contrainte et légèreté
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A Piotr qui a écrit, le 01/10 :
« … la phrase d'Oliveira : "Vos mains doivent être du ciment quand le cheval résiste et du beurre dès qu'il cède". »
J’ai trouvé l’antidote à cette phrase chez Nuno Oliveira, lui-même : « La légèreté s’obtient non pas en forçant sur une résistance pour la casser, mais en effectuant un retour sur un travail de base dès que la résistance se fait sentir. »
Mettre chaque jour 3 gouttes de cette phrase bénie dans sa tasse, à l’heure du thé.
Forcer sur une résistance est un procédé systématique que je refuse.
Un des moyens pour « s’en sortir » est de faciliter l’aisance du rein du cheval. On n’assouplit pas le rein d’un cheval : on lui permet simplement de le mobiliser.
Amicalement. Ph.
je n'ai jamais compris cette phrase d'oliveira comme forcer sur une resistance, j'avais compris " resister une fraction de seconde" et chacun sait que du même auteur: "resister n'est pas tirer", en plus je ne pensais pas que cette phrase evoquait des resistances "caracterisées" mais plutot comme des "oui" ou "non" ponctuant une conversation entre deux amis.. quoiqu'il en soit il ne faut evidement jamais forcer quoique ce soit d'ailleurs, je suis bien d'accord! amicalement, fs
Françoise, oublions la résistance et les techniques qui s’y rattachent. Retenons simplement l’esprit du travail dans le bon sens que suggère Oliveira : « un retour sur un travail de base dès que la résistance se fait sentir ». Amicalement.
je ne suis pas expert mais je pense que ce soit pour une bouche qui se défend ou un corps qui résiste, il faut revenir à un exercice ou on retrouve la confiance et l'harmonie pour retrouver quand la confiance est renouée revenir a l'exercice qui a provoquer le conflit mais avec plus de diplomatie.
quand pensez vous?
Bonjour à tous
Une bouche qui défend, un corps qui résiste ?
Je je dirais un cheval qui se défend qui résiste, la nuance est d'importance.
Il faut comprendre pourquoi ces résistances ces défenses, alors seulement on à une chance de trouver une vraie solution. Souvent il s'agit d'incompréhension entre cheval et cavalier dû à ce dernier parce qu'il n'a pas su se faire comprendre -impatience, aides imprécises, progression mal conçue ...
pierrex
Message édité par: MEIER, à: 2008/10/04 22:08
d'accord philippe! si j'avais touché cent balles a chaque fois que je l'ai conseillé!!c'est veritablement, et vous avez raison un sens qu'il faut retenir au depart,un sens de lente progression, et toujours reverifier les fondations avant de rajouter un detail de plus.. jouer sur les mots peut devenir pervers , vous avez raison! amicalement fs
A Philippe,
Je viens d'aller voir le post du "trot", en effet je comprends mieux votre agacement ! je corrobore parfaitement et sans le vouloir le sentiment de Frédéric...
Bonne journée,
Nathalie
Message édité par: sambista, à: 2008/10/03 12:43