Merci  Serge...
Yves KATZ...Quand vous dites que le déplacement du cheval avec une extension d'encolure dans le prolongement du dos (horizontalité) amène un abaissement des hanches vous parlez d'un déplacement sur un cercle ou sur une ligne droite ?

Pierre GIOGI a dit: en suivant par un moteur de recherche ce titre vous aboutirez a ce que la science dit du fonctionneement du dos du cheval et de ses mouvements en tous sens...pour ceux qui lisent l anglais... cela ne fait aucun doute, ça bouge !

Je ne connais pas l'anglais...ça bouge, personne ne le nie...par contre es ce suffisant pour que cette "oscillation" ait une incidence sur le jeu de la jambe isolé a des fins d'incurvations latérale ?
...Pour ma part, au vu des témoignages d'écuyers (Limousin écuyer au Cadre Noir de Saumur et Ph.Karl), d'un cavalier très expérimenté (J.d'Orgeix), d'études par la photographie poussés (Harry Boldt "Das Dressurpferd..éditions Haberbeck), de ma propre expérience a cheval...et sachant que la latéro flexion de la colonne par les segments de D8 a L4 est très faible...il m'est difficile de dire oui a la question proposée !

 

 je crois quand même que Monsieur D'Orgeix vous a dit une chose essentielle , si j'ai bien compris votre propos dans le post sur le ramener

Mr d'Orgeix vous a dit que dans l'étude de cette question , ce n'était pas l'incurvation qu'il fallait aller étudier , mais la mobilité .. et cela c'est à mon sens extrèmement bien vu  ... Si je ne me trompe pas sur la lecture du gymnase du cheval , G. S. sur ce point précis , dit la même chose ... 

si vous faites de la question de la flexion de l'epine dorsale une étude sur l'incurvation du cheval , naturelle ou acquise , vous passez à coté de l'essentiel de cette question , qui est la mobilité du cheval et non sa capacité à l'incurvation ... 

!

Si le rachis était aussi rigide qu'une barre de fer, il n'y aurait jamais de problème de 'kissing spines' (en français ?) au niveau du garrot.

Je crois qu'il s'agit de conflits de processus épineux. Mais ça se situe plus souvent dans la région dorsale, au niveau du garrot l'écartement des apophyses est assez important pour éviter que ça se touche (même si ça arrive parfois).

...
 

 Daffos, vous avez mal lu et mal compris ce que j'ai écrit:
la remontée du garrot(qui je le rappelle commence par un redressement des apophyses épineuses des premières dorsales, pour se prolonger ensuite par un travail de la sangle musculaire sternale et se terminer par un abaissement des hanches).
Par mon propos, je précisais que l'abaissement des hanches était le derniier "exerccie" qui autorisait la remontée du garrot.
L'abissement des hanches se travaille par une gymnastqiue progressive de l'arrière main en utilisant desexerccies d'incurvatio et d edéplacements latéraux bien spécifiques.

 On me montre toujours le même genre de photos qui ne font que confirmer ce que je pense: le rachis, c'est a dire les segments de D9 (la fin du garrot) à L4 (le début du sacrum) n'ont qu'une mobilité excessivement limitée...exactement ce que je vois sur ces photos !
Mais ce qui interesse une jambe isolée voulant faire incurver le cheval a des buts bien définis de dressage, ce sont justement ces segments là...donc pour moi inopérante !
Bon, je vais pas passer la journée a re re re expliquer mon point de vue sachant que je ne convaincrai personne et que personne ne me convaincra...Chacun a ses sources et chacun les interprète a sa manière...et c'est tres bien comme ça !

 KATZ Yves...Tout a fait d'accord avec vous en ce qui concerne l'abaissement des hanches procurée par une gymnastique progressive de l'arrière main (EED classique) mais qui pour moi ne peut que se concevoir qu'avec l'aide de l'incurvation de l'encolure puisque je pars du principe qu'il n'y a, chez le cheval, que l'encolure qui s'incurve...

Principe "Baucheriste" qui prétend que si on est maitre de l'encolure on est maitre de l'arrière main...principe qui coule de source dès que je suis sur un cheval, qu'il soit dressé ou non !

 fort bien , Mr Daffos , mais apparemment vous n'etes pas en accord avec le fond de la pensée de M d'Orgeix ...

car Monsieur d'Orgeix  , si on creuse bien , vous a bien avoué au final que le cheval  ( et pas seulement son encolure )  a bien une mobilité ...