Mettre un cheval sur les épaules
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502 Bad Gateway
J'aime bien l'idée du coup de cravache sur les oreilles ou entre les deux si on est adroit, dans la bousculade d'un cheval en défense. On doit pouvoir trouver une cravache plombée dans le commerce pour un meilleur effet... Si le cheval qui a compris cherche à éviter le coup, le choc sur l'oeil devrait le corriger de son défaut. Il paraît que les chevaux borgnes sont plus prudents, plus adroits que les autres...
Oui Christopher je pratique ça aussi, plus ou moins. Décontraction de la mâchoire, sans puis avec flexion de l'encolure. Et la touche avec "l'endostick" sur l'antérieur (gauche d'abord) pour décoincer la bête (par contre je touche derrière l'avant-bras, je me dis qu'on s'adresse plutôt au muscle qu'au tendon). Mais ça arrive aussi à Pancho de rétiver vers l'avant, de prendre la fuite, et là, le problème n'est pas de faire avancer l'antérieur gauche.
Merci de me rappeler ces conseils, ça fait toujours du bien et j'en ferai bon usage.
Je pense suivre la voie ouverte par Upwelling pour le moment, ce qui me paraît un ordre logique. Commencer par prendre en compte ce problème physique potentiel avant d'attaquer par un autre bord si besoin, en fonction des résultats du travail en longe.
Censuré sur le sujet ”Quelle drôle d’idée”, donc
le coup de cravache entre les oreilles d'un cheval qui se cabre jai vu pratiqué et l'ai pratiqué dans ma jeunesse , en général c'est efficace , sauf que il y a des chevaux qui par réaction vont se reacabrer plus fort et sans controle donc jusqu'à se retourner , je le proscris donc et préfère la mise en avant vigoureuse parac tion sur l'arrière main.
ls rétivités sont pour moi siot dues a une cause physique soit mentale, mais ce n'est pas dans la naure des chevaux.
vérifier l'adaptation de la selle , s'l n'y a pas de douleur .
Contiuner le travail en main et à longe . Etablir un rituel dans l'enchainement des exercices , l'habitude rassure les inquiets . Demander peu récompenser souvent , faire des pauses , caresser. Ce cheval me semble avoir besoin avant tout d'un cadre clair , dans une fermeté douce qui va le rassurer et lui permettre de se déontracter .
Faire des séances courtes , plutot 3 fois 20mns par jour si c'est possible.
Au contraire de Christophe je 'n'élève pas l'encoure au pansage mais au contraire je l'abaisse , et sur ce cheval là il me semblerait judicieux de l'habituer à céder à la pression de la main sur la nuque , kusqu'à obtenir une encolure relâchée , cela fait beaucoup de bien et les détends . Idem vous pouvez compléter par une douce malaxatio du ligament nuchal source de détente profonde ( en général se fait après le travail mais sur celui là vous pouvez le faire avant s'il chauffe fort au travail )
Ensuite dans le travail en main bous pouveez à l'arrêt intégrer des cessions de machoires et des lflexions latérales , mais sil a déjà tendance à mettre la tête dans les étoiles , laissez pour le moment le relèvement , ce n'est pas de cela dont il a besoin , maos d'être dans la totalité de son corps et dans le calme . Touchez le partout y compris pendant le travail doucement pour renforcer la conscience de son propre corps et l'écoute de vos actions .
voilà ce que je ferai à priori ( sans le voir en vrai difficile de sortir des conseils généraux)
Merci Juliette pour ces conseils que je garde précieusement aussi. Je crois que je vais avoir besoin d'un petit peu tout, j'ai travaillé pas mal de chevaux compliqués mais celui-là est particulièrement mal dans sa peau. Et ses réactions sont assez imprévisibles, pas régulières. Par contre il est tout le temps "gérable" si on tient bien à cheval (la sangle de ramassage aide bien en horse-ball...). On l'envoie partout avec un peu de conviction et on l'arrête aussi vite. Je dirais que le problème n'est pas son utilisation mais son bien-être (qui faciliterait bien entendu son utilisation aussi).
Pour vous tenir informés du boulot, le travail en longe est encore compliqué : il se détend un peu, oui, mais rien de bien durable. Le soucis du début de semaine dernière a été de le longer sur un sol mouillé, apparemment il n'aime pas ça du tout et là, impossible de le détendre, c'était très compliqué...
Je vous tiendrai au courant pour la suite (pour ceux que ça intéresse).
Réponse à Juliette,
Bien sûr, le cheval doit céder de bonne grâce à toute pression manuelle. Sur la nuque, sur la joue, sur une fesse, etc... Toutefois, il peut arriver que la pression manuelle sur la nuque tarde à produire une bonne réponse, alors pourquoi pas combiner élévation - qui produit (presque) toujours la mobilité mandibulaire - et pression manuelle, à la suite, sur la nuque. Le tout demeurant de pouvoir à pied placer la hauteur des oreilles où l'on veut. La boîte à outil est à notre disposition. A chacun de sortir les bons outils au bon moment. Un bon ouvrier (qui sait transmettre) est présenté comme un intellectuel qui sait se servir de ses mains.
Donc, chère Juliette, absolument rien ne nous oppose. Nous cherchons à pied l'attitude relaxante qui devient une référence après chaque exercice en selle.
in extenso:
Inspiré par JCR, j'ai pris l'habitude, sur un sujet en première année de catéchisme qui tarde à pousser ses hanches en main, de lui indroduire un doigt insinueux dans la bouche, cela fonctionne à tous les coups, Pompon pousse ses fesses.
J'espère avoir établi des ponts utiles.
CC
Bon, je suis parti pour l'envoyer en avant tout le temps (enfin en tout cas à chaque problème qui se poserait).
Je commence dans l'énorme champs de chaume devant chez moi, on galope, on galope, à plutôt vive allure, et on verra à moyen terme si ça détend la bête. Physiquement d'abord et puis si ça lui permet de ne plus se poser de question. Histoire d'éviter qu'il se mette à la retourne dès qu'il stress. On verra...
Coup de cravache entre les deux oreilles...filet au pansage...coups de stick sur les antérieurs...mise en avant "vigoureuse"...doigt dans la bouche...galop dans les chaumes...je suis assez sidéré par ce que je lis.
Et si vous commenciez par lui apprendre à pied ce que vous attendez de lui ?
effectivement, dans les moyens naturels de détendre les chevaux ( dé-tendre ), il y a soit le pas rênes longues, qui peut se pratiquer en carrière, soit le galop en extérieur, qui lui fait oublier les misères qu'il a pu subir en carrière ... et lui redonne le goût de vivre et de s'éclater ...
Compte tenu de l'expérience de Daniel en horse-ball, et en re-dressage de chevaux difficiles, on peut même penser que ce cheval mal dans sa peau y retrouvera peut-être l'envie de jouer !
Mais, Daniel...
Il faut bien faire le lien entre la longe (qui inclut le travail à pied à l'épaule) et le travail en selle.
C'est difficile d'en parler sans voir.
Donc, j'expose ce que je fait avec des chevaux difficulteux:
Lors du pansage, je colle le filet. Entre deux papouilles, en saisisant les deux anneaux du mors, élévation au maxi de l'encolure chanfrein à l'horizontale, jouer sur le mors, au besoin caresser la langue, dès que la mandibule se mobilise, caresser sur le front et, par manoeuvres alternées amener le nez à hauteur des genoux. Papouiller à mort.
Tranquille.
Refaire la même chose sur le terrain. A l'épaule. Inlassablement. Cela peut être acquis en très peu de temps (friandises aidant). Quand Pompon est en état de grâce, provoquer au stick le décollement de l'un ou l'autre antérieur en frappant derrière le canon.
Le but est d'obtenir un réflexe, on touche à gauche, l'antérieur gauche décolle et se porte en avant. Et pareil à droite. (Zut! Je suis le Monsieur Jourdain du Bauchérisme).
Tranquille.
La suite viendra comme un fruit mûr.
Rappel: Les défenses dangereuses pour le cavalier s'initient toujours par plantage des antérieurs. Cela commence par la subtile notion du cheval qui passe sournoisement "derrière" son cavalier...
Bref, on s'est déjà vus chez Henriquet. Ranimer ce forum autrement que par des sentences de barbons commence aussi par la maîtrise des antérieurs, savoir retenir ses doigts au dessus du clavier. Pas pour toi, évidemment.
A plus