Ce que dit un cavalier allemand qui suit la scala.
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502 Bad Gateway
Bonjour Bruno,
Vous avez raison.
Lors de cette discussion ( l'ancienne il y a 3 ou 4 ans ) on parlait de la mobilité des apohyses lors de l'incurvation des chevaux et du dos/reins particulièrement.
Un cheval ne peut pas, les angles permis sont de 2 degrés environ par vertébre au niveau des reins, se "" cintrer"" ( garrot - hanches ) le seul moyen qu'il ait c'est d'engager son postérieur sous lui pour générer un éventail descendant, les apophyses "" passent "" les unes sous les autres. Si elles se touchent , le cheval a mal par ce pincement et toute la locomotion est perturbée, voir il devient rétif.
Ca peut-être une piste pour ceux qui ne comprennet pas les défenses de leur cheval.
Voilà pour terminer.
Amicalement
Serge
http://wanevents.com/AFCTV/
JMD - 10h Biomécanique du dos
2min : "Le geste que l'on recherche, en particulier dans la phase ascendante du planer c'est un dos rond. Mais il est incontestable que le cheval doit néanmoins effectuer une extension à la réception pour passer les postérieurs. Et en gros c'est plus l'amplitude de flexion/extension qui est à rechercher plutot qu'une flexion permanente pendant tout le saut. Il faut bien que idéalement le cheval doit permettre cette extension à la réception pour passer les postérieurs."
Bonjour Adrien,Bruno,
Je viens de visionner une partie de chaque reportage ( c'est long ) mais on ne peut voir l'écran.... ( droits d'auteurs ).
Mr Denoix ( film de 9h15 - anatomie du dos ) cite un hors série du magasine l'Eperon qui est maintenant épuissé edité en 1988.
Je posséde ce hors série et je le relis réguliérement et je le garde précieusement.
J'ai étudié en long et en large ce qu'écrit le Dr Denoix dans ce hors série et plus particuliérement en CSO puisque fait pour les chevaux, cavaliers et proprétaires. Il y a tout ce qu'on doit savoir dans cet ouvrage et c'est pour cela que je me permets de donner mon avis.
Pour résumer je "crois" connaitre assez bien les possibilités mécaniques des chevaux.
Je perçois rapidement les possibilités physiques des chevaux et c'est également pour cela qu'une simple photo en place me permet de donner déjà un avis qui est confirmé par les déplacements du cheval en liberté et/ou monté.
Voilà ma source technique sur la bio-mécanique du cheval de CSO pour rassurer certains.
Je maintiens que le dos ne se creuse pas mais que les vertébres sont tirées et ""plaquées entre elles "" par la puissance de la traction musculaire, ce qui peut faire croire une dépression à cet endroit, surtout que le sommet de la croupe est au dessus du dos à cet instant.
Cordialement
Serge
Je possède également ce hors série fort bien fait (et je regrette d'ailleurs qu'il n'y ai pas une nouvelle version , mise à jour )
Oui c'est dommage que l'on ne puisse voir l'écran ( mais en même temps les personnes présentes avaient payé pour ça , c'est donc normal qu'elles en aient eu plus ) car les illustrations étaient passionnantes , mais le propos reste intéressant .
Il y a eu une suite à cette formation cette année à Lyon , mais je n'ai pu m'y rendre ayant d'autres engagements ailleurs à ce moment là .
Sans doute y aura t il également un compte rendu filmé sur le site de l'aftc .
Bonjour Juliette,
Je vois que nous sommes au moins deux à pouvoir discuter du travail du cheval sur des bases scientifiques.
Amicalement
Serge
Bonjour Serge,
je lis que vous avez des dispositions "scientifiques". C'est-à-dire (i.e.) que l'on ne sait pas a priori, mais que l'on veut démontrer, argumenter et conclure a posteriori sur une démonstration.
Ainsi, on peut savoir quelque chose par déduction.
Les convictions personnelles doivent être argumentées pour être utilisées en démonstration.
Les conclusions (a posteriori) sont déduites avec élégance et respect de ses interlocuteurs.
Si c'est là votre état d'esprit, nous pouvons alors discuter de la flexion sagittale du rachis chez le cheval.
Nous pourrions alors ouvrir un nouveau sujet : flexion sagittale.
je m'adresse à tout le monde à condition de respecter la procédure du raisonnement et les inerlocuteurs, même en cas de divergences.
L'erreur est humaine, le partage de la vérité grandit les hommes.
Cordialement, bruno
Bonjour Bruno,
Des dispositions scientifiques ? Peut-être ! eventuellement. De la mécanique oui.
Des constatations et une expérience de plus de 30 années en chevaux, élevage, selection, amélioration, connaissance du cheval et du cavalier, concours de CSO élevage, etc... mais nous ne sommes pas là pour parler de moi et de mon "" CV "".
Nous pouvons commencer un sujet qui va certainement interesser beaucoup de monde et qui va être ...virulant, opposant. Souvenez-vous des joutes d'il y a 3 ou 4 ans, je crois que vous y participiez.
Cordialement.
Serge
Serge,
Sil vous plait, ne remontez pas les ressorts, dites que vous acceptez une enrichissante discussion d'où doit jaillir des idées fortes et vraies;
En dehors de ce contexte, je me refuse de discuter sur l' a priori de nos certitudes, j'ai beaucoup d'autres choses à faire et mes amis me réclament.....
Amicalement, bruno
Pour la clarté du forum, et bien que je n'en sois pas administrateur ou modérateur,il me semble impoprtant de ne pas dévier du sujet de départ et d'ouvrir un nouveau fil de discussion sur ce sujet du geste du cheval au- dessus de l'obstacle.......(fort intéressant au demeurant , ma foi!)
Tout en restant courtois, argumenté et respectueux de l'autre...................
Bonjour Serge,
Je n'ai nul désir d'infléchir votre avis.
Ce genre de discussion ne nous mènera nulle part. Inutile d'engager des discussions âpres, le temps me manque trop.
Chacun croit ce qu'il a appris, vu ou constaté et les chevaux sauteront toujours avec leurs moyens.
Pour ma part :
Tous les chevaux n'ont pas la même amplitude articulaire ni la même laxité du rachis.
Les chevaux qui se vrillent sont ceux qui manquent d'amplitude longitudinale et qui compensent par une torsion latérale.
— C'est classique.
Les limites d'un athlète résident dans l'apparition des douleurs qui arrivent plus ou moins vite selon sa conformation, son entraînement et sa physiologie.
Cordialement, Bruno