en abondant largement pour le bannissement de l’équitation en force, il me semble utile de préciser quelques points qui ne sont pas facile à appréhender.

En reprenant l’exemple du nageur, il y aurait plusieurs réalités.
La personne -en vacance par exemple- qui décide a un moment d’aller nager pour son plaisir immédiat et qui demande a un ami de lui apprendre n’est pas équivalente au nageur qui aurait, lui, une visée a plus long terme (sa progression, éventuellement la compétition) et qui doit pour parvenir a ce plaisir travailler dur, avoir une saine rigueur…
C’est un exemple de la logique voulant que le cheminement soit au-moins aussi intéressant que l’objectif final.

Oui mais.

Oui mais cette personne aura sûrement, pour les raisons les plus diverses, des passages « au creux de la vague ». Dans ces moments c’est le rôle de son entourage et de l’entraîneur en particulier de l’aider a se recadrer. Cela passe parfois par un petit coup de sonnette qui se devra d’être explicité par la suite.
C’est la nécessité de recadrer les motivations du moment.

Pour le cheval, la complexité monte encore d’un cran car lui n’a pas de projection dans un projet concret et précis comme c’est le cas pour le bipède sur son dos.

Mais il faut bien opérer d’une façon ou d’une autre ce recentrage.

L’une des approches pour cela consiste à clarifier la notion du bien et du mal pour le cheval de façon très simple : quand l’animal est bien dans le cadre, il évolue en parfaite liberté, en harmonie musculaire avec son cavalier, le couple travaillant de façon ludique et motivé.
Par contre, lorsque le cheval sort du cadre, il devra se confronter a une pression environnementale plus forte créer par l’humain : exercices plus difficiles ou, dans le cas qui nous intéresse une opposition temporaire du cavalier. C’est ainsi que je comprends l’usage du mot « Force » dans le message de départ.

Il me parait indispensable de pouvoir se faire comprendre (et non d’imposer) au cheval.
Et cela pour aller ensemble vers un objectif.

Cordialement.

@@@@@


Hello,
I allow myself to increase on your remarks because, all into abundant largely for the banishment of stronge usage in horsemanship, it seems o me useful to clarify some points which are not easy to apprehend.

By taking again the example of the swimmer, there would be several realities.
The person - in vacancy for example- which decides to go swimming for his immediate pleasure and who requires a friend to learn it is not equivalent to the swimmer who have a final aim (his own progression, possibly the competition) and who must work hard, have a great rigour...
It is an example of the logic wanting that the path is as interesting as the final objective.

Yes but.

Yes but this person will surely have, for the most various reasons, some low-passages. In these moments it is the role of his friendship and of the coach to help him to refocus. And sometimes by a small warning which clarified the situation.
It is, ones more, the need for refocus the motivations of the moment.

For the horse, complexity raise a higher level because of the fact that the animal does not have projection and a concrete and precise project as it is the case for the biped on his back.

It is necessary to operate, in a way or another, this focusing.

One of the approaches for that consists in clarifying the notion of the good and the evil for the horse in a very simple way: when the animal is in the right archetype, he will moves in perfect freedom, in muscular harmony with his rider.
On the other hand, when the horse leaves the archetype he must be confronted to a stronger environmental pressure created by the human: more difficult exercises or, in the case which interests us a temporary opposition of the rider. Thus is my understanding of the use of the word "Forces" in the starting message.

It appears essential to make the rider understandable to the horse.
With the constant aim of going together towards the path.

Greeting.

(par julien gouz)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour,

Je rejoins les précisions de Julien Gouz. Les mots que j\'ai employés sont un peu forts, et je ne les aime pas. En fait, cela rejoint l\'idée de confort / inconfort. L\'objectif n\'est pas d\'employer la force, mais si le cheval se plaît mieux en deséquilibre sur les épaules, la pression du cavalier lui fait comprendre qu\'il est plus agréable pour lui d\'être coopératif, en équilibre et léger: le cavalier relache toute la pression. Ce stade apprend au cheval ce qu\'est l\'équilibre et la légèreté. Plus tard, le cheval n\'a plus besoin de la pression du cavalier: le contact léger avec la bouche ou même le poids des rênes suffit. Je ne pense pas que dans ce deuxième stade, il s\'agisse de fausse légèreté. On ne peut pas non plus former un cheval sans passer par plusieurs étappes intermédiaires.

Cordialement.

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Hello,

I agree with Julien Gouz. The words that I used are a bit strong, and I don\'t like them. But it joins the idea about confort / unconfort. The objective is not to employ the force. But if the horse likes himself in loss of balance and on the shoulders, the pressure from the rider shows him that it is more pleasant for him to cooperate in beeing in balance and lightness: the rider gives up all the pressure. At this stage, the horse learns the balance and lightness. Later, the horse doesn\'t need the pressure of the rider any more: a light contact with the mouth or only the weight of the reins are enough. I don\'t think that it is wrong lightness in this second stage. It is not possible to educate a horse without following several intermediate stages.

Greetings.

(par Laurent)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour,

J´avoue que j´y suis allée un peu fort dans mon précédent message, et après explications, je comprends (un peu) mieux ce qui est en jeu dans une optique de compétition. Je suis peut-être trop idéaliste et j´ai d´ailleurs du mal à comprendre l´esprit de compétition qui consiste à aller toujours plus haut, plus vite, plus fort, quitte à forcer et à avoir mal parfois. Si je conçois qu´un être humain accepte d´avoir mal pour se surpasser, j´ai du mal à le concevoir pour un cheval de compétition, mais il faut dire que je n´ai jamais eu l´occasion d´approcher de près un cheval de compétition de très haut niveau. Mais ces chevaux ne sont-ils pas usés prématurément à cause d´une compétition poussée trop à l´extrême ? C´est juste une question car je connais très mal ce milieu.

A bientôt
Caroline
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Hello,
I confess that I was a little too hard in my preceding message, end after explanations, I understand (a little) better what is involved in a competitive point of view. I may be too much an idealist and i have some difficulty in understanding the competitive spirit that always consists in aiming for higher, faster, harder goals even if it means using force and sometimes hurting. If I accept that a human being accepts the concept of pain to gain, I have some difficulty to accept it for the competition horse, but I must admit that I never had the opportunity to get close to a very high level competition horse. But aren´t these horses used too prematurely for extreme competition demands? It is only a question since I am not at all acquainted with this crowd.
To soon,
Caroline

(par Caroline Robin)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour Laurent,

Je vous rejoins finalement quand vous écrivez "si le cheval se plaît mieux en deséquilibre sur les épaules, la pression du cavalier lui fait comprendre qu´il est plus agréable pour lui d´être coopératif, en équilibre et léger".

je pense que c´est le mot "force" qui m´avait fait croire à une fausse légèreté. J´ai un peu de mal avec le terme "pression" que je préfère remplacer par "amener à", qui me semble plus doux que la pression.

A bientôt
Caroline
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Hello Laurent,
I am finally with you when you write "if the horse likes himself in loss of balance and on the shoulders, the pressure from the rider shows him that it is more pleasant for him to cooperate in beeing in balance and lightness"
I think that it is the world "force" that led me to believe of a false lightness. I have some difficulty with the word "pressure" that I prefer to replace by "inviting to" that seems softer than pressure.
To soon
Caroline

(par Caroline Robin)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Bonjour Caroline,

Le choix du terme juste est en effet difficile.
Cela dit, je n´ai pas l´ambition de faire de la compétition. L´objectif est surtout d´améliorer le très mauvais équilibre naturel du cheval en question.

Cordialement
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Hello Caroline,
The choice of the right word is effectively difficult.
This being said, I have no competitive ambition. The goal is mainly to improve the very bad balance of the horse being trained.
Cordially

(par Laurent)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

La réponse est sans hésitation oui, ces chevaux sont usés prématurément à cause d´une compétition poussée trop à l´extrême.
Oui également l’animal ne fait que subir le choix des humains sans avoir son mot à dire.

On entre ici dans le domaine de la réflexion (peut être métaphysique, sans aucun doute possible philosophique) sur la dominance, sur la domestication, sur l’esclavage.
Je ne suis pas persuadé que ce forum soit le lieu pour ce débat -par ailleurs passionnant- sur la nature humaine.
Aussi me permettrais-je juste de lancer quelques éléments sans chercher à y répondre et sans aucun sous-entendus ni points de vues :


Le cheval le plus heureux n’est-il pas celui qui n’a jamais croisé le chemin de l’espèce humaine et vie en liberté selon son instinct ?

Le regroupement d’individu et leur mise au travail sans leur consentements n’est t’il pas la définition du camps de concentration ?

Dire que l’on pratique l’équitation pour le cheval, n’est t’il pas une illusion ? Ne pratique t’on pas cette activité (comme toute autre d’ailleurs) pour se parler de soi-même ?

Monter sur le dos d’un cheval n’est-il pas contre-nature pour ce dernier ?


Encore une fois je ne cherche pas à polémiquer.
Je pense simplement que c’est un aperçu d’un panel de questions que tout un chacun se doit de se poser pour évoluer en connaissance de cause dans le milieu des équitants et résoudre les paradoxes auxquels chacun sera confronté un jour ou l’autre.


@@@@@


The answer is without hesitation yes, these horses used too prematurely for extreme competition demands.
Yes the animals have no choice but doing what the human said.

With these questions, we are reaching the questions of predominance, domestication, slavery.
I am not persuaded that this forum is the place for this debate - in addition enthralling on the human nature.
Then I would only launch some elements without seeking for answers and without insinuations:


Isn\'t the happiest horse the one who have never crossed the way of the mankind and who live in freedom according to his instinct?

Aren\'t the regrouping of individual to make them work without their assents is the definition of the concentration camps?
Saying what people does horsemanship only for horse, isn’t an illusion? Doesn’t we practise this activity (like every others) to speak about ourselves?

Is the fact of getting on the back of the horse against-nature ?


Once again I do not seek to polemize.
I think that it is an outline of a panel of questions which everyone in the equestrian world should answer to solve the paradoxes that we all are facing.



(par julien gouz)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

Tout à fait d´accord avec le message précédent !Si vous voulez que le cheval soit parfaitement "heureux", "au naturel" avec son identité en tant qu´"espèce cheval", laissez-les en petits groupes dans une nature sans barrière où ils vaqueront à leurs occupations et décideront eux-mêmes de ce qu´ils veulent ou doivent faire pour vivre !
C´est l´Homme qui s´impose au cheval, c´est l´Homme qui s´impose sur son dos, c´est toujours l´Homme qui décide de ce qu´il doit faire ou comment il doit vivre : dans un boxe, dans un pré, en promenade, saute des barres, fait du "croise-papatte", mange des granulés, ...
Pour le loisir, en amateur, pour la compétition, en équitation classique, western, "éthologique" : c´est nous qui obligeons le cheval à nous suivre et à nous supporter.
Après, on peut discuter sur les manières et les moyens que l´on met en oeuvre pour s´imposer, et là, il est sûr que certaines méthodes apportent plus de bien-être, de confiance, de compréhension au cheval que d´autres. Mais ne nous cachons pas derrière de "doux" mots, il y toujours un moment où la force entre en jeu, même si c´est par l´intermédiaire d´un simple licol ou d´un lieu clos duquel le cheval ne peut s´échapper.
Et pour moi, le but de l´association, c´est de nous faire découvrir les moyens les moins contraignants pour ce qui concernent l´équitation appelée "classique".
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I am in total agreement with the preceding message! If you wish the horse to be perfectly "happy", "as in nature" with his identity as "a horse", let them roam in small groups in small groups in a country side without fence where they´ll wander for their needs and will decide on their own what they want and must do to live!
It is Man who imposes himself to the horse, places himself on his back, it is still Man who decides what he should do or how he must live: in a box, in a meadow, on the trail, over jumps, move on multiple tracks, eats processed food,...
At play, for pleasure, for competition, in classical equitation, western, "ethologic": it is us who insist that the horse follows us and carry us.
Afterwards, we can talk about the ways and the means that come to play to impose ourselves, and there, it is obvious that some methods contribute more well-being, confidence, understanding than others to some horses. But let´s not hide behind "soft" words, there is always a moment where force comes to play, even if it is through the use of a halter or closed enclosure from which the horse can´t escape.
IMO, the purpose of the association is to help us discover the means the less constraining regarding the equitation called "classical".

(par Pascale)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

les derniers intervenants sur cette question ont vu juste; la présence de l´humain sur la route du cheval ne peut que modifier le comportement de cet animal; et en aucune façon,il ne pourra prendre plaisir à un acte équestre, quel que soit ce dernier. qu´il s´agisse d´équitation classique,de dressage, de cso ou de spectacle; notre rôle est de rendre la présence du cavalier la moins contraignante possible, du point de vue humain malheureusement, pour le cheval; quant au rôle de l´association et de son forum, il est, je pense, d´amener l´ensemble des intervenants et de plus en plus de cavaliers à avoir une approche différente du cheval, en prenant plus en compte sa physiologie, sa psychologie, sa mécanique, dans le but d´intervenir à propos, avec l´action juste, donc avec légèreté; et cette recherche DOIT s´appliquer à TOUT ACTE EQUESTRE, QUELLE QUE SOIT LA DISCIPLINE.
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The last posters on this subject are right on; the presence of humans on the path of the horse can only modify his behavior; and in no way he´ll take any pleasure into an equestrian activity, no matter what it is: whether classical equitation, dressage, jumping or entertainment is involved; our role is to make the presence of the rider as little constraining as possible for the horse, unfortunately from the human point of view; regarding the role of the association and its forum, it is, I believe, to invite all the posters and an increasing number of riders to adopt a different approach to riding, through taking more consideration his physiology, psychology, mechanics, in order to intervene timely, with a correct action, thus in lightness; and this research MUST be applied to ALL EQUESTRIAN ACTION, NO MATTER WHAT´S THE DISCIPLINE.

(par yves katz)

Anonyme
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Inscrit: 28/08/2011

" Lorsque dans un avenir fort lointain l´étude de la psychologie du cheval fera partie de l´éducation des écuyers le dressage du cheval deviendra une opération plus simple et beaucoup plus rapide qu´aujourd´hui". Ceci a été écrit il y a ...presque cent ans par Gustave Le Bon!
Soyons heureux de constater que nous sommes en plein dans le sujet et que"tout vient à point pour qui sait attendre"...même s´il faut attendre longtemps.Et merci à vous tous qui faites avancer le débat par des échanges tout à fait intéressants.
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" When in a rather distant future the study of psychology of the horse will become part of the education of the horse riders the training of the horse will become simpler and much faster than today". This was written almost ... one hundred years ago by Gustave Le Bon!
We must rejoice to notice that we are entirely addressing the subject and that "all happens in time to who knows how to wait"... even if we must wait a long time. And thank you to all who stimulate the debate with very interesting comments.

(par christian Carde)