Réponse à StephE(voir page préc.)
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J´ai du mal m´expliquer :
Si la main est parfaitement fixe, le cheval ne se "cogne" pas dessus, précisement parce qu´il SAIT parfaitement OU arréter son mouvement de balancier, et donc se cale sur la demi-tension, bien avant que cela ne devienne désagréable.
Par contre, je pense que vous confondez le PRINCIPE de la barrière, qui consiste à poser une limite et laisser le cheval "en liberté" derrière, et la METHODE que JDO conseille pour mettre un cheval sur les hanches en reculant cette barrière (et évenuellement en amplifiant les petits chocs par le jeu des doigts).
(par philippe)
vous n´avez pas compris
cordialement
Serge
(par Serge)
Bonjour,
"c´est le cheval qui apprend car il sait que c´est lui et lui seul qui est responsable de ces légers chocs"
Je ne crois pas que le cheval connaisse le concept de responsabilité.
Cordialement,
Hervé
(par Hervé)
Hervé,
Je pense que vous ne connaissez ou que vous n´observez pas les chevaux et les comportements de ceux-ci.
Je peux vous garantir qu´un cheval fait la différence entre une action due à la responsabilité du cavalier ou de la sienne.
Mais, ne pas admettre cela explique peut-être beaucoup de chose....
cordialement
Serge
(par Serge)
Bonjour,
Bien sûr, n´étant pas de votre avis, je ne connais rien à rien.
N´en déplaise à votre grandeur, je persiste à dire que le cheval ne pense jamais "je me suis cogné dans le mors, mais ça m´apprendra, c´est de ma faute".
(par Hervé)
Non, mais le cheval apprend par essais et erreurs.
Si c´est lui le seul responsable, il constatera rapidement que le désagrément survient SYSTEMATIQUEMENT lorsqu´il atteint telle extension d´encolure, et que si il reste en deçà, il est "confortable"...
Ce n´est rien d´autre, en fait, que le principe de la clôture électrique : tant que je ne touche pas ...
(par philippe)
Bonjour,
Je suis d´accord.
Si le cheval se cogne au mors il va essayer de trouver une solution ... et celle-ci sera de se défendre contre le mors en contractant sa mâchoire et son encolure, ou en s´encapuchonnant, ou en encensant, etc., car je ne crois pas que le cheval apprenne de lui-même à rester en deça. Le cheval peut fuir la cloture électrique, mais la main, non.
Je pense au contraire qu´il ne faut surtout pas que le cheval se cogne au mors et l´obeisssance à la main s´obtient par la confiance en même temps que par l´équilibre.
Cordialement,
Hervé
(par Hervé)
"avant de commencer les flexions il est essentiel de donner au cheval une premiere leçon d asujetissement et de lui faire connaitre toute la puissance de l homme......" Baucher p 47 et 48 de la methode d equitation
je pense que cela vous donnera les clefs de la reussite. En installant la base de la legereté tout de suite vous faites un "travail utile et instructif pour le cheval" ( baucher) .
(par jp)
Bonjour,
Avez-vous esssayé de "de donner au cheval une premiere leçon d´assujetissement et de lui faire connaitre toute la puissance de l´homme" ?
Comment installez-vous la base de la légèreté ?
Cordialement,
Hervé
(par Hervé)
Je me demande si Monsieur d´Orgeix serait tout à fait d´accord avec votre interprétation. Il me semble qu´il précise que le cheval déteste se cogner à la main en fin de foulée. Il utilise donc ce principe de la barrière pour ralentir et "remonter" le cheval quand c´est nécessaire, mais aussitôt le résultat obtenu, il veille à laisser la bouche en paix et le cheval en liberté sur parole. Continuer à lui infliger ces chocs, même petits, alors qu´il fait de son mieux serait très décourageant pour l´animal.
(par vsv)