Légèreté toutes disciplines

Le coeur du problème

La roue représente la perfection du mouvement lorsque nous nous trouvons face à celle-ci et la voyons évoluer.
L\'art équestre, compris dans le sens de composition équestre est la recherche d\'une mise en oeuvre sousmise à la perfection du déplacement du cheval.
Dans d\'autres domaines, écriture, peinture, musique..., nous apprenons :
1, la stabilité
2, l\'action
3, la mise en oeuvre (la résultante des deux premières).
Par la légèreté, nous retrouvons sur le cheval cette quiétude transmise par l\'éducation qui nous permet de retrouver ce calme dans l\'effort. A travers l\'équitation de club, nous ne percevons pas ce plein sentiment et ressentons souvent un vide, l\'enseignement y étant donné à rebours :
1, instabilité
2, inaction
3, déambulation

(par Un cheval blanc ?)

Un n\'est pas deux, deux peut se réunir en un.
La droite est la droite et la gauche est la gauche.
Chaque chose à sa place et une place pour chaque chose.
Les mains ne peuvent devenir la main.
Le coeur du problème réside dans le passage à l\'action ou la main morte prend conscience de tomber à cheval(la perte d\'un sentiment profond de maîtrise dépassant l\'intérieur et l\'extérieur, le temps et l\'époque et générant le spectacle du
un).
Ce sentiment fut nommé légéreté par ceux qui l\'ont perçu et génère le doute car il concerne une expérience intime et une expérience, ne peut être partagée.
Cela ressurgit et disparaît mettant en chemin celui qui est déterminé à conserver ce bien.
La main , l\'outil ou les outils permettent d\'y accéder. Existe-t-il un outil roi qui permettrait de percer, conserver et durer.

(par Un cheval blanc ?)