des allures
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absolument d'accord, est-il besoin de l'ajouter ... ?
Bien vu Juliette, c est bien là le point sur lequel j' attendais des retours......car apres bien 25 lectures de cet ouvrage, c ' est la 1 ere fois que cette phrase me saute aux yeux....et elle contient, me semble t il, a la fois le meilleur et le pire.
qu ' a voulu nous dire cet auteur en declarant ceci ( la citation du debut ) ? et en rajoutant cela:
" pour donner a une lame de fer l elasticité qui la transforme en ressort il faut l' acierer, c est a dire la durcir par la trempe. Il en est de meme pour le cheval. Son exercice gymnastique reclame non seulement plus de depense d energie, plus d activité que n' en comporte le pas mais aussi plus de fermeté dans la tension musculaire
on peut l'interpreter comme un modus opérandi pour aborder les premieres résistances ,
on doit chercher à les sentir dans une allure vive , parce que l'on a au même moment la résistance , et aussi la solution , par le fait d'étendre les membres vers l'avant et de permettre ainsi que s'allonge un peu le dos du cheval ... c'est une élasticité donnée par le seul mouvement , l'intervention humaine est minimale
et comme on est à deux temps , le cheval a deux fois moins de combinaisons possibles pour exterioriser ses raideurs ou contractions , que dans une allure à quatre temps
Bien joué, Upwelling,
Par expérience, certains difficultueux sont plus faciles à amadouer au trot qu'au pas, dés lors qu'on les touche un peu. Cela s'accompagne d'un trot un peu trop ram-plan-plan. Le job consiste à sortir de l'exercice avec honneur (trot enlevé droit devant soi). Nous pouvons penser que Decarpentry ne récuserait pas.
CC
deux jeux musculaires interviennent :
ceux de la posture
ceux du mouvement
au trot et au galop, les deux jeux sont de fait indissociables;
au pas, ils sont, semble-t-il, indépendants.
Il semble que cette dissociation et association engagent le cheval et le cavalier dans une réelle mobilisation.
(j'espère me faire comprendre)
Mais pour venir à bout des résistances, il faut quand même bien défaire les contractions, et souvent une à une... n'y parvient-on pas mieux au pas justement parce que les jeux musculaires y sont indépendants ? ( c'est bien une question de ma part, pas une affirmation !)
Si le pas commence dans la décontraction
la posture de l’allongement du bout de devant
la libre disposition du "balancier" (encolure)
(La détente, cf. Ch. Carde)
Le cheval contracté devient "monolithique". Cette situation semble être entretenue par le trot ou le galop mal préparé.
Ce n'est que mon avis.
Bruno, semblez vous enoncer qu 'il est impossible de changer la posture tout en trottant ou galopant ?
il me semble pourtant qu 'il est tout a fait possible de jouer des postures dans le trot et le galop.....c ' est justement me semble t il une des habiletés techniques du dresseur....habileté qui lui permet dans une meme allure de faire jouer differentes synergies musculaires
Bonsoir,
Je m'étonnais un peu plus haut de l'ambiance donnée à ce sujet, il semble être dans une impasse maintenant alors qu'il promettait beaucoup...
Concernant les contractions ou résistances du cheval il est difficile de savoir si elles sont le fait du cavalier ou si elles proviennent effectivement du cheval...
L'expression "combattre" les résistances n'est donc pas si facile que cela si l'on sait que le cavalier risque d'en être à l'origine...
Amicalement.
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Je pense que Pierre tente juste de recadrer son sujet duquel les réponses s'éloignent .
Le pas est une excellente allure pour dresser et faire comprendre ce que l'on attend ( et bien sûr que oui on peut l'améliorer ! c'est pour moi le jge de paix pour vérifier la justesse d'un travail ) mais ce sont le trot et le galop qui développent les qualités sportives du cheval
"(....) et pour faire nettement apparaitre les contractions opposées à l emploi "des seules forces necessaires au mouvement" .Voilà me semble t il où se situe le questionnement .