Réponse à StephE(voir page préc.)
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Message édité par: masterai, à: 2008/10/30 21:22
(par Y.C.)
Résistance de poids/résistance de force n´est pas une position de YC mais la classification Bauchériste.
Baucher différenciait les résistances dites "de poids", liées à un déséquilibre du cheval qui tombe sur les épaules.
Et, le résistances dites "de force", dues à une résistance du cheval contre les aides (ex : cheval qui raidit son encolure pour ne pas prendre le moelleux contact du mors).
Selon Baucher, Lhotte, ... Decarpentry...le remède contre les résistances de poids est le DEMI-ARRET, le remède contre les résistances de forces est LA DECONTRACTION par les différentes flexions.
(par philippe)
Message édité par: masterai, à: 2008/10/30 21:22
(par Y.C.)
Bonjour Yasmine (je crois),
Pour prendre la "défense" d´Olivier Collomb (qui n´en a pas besoin), je dirais qu´il a raison mais:
-en période transitoire le temps de regagner une confiance suffisante à la réintroduction des aides contre lesquelles il est braqué.
-respecter la règle (n°1) de ne pas mettre les autres cavaliers en danger.Il n´est pas, je crois, question de monter en permanence et en toutes circonstances "sans mains".
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Hi,
I think OC is right BUT you have to do that during a restricted period and when circumstances are therefore adequate.
(par Vincent Delespaux)
Il s´agit, je crois, d´un cheval qui a souffert dans sa bouche et dans ses flancs, qui est révolté à juste titre. Avec des intensités variables, le cas est courant : il suffit que l´animal ait été confié à un moniteur ou monté par une jeune fille ambitieuse de concours complet.
J´ai observé que le bon moyen de rompre avec les méthodes antérieures est de faire avancer le cheval sans actions de mains. Il se reprend dans son propre équilibre certes peu satisfaisant mais le nouveau travail peut commencer. C´est évidemment très long.
(par Olivier Collomb)
Message édité par: masterai, à: 2008/10/30 21:23
(par Y.C)
Bien d´accord avec vous Yasmine sur le "Jamais tirer" si souvent cité, si rarement observé!
Les rênes fixes sont toujours source de débat et je viens jeter de l´huile sur le feu (peut-être pas) avec le point de vue de B. Chiris, ardent défenseur de ces rênes fixes:
La rêne fixe résiste sans s´étirer et cède à la fraction de seconde où le cheval cède : elles ne sont donc jamais rigides ou dures. Elles ne font pas d´erreurs. Elles savent être fermes quand il le faut et céder à bon escient.
Elles correspondent à une très bonne main.
La rêne fixe est une main savante.
La rêne fixe cède à l´instant ou le cheval cède: la récompense est immédiate.
Si le cheval fait de la force contre elle…elle résiste mais n´oppose jamais une force plus grande. Cela prend le nom de fermeté
La main du cavalier, commandée par le cerveau, peut être très subtile…Mais elle peut aussi être ignorante, brutale ou tout simplement maladroite.
La rêne fixe parfaitement utilisée est un outil formidable. La main savante, une bénédiction pour le cheval.
La rêne fixe mal utilisée est nuisible. La main dure (ou la main ignorante, mais là les choses peuvent évoluer ) est une calamité pour le cheval.
Source : http://www.cheval-haute-ecole.com/
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Fixed reins are frequently the source of polemics! A pro point of view can be read on the website of B. Chiris.
http://www.cheval-haute-ecole.com/ This website is completely translated in English please refer to it for the translation of the here above part
(par Vincent Delespaux)
A chacun de s´éprouver donc.
Pour ma part - c´est de la modestie, non de l´humilité - je me méfie de ma main.
(par Auteur anonyme)
Excusez l´étourderie : je suis l´anonyme du message précédent
(par Olivier Collomb)
Message édité par: masterai, à: 2008/10/30 21:24
(par Y.C.)
Vous serait-il posible de développer votre opposition entre "résistance de poids" et "résistance de force" ?
Je la saisis mal car le poids est une force.
Je saisis encore moins - mais cela est général - comment nous délibérons sur des actions de main dans le cas évoqué où, à l´évidence, la rééducation du sujet commande l´absence totale de main pendant plusieurs mois.
(par Olivier Collomb)