Théophile Pamphlet écrit:

La base, selon Baucher (c'est une synthèse), se compose de 6 mouvements, et la main a deux fonctions, plus celle de la "main fixe de Baucher" dont je ne parlerais pas ici afin de ne pas obscurcir mon argumentation car elle réunit les deux première fonctions :

1) Marche en avant, par les deux jambes.
2) Le reculer, par la main seule, les deux mains, (marche rétrograde, mouvement)
3) Le tourner autour des hanches, à main droite demandé par la main extérieure ( la gauche, toujours le mouvement).
4) Le tourner autour des hanches, à main gauche demandé par la main extérieure ( la droite, toujours le mouvement).
5) Le tourner autour des épaules, à main droite demandé par la jambe extérieure (la gauche, le mouvement).
6) Le tourner autour des épaules, à main gauche demandé par la jambe extérieure (la droite, le mouvement).

Une fois ces six mouvements connus de votre cheval, il est capable de réaliser, à votre demande, n'importe quel travail

Je vais surement tomber dans votre discution comme un cheveux dans la soupe.
Mais moi qui :
-Ai jeté aux orties les âneries que l'on m'apprenait en centre équestre.
-Ai appris sur le tas en pleine nature
-Ai enfin tout remis à plat en suivant la méthode Parelli

Eh, bien, j'y reconnais trait pour trait les exercices et les principes dudit Parelli!

Parait même qu'Hollywood est prêt à acheter les droits pour une super production...

Eh, bien, j'y reconnais trait pour trait les exercices et les principes dudit Parelli!

La reincarnation de l'un dans l'autre? (pour plaisanter) je ne sais pas pour le style, mais pour le caractere, c'est sur qu'il y a beaucoup en commun.

juste pour un a-propos: les cavalier aux USA qui comprennent le mieux la legerete du contact, ce sont les cavaliers western.

comme ils ne sont pas agripes a la bouche du cheval, ben le terme "rendre" et les effets de rene indirects, ben c'est bien compris.....

 Théophile Pamphlet

Tiens, puisqu'on en parle:

Je viens à l'instant de sortir ces deux bouquins de ma bibliothèque. En page de garde, j'avais écrit mon nom et la date d'acquisition (1978). J'ai du les lire au moins quinze fois en trente-trois ans.

J'ai compris leur intérêt le jour et seulement le jour où sans vraiment le faire exprès, j'ai penser "trot" au moment précis où le cheval qui me portait au pas mâchait son mors. Evidemment, on comprend la suite.

Pas "bauchériste" pour autant, mais un "bouffe-à-tous-les-râteliers" qui se construit tranquillement...

Car l'essentiel n'est pas transmissible par l'écrit. Les bouquins n'étant que des invitations au travail.

CC

Christopher Cunningham écrit:

Car l'essentiel n'est pas transmissible par l'écrit.

pas mieux

 Théophile Pamphlet

Théophile Pamphlet écrit:

Caroline, vous aussi lisez, ces deux livres, vous comprendrez, où, Parelli a pompé ses idées, et vous comprendrez ainsi, que votre intervention ne peut être considérée que comme une boutade.

Vous allez rire, mon cher Théophile, mais figurez-vous que ces deux livres se trouvent dans ma bibliothèque, et ce depuis fort longtemps! Ils sont soigneusemnt rangés à côté des livres de Nino Olivera et de la méthode d'Orgeix! Entre autres.
J'ai même essayé de mettre en pratique le second avec mon premier cheval! Au début, ça va, on arrive à faire jusqu'à 12 ou 15 exercices, et puis, comment dire... la pratique se dissout dans la théorie... Mais j'y retourne de temps à autres, pour y comparer ma base d'apprentissage Parelli.
J'y suis chaleureusement invitée par moniteur AI.
Lequel n'a d'ailleurs jamais tenté de me détourner de la méthode sur laquelle j'ai décidé de m'appuyer.

Il y a aussi deux petites choses, peut-être un peu naïve (mais bon, je n'ai pas vos bagages, alors, je peux bien endosser le rôle du naïf, au sens noble du terme) que j'ai vues et dont je voudrais vous faire part.
J'ai été plusieurs fois au Haras de la Cense du temps où Parelli y venait aussi.
Or, la première fois que je me suis trouvée dans le public, ledit Parelli a fait piaffer, pour la première fois de sa vie, un étalon PRE. Sans bride évidemment. Faut pas d'abord rassembler un cheval avant de le faire piaffer?
Une autre fois où j'y suis allée, j'y ai croisé un célèbre cavalier français, appartenant me semble-t-il au mouvement AI, mais qui ne pourra plus venir confirmer mes dire : Jean d'Orgeix. Qui vint dire au cow-boy tout le bien qu'il pensait de lui... D'orgeix n'aurait-il pas vu dans la situation la boutade que vous y voyez?

Je ne cherche pas à vous contredire, mais simplement à mieux comprendre. Car nombreux sont, parmi les adeptes de la méthode, ceux qui montent à l'Anglaise.

Message édité par: mon quidam, à: 2010/12/10 10:15

Message édité par: mon quidam, à: 2010/12/10 10:17

Théophile Pamphlet écrit:

France, toujours présente dans les bons coups.

Amusé, très amusé.

c'est mieux que d'être dans tous les mauvais coups, non ?