soumission/acceptation
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Bonjour
Cher Serge, je suis parfaitement d´accord avec vous...
Cher Fredy, je suis assurément d´accord avec vous sur la logique et l´efficacité à terme du procédé de progression gymnique que vous décrivez, simplement, je ne le pose pas, "par principe", comme étant toujours nécessairement incontournable en "préalable" au travail au galop, et dans certains cas, je pense que le travail au pas et au trot que vous préconisez peut s´effectuer non plus en "préalable" mais en "parallèle" à une gymnastique de symétrisation au galop.
Pour ce qui est des "conditions" relatives à ces "certains cas", à savoir le constat d´une "réponse" immédiatement favorable à l´"effet de torsion en pivot du buste au galop assis", il me semble à vous lire que ce que vous appelez pour votre part "tension des lombaires internes ou appui de la fesse interne" ne constitue pas juste une simple différence de terminologie entre nous pour décrire le même "phénomène" mais une "autre" action possible du cavalier, surtout si l´on considère les paramètres biomécaniques spécifiques sous-jacents à l´"effet de torsion du buste" selon qu´il est appliqué au trot ou au galop.
En effet, pour appliquer cet "effet" au galop assis, par exemple à main gauche, il sera nécessaire pour le cavalier de faire "pivoter" ses épaules par rapport à l´"axe du cheval" dans le sens inverse des aiguilles d´une montre ALORS QUE son bassin est impliqué pour sa part dans un mouvement de "rotation" dans le sens des aiguilles d´une montre, ce qui n´est pas sans poser souvent certaines "difficultés de coordination" pour le cavalier...
Une "simple" tension des lombaires internes ou un "simple" appui de la fesse interne au galop sont largement "insuffisants" pour l´obtention réelle de cet "effet de buste" que j´évoque, d´autant que pour galoper réellement assis, encore faut-il être ET rester en balancier global, le pivotement des épaules ayant "tendance" à entraîner inconsciemment le cavalier vers l´avant et à le faire "sortir" du galop assis.
Ceci dit, compte tenu qu´il y a plus de cavaliers "travaillant" en balancier lombaire ou dorso-lombaire que de cavaliers pratiquant le fonctionnement en balancier global et pensant à expérimenter cet "effet de buste" au galop assis, il me paraît peu surprenant que le procédé de "travail préalable au pas et au trot" apparaisse pour la majorité comme étant "LE SEUL" envisageable...
Chère Sylvie, pour compléter mon message précédent concernant l´étirement de la ligne du dessus à la détente où j´ai exprimé mon désaccord sur le fait d´attribuer une incidence favorisante aux mouvements d´"oscillations" de l´encolure, je pense primordial de considérer que le principal facteur favorisant/défavorisant concernant cet étirement, c´est non la présence/absence d´"oscillations" mais la présence/absence de "variations de pression" concernant la musculature cybernétique dorsale du cheval.
De ce fait, même si certaines "raideurs initiales", particulièrement avec des chevaux d´un âge assez avancé comme ceux évoqués par vous et par Philippe, sont plus "apparentes" au trot qu´au galop, elles peuvent se "traiter" aussi bien au trot qu´au galop si l´on tient compte des différences d´impact sur la musculature cybernétique dorsale de l´option de fonctionnement exploitée lors de la détente et que délibérément, le cavalier s´abstient d´user de fonctionnements générant de façon prévisible des variations de pression, à savoir : trot enlevé avec exploitation de l´effet de rebond, trot asis en balancier lombaire ou dorso-lombaire et galop "enlevé".
Pour ma part, je vois peu de caractère favorisant pour l´étirement aux "oscillations de l´encolure",(aller/retour dans un secteur déterminé...), alors qu´il me paraît fort "logique et prévisible" que des variations de pression puissent avoir un "effet crispant"...
Philippe a souligné deux fois demander des explications biomécaniques et "physiques" sur ce qui différencie le trot et le galop dans la perspective que le trot serait,(à son idée...), une allure plus contraignante pour le cheval que le galop, en quelque sorte comme si les considérations concernant l´impact du fonctionnement du cavalier seraient "hors" du sujet qu´il proposait.
S´il recherche la compréhension et l´explication de ses observations dans la seule biomécanique du cheval indépendamment de celle de son cavalier, je doute fort que l´observation des allures du cheval en liberté confirme son sentiment que le cheval éprouve plus de contraintes au trot qu´au galop...
Par contre,(c´est un cas de figure...:-), s´il limite ses observations à ne considérer que les réactions d´un cheval à qui son cavalier imposerait plus de variations de pression sur le dos au trot qu´au galop, il trouvera certainement matière à justifier que le trot est une allure plus contraignante que le galop pour ce cheval...
De là à en faire une généralisation biomécanique...
Cordialement
PK
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Hello
Dear Serge, I completely agree with you...
Dear Fredy, I certainly agree with you on the logic and the forward efficiency of the process of gymnastical progress which you describe, simply, I do not put it,"by principle", as being always inevitably inescapable in "preliminary" to the work at the gallop, and in certain cases, I think that the work at the walk and at the trot which you recommend can be made not then in "preliminary" but in "parallel" of a gym of symmetrisation at the gallop.
As for the "conditions" relating to these "certain cases", namely the report of an immediate favorable "answer" to the "effect of twisting in pivot of the bust in the sitting gallop", it seems to me to read you that what you call for your part "tension of the internal lumbar area or the pressure of the internal buttock" do not constitute just a simple difference of terminology between us to describe the same "phenomenon" but "another" possible action of the rider, especially if we consider the specific biomechanical parameters underlying to the "effect of twisting of the bust" either it is applied at the trot or at the gallop.
Indeed, to apply this "effect" at the sitting gallop, for example on the left hand, it will be necessary for the rider to make "pivoting" his shoulders with regard to the "axis of the horse" anticlockwise WHILE his pelvis is involved for its part in a movement of "rotation" in the sense of needles of a watch, what is not without presenting often certain "difficulties of coordination" for the rider...
A "simple" tension of the internal lumbar area or a "simple" pressure of the internal buttock at the gallop are widely "insufficient" for the real obtaining of the "effect of bust" which I evoke, as far as to gallop really sat, still it is necessary to be AND to stay in global swing, the pivot of shoulders having "tendency" to lead unconsciously the rider forwards and to make him "go out" of the sitting gallop.
Having said that, held account that there are more riders working in lumbar or dorso-lumbar swing than riders practising the functioning in global swing and thinking of experimenting this "effect of bust" in the sitting cantering, it seem to me few surprising that the process of "preliminary work at the walk and at the trot" appears for the majority as being "THE ONLY ONE" possible...
Dear Sylvie, to complete my previous message concerning the stretching of the top line in the warm up where I expressed my disagreement on the fact of attributing a favouring incidence to the movements of "oscillation" of the neckline, I think essential to consider that the main favoring/disfavoring factor concerning this stretching, it is not the presence/absence of "oscillations" but the presence/absence of "variations of pressure" concerning the dorsal cybernetic muscle structure of the horse.
Therefore, even if certain "initial stiffnesses", particularly with horses of an enough advanced age as those evoked by you and by Philippe, are more "visible" in the trot than in the gallop, they can "be treated" as well in the trot as in the gallop if we take into account differences of impact, on the dorsal cybernetic muscle structure, of the option of functioning exploited during the warm up and if deliberately, the rider refrains from using functionings generating in a predictable way variations of pressure, namely : rising trot with exploitation of the effect of bounce, sitting trot in lumbar or doso-lumbar swing and "rising" gallop.
For my part, I see few character favoring the stretching in the "oscillations of the neckline", (to go/return in a definite sector...), while it seems to me very "logical and predictable" that the variations of pressure can have an "irritating effect"...
Philippe underlined twice to ask for biomechanical and "physical" explanations on what differentiates the trot and the gallop in the perspective that the trot would be,(in his mind...), a more constraining gait for the horse than the gallop, in a sense as if the considerations concerning the impact of the functioning of the rider would be "out of" the subject which he proposed.
If he looks for the understanding and the explanation of his observations in the only biomechanics of the horse independently of that of its rider, I doubt hardly that the observation of the gaits of the horse in freedom confirms his feeling that the horse feels more constraints in the trot than in the gallop...
On the other hand, (it is a case of figure...:-), if he limits his observations to consider only the reactions of a horse to whom his rider would impose more variations of pressure on the back at the trot than at the gallop, he will find certainly material to justify that the trot is a gait more constraining than the gallop for this horse...
From there to make a biomechanical generalization...
Cordially
PK
(par Peteris Klavins)
Pour faire suite à toutes vos explications (très intéressantes) et au questionnement de Philippe, le fait que le galop soit une allure dissymétrique et basculée contrairement au trot ne pourrait-il pas jouer dans la préférence pour une allure plutôt qu´une autre en restant dans le cas d´un cheval libre (sans cavalier)?
(par Pascale)
Bonjour Pascale
pour moi, de toute évidence, le trot est une allure "naturelle" du cheval en liberté et si elle était "par nature" contraignante pour le cheval, je doute fort que l´on verrait des chevaux trotter en liberté ou avec une aisance et une puissance impressionnantes attelés en course...
Pour ce qui motive "leur préférence personnelle" de telle ou telle allure dans telle ou telle situation, il me semble que c´est un autre débat...
Cordialement
PK
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Hello Pascale
For me, apparently, the trot is a "natural" gait of the horse in freedom and if it was "by nature" constraining for the horse, I doubt hardly that we would see horses trotting freely or with an impressive ease and power harnessed in race...
For what motivates "their personal preference" of such or such gait in such or such situation, it seems to me that it is another subject...
Cordially
PK
(par Peteris Klavins)
bonsoir,
le trot est une allure intermediaire en vue du départ au galop en cas de fuite dans son élément naturel.
le cheval prend le trot, " regarde" ce qui l´a inquiété. Si le danger est identifié, soit il prend le galop lentement, soit c´est un réel danger et il part au galop à fond.
de plus , un cheval en pleine nature ne partira pas par prise d´équilibre. il "tombera" au galop.
seule une grande peur le fera partir instentanement au galop de l´arrêt.
cordialement
(par Serge)
Bonjour,
Je n´ai jamais vu un cheval prendre la fuite en accélérant le trot jusqu´au galop.
cordialement,
Hervé
(par Hervé)
je n´ai pas dit cela
relire svp
(par Serge)
Peteris,
A la relecture de mes reponses, il me semble que j´ai omis un point important servant de base a ma question.
Je suis tout a fait d´accord avec vous quand vous parlez de l´influence du poids du cavalier(et de son attitude) sur la locomotion du cheval. Comme vous le faites si justement remarquer leur attitude en liberte en est la meilleure preuve.
Le fait que je focalise sur la biomecanique ou tout autre explication ne mettant pas en cause le cavalier ni son attitude est liee a fait que ma constatation n´est pas la meme pour tous les chevaux que je monte. Un parametre etant inchange (le cavalier) je me focalisait sur les autres parametres qui peuvent accentuer l´inconfoirt du aux raideurs des tendons et des fibres musculaires.
Je suis cependant sensible a vos explications et ne manquerais pas d´essayer dans ma pratique de reduire les raideurs au trot afin d´identifier les causes possibles de blocage.
Cordialement,
Philippe
(par Philippe)
Sylvie,
Merci beaucoup d´avoir partage vos constatations et recherche avec moi. Votre explication me satisfait pleinement et je la resumerais ainsi.
Il est important que le cheval puisse "faire passer son dos" afin d´etre pres a travailler. Ce "passage de dos" correspond a étirer toute la colonne vertébrale en écartant les vertèbres les unes des autres. Pour ce faire il est necessaire d´obtenir la plus grande amplitude articulaire possible, cette amplitude etant facilitee par l´engagement des posterieurs.Au galop l´engagement des posterieur est plus aise a obtenir pour un cavalier lambda du fait de l´energie cynetique generee. On obtient alors une extention de la colonne et un arondissement du dos. Au trot le cheval ayant des raideurs dorsales peut trotter "le dos creux" si le cavalier n´a pas le tact equestre suffisant pou forcer l´engagement des posterieurs et l´extension d´encolure.
Comme vous le voyez votre explication couplee a cette le Peteris(influence du cavalier) me semble repondre totalement a mes questions.
Bien a vous,
amicalement,
Philippe
(par Philippe)
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cher Peteris,
je voulais parler de l´exploitation des mouvements naturels de balancier de l´encolure, qui ne sont amples qu´au pas et au galop : de plus, cela s´inscrivait dans le contexte particulier de la recherche d´une explication au fait que les chevaux âgés, lorsqu´après le pas, sont irréguliers au trot, et non au galop qui s´avère souvent plus facile pour eux. Ce constat a forcement une explication liée aux mécanismes de la locomotion. En tous les cas, c´était la question de base de Philippe, à laquelle il n´a pas été répondu.
amicalement
(par S.A-A)