Trad. Article St Georges
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le lien que vous indiquez ne semble aboutir à rien.
pouvez-vous m´adresser perso ce que vous avez trouvé en anglais ?
(par PETERIS kLAVINS)
Chère Stèphe
je suis arrivé à ce que je pense vous avez touvé, en simplement tapant le début de l´adresse, puis en cliquant sur Functional anatomy...
Rien de neuf comparativement à Denoix et Pailloux, sauf qu´il n´est pas mention de la musculature cybernétique dorsale du cheval, ni de ses interactions avec les diverses options de fonctionnement du dos du cavalier en équilibre assis...
Cordialement
PK
(par PETERIS kLAVINS)
Bon article. Il est bien précisé que la colonne vertébrale du cheval est un "pont suspendu" et que c´est le ligament nuchal qui tend le dos. Les abdominaux servent à la propulsion, ils ne montent pas le dos (d´ailleurs Philippe Karl dans "Travail aux longues-rênes" décrit les principales fonctions locomotrices dans ce sens). Le relèvement du balancier s´opère graduellement, à mesure que l´engagement se peaufine, que le rein s´assouplit. Il est tout-à-fait exact que la tension du dos se visualise sur les muscles de l´encolure, ma pouliche a une encolure d´entier ... Quand je monte, je sens dans son dos jusqu´à quel point je peux demander le relèvement du balancier sans détraquer la propulsion, je lui laisse choisir la position de confort. Idem pour ma position, je ne cherche pas à comprendre si je suis en balancier global ou en dorso-lombaire, mon image m´importe peu, le plus important, c´est le confort de mon cheval et du sien, découle tout naturellement le mien. A mon humble avis (ne me sautez pas dessus Mr. Peter, de grâce -;), le fonctionnement en balancier global n´est utile que sur un cheval aboutit en dressage, le dos du cavalier devant s´adapter du dos du cheval et non l´inverse et cet article en parle très bien ...
Il est très difficile pour moi d´étayer des choses instinctives, c´est pourquoi, j´évite de m´imiscer dans des discussions d´experts, n´ayant aucune preuve scientifique de ce que j´allègue, donc je profite des articles tels que celui indiqué par StepE pour m´exprimer un peu et rebondir.
En ce qui concerne le Rollkur, il semblerait qu´étant donné que les allongements spectaculaires du trot avec extension des antérieurs soient très prisés sur les carrés, mais le geste ne saurait atteindre cette amplitude avec l´impulsion qui fait défaut à ces chevaux aux dos trop longs et creux sur des balanciers exagérément relevés. La
parade a été trouvée en comprimant les muscles brachio-thoraciques, qui une fois libérés s´étirent en donnant cette amplitude spectaculaire ... mais dommageable et Mr. Carde le dit dans son éditorial : on a observé des arrachages de ligaments nuchaux ...
Bien à vous.
(par Patricia)
Internationally, in >English - it´s "poll" - the highest point of the neck./Margareta
(par Margareta Westlin)
Chère Patricia
Comme vous écriviez page précédente, "c´est le ligament nuchal qui remonte le dos", vous écrivez ci-dessus "c´est le ligament nuchal qui tend le dos", sans plus de précisions circonstancielles.
Quel résumé!!!
C´est cette absence de précisions qui me semble à nouveau peu judicieuse et de nature à "fausser les idées", notamment pour certains défenseurs de l´encapuchonnement outré ou ceux qui seraient tentés de les imiter...
Considérez par exemple la série de schémas relatifs à la charnière cervico-thoracique qui est visible sur Forum +.
Il est certain que sur une descente d´encolure telle que représentée par le 3ème dessin, l´étirement du ligament nuchal sur flexion de la charnière cervico-thoracique aura un "effet bras de levier" de nature à "remonter mécaniquement le dos", ce qui n´implique pas nécessairement un "bon travail de soutien", certains verrouillages musculaires pouvant s´instaurer sous l´effet de contraintes (notamment inertielles) mal gérées.
Cependant, si l´on considère le second schéma,(encapuchonnement), bien que le ligament nuchal soit étiré (surtout dans sa partie céphalique), il n´y a plus alors d´"effet bras de levier" de nature à "remonter le dos", du fait de l´extension de la charnière cervico-thoracique, même si d´aucuns qualifient cette attitude de "basse" ou "profonde" plutôt que d´encapuchonnée...
Considérez maintenant le premier schéma,(encolure relevée).
Le ligament nuchal n´exerçant pas d´"effet bras de levier", ne peut-il cependant pas y avoir "soutien du dos" dans cette attitude, sans son aide ?
Par ailleurs, si vous considérez que les abdominaux de votre propre cheval ne lui servent qu´à sa propulsion et non à soutenir son dos, libre à vous, mais je conseille cependant aux autres lecteurs d´envisager les choses différemment pour leurs propres montures...
Enfin pour ce qui concerne l´exploitation du fonctionnement en balancier global, si vous pensez qu´il ne peut être utile que sur un cheval aboutit en dressage, je vous préconise vivement d´"approfondir" vos connaissances en la matière, par exemple en passant une petite heure sur un simulateur...
Cordialement
PK
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Dear Patricia
As you wrote previous page, "it is the nucheal ligament that lifts the back", you write above "it is the nucheal ligament that stretches the back", without more circumstancial precisions. What a summary !!!
It is this lack of precisions that seems to me again few judicious and of nature "to falsify the ideas", notably for certain defenders of the pronounced overbending or those who would be tried to imitate them...
Consider for example the series of schemas relative to the cervico-thoracic hinge which is visible on Forum +.
It is certain that on a descent of neckline such as represented by the 3rd drawing, the stretching of the nucheal ligament on flexion of the cervico-thoracic hinge will have an "effect of lever arm" of nature "to lift mechanically the back", what does not imply inevitably a "good work of support", certain muscular locking caning be established under the influence of constraints (notably inertial) badly managed.
However, if we consider the second schema,(overbending), although the nucheal ligament is stretched (especially in its cephalic part), there is not any more then any "effect of lever arm" of nature "to lift the back", because of the extension of the cervico-thoracic hinge, even if some qualify this attitude of "low" or "deep" rather than overbended...
Consider now the first schema, (elevated neckline).
The nucheal ligament implying not any "effect of lever arm", can it not however exist a "support of the back" in this attitude, without it´s help ?
Besides, if you consider that the abdominal muscles of your own horse are of use to him only to propel and not to support his back, free to you, but I advise however the other readers to envisage things differently for their own horses...
Finally as regards the exploitation of the functioning in global swing, if you think that it can be useful only on a horse succeeded in training, I very recommend you to "deepen" your knowledge in this matter, for example by passing a small hour on a simulator...
Cordially
PK
(par Peteris Klavins)
Merci, Margareta, pour cette précision.
Thanks, Margareta, for this precision.
(par Peteris Klavins)
Il est clair que je ne suis pas de taille à argumenter mon propre ressentis et la façon dont, personnellement je vois les choses. Cela dit, les explications de Philippe Karl dans son ouvrage me semblent crédibles d´autant que je sache les interpréter correctement.
Pour ce qui est du fonctionnement de mon dos, j´ai fais des tests "en live" sur ma pouliche ces derniers jours et les réponses ont été fulgurantes : je suis passée de l´acculement au cabrer en moins de trois secondes ... rien qu´en me redressant (ce qui durcit l´assiette). La charnière iliaque est maintenant raide et elle me regarde avec des yeux assassins ... Repos et massages au programme. Les points positifs : il n´y a pas de règle en matière de "position", chaque dos étant d´une sensibilité différente et mon dos en étant capable, je préfère qu´il absorde les ondes du dos de la pouliche, qui viennent mourir dans mes cervicales totalement relâchées (tête un peu penchée en avant), plutôt que lui bloquer son propre dos. Autre point positif : elle fera des belles levades, rien qu´à l´assiette, mais pour l´heure, il y a encore de l´eau (et même beaucoup) qui va passer sous les ponts ...
Mais vous avez raison, il ne faut point se référer à ce que je dis, je vais donc laisser les échanges sur la biomécanique se faire entre personnes avisées et me contenter d´en parler à mon cheval. Mon cheval me répond sans ambage, sanctionnant le moindre manquement à son intégrité physique, et je l´en remercie.
Bien à vous et très cordialement.
(par Patricia)
Chère Patricia
Vous écrivez qu´il est clair que vous n´êtes pas de taille à argumenter...
Envisageriez-vous nos échanges sur le Forum comme un rapport de force ?
Pour ma part, je vous encourage vivement à continuer à intervenir sur la biomécanique, et si de temps en temps mes propres arguments vous paraissent plus pertinents que les votres, merci de le reconnaître, ça fait toujours plaisir d´avoir un feed-back positif...
Cordialement
PK
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Dear Patricia
You write that you are not in stature to argue...
Do you envisage our exchanges on the Forum as a battle of wills ?
For my part, I encourage you deeply to continue your interventions about the biomechanic, and if some times my own arguments seem to you more pertinent than your owns, thank you to recognize it, it make always pleasure to have a positive feed-back...
Cordially
PK
(par Peteris Klavins)
Chère Patricia
Croyez bien que c´est sans esprit de polémique, mais je trouve qu´il y a au début de votre message concernant l´article du Dr Heuschmann encore deux assertions que je trouve peu judicieuses et qui méritent à mon sens un petit développement.
Vous écrivez que les abdominaux ne montent pas le dos.
Si dans son article, sans prétendre la même chose que vous, le Dr Heuschmann attribue aux abdominaux un rôle mineur, je pense qu´en ce point il fait erreur, et je suis tout à fait du même avis que le Professeur Denoix, à savoir que les abdominaux ont au contraire un rôle majeur dans le soutien du dos remonté, les explications en la matière développées dans son ouvrage avec J.P. Pailloux se résumant en une courte assertion : "pas d´abdominaux, pas de dos" .
En effet, si par exemple dans une position encolure basse telle que je l´ai illustré sur Forum +, il y a un effet bras de levier qui mécaniquement va remonter le dos sous la selle du cavalier, le principal intérêt de cette attitude, notamment dans le travail de développement du jeune cheval, est de solliciter le plus efficacement possible l´activité des abdominaux, notamment au galop, et , lorsqu´il y a relèvement de l´encolure et cessation de l´effet de bras de levier du ligament nuchal, c´est la tonicité de ceux-ci, notamment par l´effet de "caisson abdominal", qui va permettre de "conserver" le soutien du dos, encolure relevée, avec décontraction de la ligne du dessus, ce qui permet par la suite d´obtenir le rassembler.
Il est à noter que dans l´article en question, si le Dr Heuschmann traite du début du travail du jeune cheval encolure basse, il n´y traite pas de la suite à envisager, mais aussi que, sans évoquer le concept de musculature cybernétique du dos du cheval, il insiste toutefois sur la nécessité d´éviter le raidissement du dos du cheval dans cette attitude de travail encolure basse, et il préconise pour sa part de monter enlevé ou en équilibre sur les étriers.
Pour ma part, je préfère recommander l´emploi du fonctionnement en balancier global en équilibre assis, notamment au galop, pour réduire la surchage de l´avant-main et favoriser l´engagement des postérieurs, bien évidemment pour ceux qui la maitrisent déjà.
L´autre point qui m´interpelle, c´est que vous écrivez que le relèvement du balancier s´opère graduellement, à mesure que l´engagement se peaufine.
C´est un sujet qui se discute, et j´espère que d´autres que moi interviendront également en cette matière...
Il est à noter que, si ma mémoire est bonne, le Professeur Denoix souligne le caractère "fatiguant" de cette attitude de travail qui charge l´avant main, qu´il ne faut point en abuser, qu´elle est à exploiter au départ sans rechercher d´engagement de l´arrière main, et pour ma part, je pense judicieux de l´alterner avec du travail encolure relevée sans attendre que l´engagement soit déjà recherché ou obtenu. (voir message du 21/07 du colonel Carde)
Cordialement
PK
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Dear Patricia
Believe, please, that it is without spirit of controversy, but I find that there is at the beginning of your message concerning the article of the Dr Heuschmann another two assertions which I find few judicious and which deserve in my opinion a small development.
You write that abdominal muscles don´t lift the back.
If in his article, without claiming the same thing as you, the Dr Heuschmann attributes to abdominal muscles a minor role, I think that in this point he makes error, and I am completely in the same opinion as the Professor Denoix, that is to say the abdominal muscles have on the contrary a major role in the support of the raised back, the explanations in this matter developed in his work with P.P. Pailloux amounting in an brief assertion : "no abdominal muscles, no back" .
Indeed, so for example in a position low neckline such as I illustrated it on Forum +, there is an effect of lever arm which mechanically is going to raise the back under the saddle of the rider, the main interest of this attitude, notably in the work of development of the young horse, is to seek the most effectively possible the activity of abdominal muscles, notably in the gallop, and, when there is raising up of the neckline and cessation of the effect of lever arm of the nucheal ligament, it is the tone of those this, notably by the effect of the "abdominal chamber", that is going to allow "to keep" the support of the back, neckline raised, with relaxation of the top line, what allows afterward to obtain the collection.
It is to note that in the article in question, if the Dr Heuschmann deals with the beginning of the work of the young horse with low neckline, he does not deal with the continuation there to envisage, but also that, without evoking the concept of cybernetic muscle structures of the back of the horse, he insists however on the necessity of avoiding the stiffening of the back of the horse in this working attitude low neckline, and he recommends for his part to ride posting or in balance on stirrups.
For my part, I prefer to recommend the use of the functionning in global swing in sitting balance, notably in the gallop, for reducing the overloading of the front hand and for favourizing the engagement of the hindlegs, naturally for those who already master it.
The other point which calls me, it is that you write that the rise of the neck happens gradually, as the engagement is refined.
It is a subject which can be debated, and I hope that others than me will also intervene in this matter...
It is to note that, if my memory is good, the Professor Denoix underlines the character "getting tired" of this working attitude which loads the front hand, that we must not misuse it, that it is to be exploited at first without looking for engagement of the hindlegs, and for my part, I think judicious to alternate it with work with the neckline raised without waiting that the engagement is already looked for or obtained. (See message of 21/07 of the colonel Carde)
Cordially
PK
(par Peteris Klavins)
Bonsoir,
Par ce que je suis bête, que je ne me relis pas et que j´ai fait un mauvais copier-coller :) A faire 36 choses en même temps, voilà le résultat :)
La bonne adresse est :
http://www.schleese.com/articles/FUNCTIONAL%20ANATOMY%20OF%20THE%20HORSE...
StephE
(par StephE)