Courage
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Chère Patricia
serrer très fort la jambe du haut de la cuisse jusqu´aux genoux aura pour effet de "verrouiller" l´articulation coxo-fémorale du cavalier, ce qui est contradictoire avec l´emploi du fonctionnement en balancier global, la liberté de mouvement de la hanche étant un pré-requis pour le fonctionnement en balancier global.
cordialement à vous
Peteris
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Dear Patricia
to grip very strongly the leg from the upper part of the thigh till the knee will have for result the "locking" of the rider´s coxo-femoral articulation, that what is contradictory with the use of the global swing functioning, the movement´s freedom of the hips being a pre-requirement for the functioning in global swing.
cordially yours
Peter
(par Peteris Klavins)
Hello Theresa
Ces photos sont certes instructives, mais ne pourriez-vous pas nous en proposer de similaires avec des Cavaliers Suédois, plus ou moins connus ?
Cordialement
Peteris
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Hello Theresa
These photos are effectively instructives, but could you not propose us similar photos showing Sweedish Riders, less or more known ?
Cordially
Peter
(par Peteris Klavins)
Hello Peteris!
Yes, I will try to get some, but all the venues I´ve been to, have been indoors, and the light is not enough for my camera. I will go this weekend, but I´m sure they won´t be good. I´ll have to try next summer...
Theresa
(par Theresa Sandin)
Chère Patricia
vous soulevez à juste titre la question : qui a raison ?
Sachez que pour ma part, en 1978, à la Faculté de Médecine de Dijon, je fus le premier à réaliser une représentation en plans superposés des rapports anatomiques du médiastin, qui ne figurait pas dans le "Rouvière".
Cordialement
Peteris
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Dear Patricia
you adequatly rise the question : who is right ?
You have to know that for my part, in 1978, at the Medecine Hightschool of Dijon, I was the first to realize a representation in superposed plans of the anatomical rapports of the "Médiastin", which didn´t figure in the "Rouvière".
Cordially
Peter
(par Peteris Klavins)
En fait, ce n´était pas en 1978, mais en 1973 ou 1974...
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In fact, it was not in 1978, but in 1973 or 1974...
(par Peteris Klavins)
Chère Patricia
Pour vous faire une idée, relativement à vos questions, veuillez considérer que si Pia Munck est une marchande de chevaux probablement fortunée, je suis pour ma part, officiellement, conducteur de Recherches et Développements en Sciences Physiques et Naturelles.
Cordialement
Peteris
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(par Peteris Klavins)
Thank you Theresa for this information.
I am not surprised by the findings. I would agree with them from a pure mechanical point of view. Actually they are summarized as "it takes two to pull" - the horse and the rider; so for the professor it doesn´t matter which one pulled first.
But, since I studied the functioning of the nervous system, I learned to watch in vivo the reflexes of the horse.
This gave me a good approach for finding the root cause of problems I saw and the pathologies I could detect while palpating horses.
1/ If most patholgies found by autopsy are on warmbloods used in dressage and jumping, it is in part due to the fact that large energetic horses are used for these disciplines. Their handling and riding is difficult. They are accident prone especially when they are young. They tend to have more negative imprints than smaller and calmer horses.
2/ From my observations, the pathologies that cause horses (even if they are considered sound) to act up and trigger their hollowing reflex are most often inflammations and bruises of tissues, even sometimes of bones, around the ganache. These are usually the results of closing severely the head/neck angle. To block feeling pain or discomfort in the ganache area horses tigthen the muscles around the nape/Atlas articulation including the top ones at the poll. And, that is why I believe that the root cause of most horses problems is the closing of the head/neck angle.
Regards, MK
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Merci Theresa pour cette information,
Je ne suis pas étoné par les résultats de ces études. Je serais d´accord avec eux dans une perspective purement mécanique.
Ils se résument simplement par "il faut être deux pour tirer" - le cheval et le cavalier, ainsi pour le professeur, lequel tire le premier n´a pas d´importance.
Mais, depuis que j´ai étudié le fonctionnement du système nerveux, j´ai appris à regarder les réflexes des chevaux vivants. Cela m´a donné une bonne approche pour trouver la cause primaire de problèmes que je voyais et les pathologies que je pouvais détecter en palpant les chevaux.
1/ Si la plupart des patholgies découvertes par l´autopsie se trouvent sur les Warmbloods utilisés en dressage et jumping, cela est du au fait que ses disciplines utilisent surtout des chevaux grands et énergiques. Les soigner et les monter est difficile. Ils ont tendance à être maladroits, surtout quand ils sont jeunes. Ils ont souvent davantage d´empreintes négatives que les chevaux moins grands et mois énergiques.
2/ D´après mes observations, les pathologies, qui font que les chevaux (même s´ils sont considérés sains) manifestent et qui déclenchent le réflexe de creuser/invertir la ligne du dessus, sont très souvent des inflammations et des contusions sur les tissus, même parfois osseux, au niveau de la ganache. Ces pathologies sont en général des résultats de la fermeture sévère de l´angle tête:encolure. Afin de bloquer les sensations de douleurs ou de gênes au niveau de la ganache les chevaux contractent les muscles autour de l´articulation nuque/Atlas, y compris ceux de la nuque. Et, c´est pourquoi je suis convaincu que la cause principale de la plupart des problèmes des chevaux est la fermeture abusive de l´angle tête:encolure.
Amicalement, MK
(par Michel Kaplan)
Cher Peter,
C´était une question en forme de clin d´oeil. Je me doutais bien que le balancier global ne souffre d´aucune contraction de l´assiette. Mais l´école allemande préconise de serrer le cheval dans l´étau des cuisses, donc les cavaliers de l´école germanique ne peuvent fonctionner en balancier global ...
D´autre-part, moins on n´emploie de force, plus l´équitation est fluide. Ces derniers jours, j´ai voulu (plus par éthique, pour faire "cavalière respectueuse" on va dire), mettre Mimi en filet simple ; d´habitude, j´utilise un pelham, rênes fixées à la boucle supérieure. Je me suis retrouvée avec une pouliche irrespectueuse, totalement déconcentrée à l´extérieur, rétive, jouant à se faire peur. En longeant le pré d´un âne, j´ai du descendre, préférant contrôler à pieds les débordements d´une Miss tétanisée par le mental fort de Cadichon braiant à tous vents ... J´ai observé qu´elle cherchait à se défaire de l´embouchure et que celle-ci donnait un point d´appui. En selle, Mimi "tirait" de bon coeur et fatalement, on se retrouvait deux à tirer, ce que j´éxècre. Elle cherchait visiblement le point de rupture du filet (en tirant, ça finirait bien par casser). De retour, j´ai regardé sa bouche et j´ai vu qu´elle est bréhaigne, le mors de filet s´appuie sur les canines dans la tension des rênes, elle s´arrime dessus pour mener sa barque ... En continuant ainsi, je vais lui arracher les canines. Retour donc case pelham, posé sur les barres avec la langue pour amortir et Mimi redevient un ange de légèreté ... Je pensais que le pelham prendrait sur l´impulsion, mais il n´en est rien car cela fait 30 ans que je monte ainsi et j´ai l´habitude d´avoir 10 grammes dans mes rênes, plus de 10 grammes me contractent tout le corps, ça bloque les épaules, contracte les jambes, bref, je transpire et je déteste monter en force, j´adore cette sensation d´être une plume sur le dos d´un cheval et l´impulsion n´est pas perdue, quand les pistons arrières se mettent en marche en enclenchant les vitesses, on vole ... et toujours avec un léger contact sur les rênes, un murmure ... ça me transporte de bonheur ...
Quand je vois les champions olympiques tenant les chevaux à pleins bras, je me dis qu´effectivement, il vaut mieux contracter les cuisses, les abdos ... pourtant, ils sont en bride mais se servent de la bride en force, les branches sont quasiment horizontales. Je me dis que ce n´est pas pour moi, ni pour Mimi. On va se limiter à ce que l´on va pouvoir faire sans combattre, en gardant la légèreté comme garde-fou, la rampe de sécurité qui évitera aux feux de passer au rouge ...
Bien à vous.
(par Patricia CLAIR)
Hi again!
The other interesting aspect of this was that he was unable to find such exostoses and signs of trauma in skeletons of older horses, say those dissected 25 years ago. He was also unable to find it in any literature, regarding the anatomy of the squama occipitalis in literature. It apears to be a quite modern phenomenon.
I don´t know about "it takes two to pull", since that was not his point. The point was that something is holding the head back and in at such a tight angle. It´s either the rider via the reins or it is the horse via the underline neck muscles. It´s actually a matter of "it takes one to pull", the rider OR the horse. Either way, it´s just as harmful. So even if someone rides their horses extremely curled and is light in the hands, the same problem occurs to the horse.
I have seen quite a lot of AvG´s riding lately, and I dare say it might have "evolved" since 93-94. It is very tight, sometimes for prolonged periods of time, and it´s not necessarily done with light hands, no matter what they claim.
Theresa
(par Theresa Sandin)
Hello all...
I talked to a journalist at the Dutch magazine BIT about his interview with Horst Weiler an professor of veterinary science who has worked with desmopathies of tendon insertions in horses, and especially the insertion of the nuchal ligament at the back of the head. He has appaerntly examined over 1000 horses since, with micro x-ray and dissection, and found an 80% occurence of mineralization and grave signs of inflamation and trauma in warmblood horses used for dressage and jumping. In horses used for other diciplines, much less.
He told the journalist that to the horse, it mattered little if the rider was pulling the head back (closing the angle at the jowl) or if the horse did it himself, thus being "light" according to some people. He said that the effect is the same at the poll of the horse, wether the rider pulls or the horse pulls his head back himself. The difference was the effect on the mouth and bars, rather than the poll.
The rest of the article is translated, but I do not have authorization to publish it. If anyone wants the English translation, just e-mail me.
I went to a large horse festival in Holland in september, and watched the country´s most famous dressage rider give a clinic in how to progressively train dressage horses. All i can say is there was no progression in the bearing and outline in the horses shown, and the lightness, I guess you can judge for yourself:
http://www.kahlin.net/noir/horse_event_2005/
Please spread the link to those who want it. Riders are Edward Gal and Tineke Schellekens-Bartels. The clinic holder, well, Anky van Grunsven of course.
Theresa
(par Theresa Sandin)