JO où est le problème ?

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Cette affirmation n'est pas exacte, Serge.

Les cavaliers dont vous parlez sont ceux qui font partis des 30% restant chez les débutants. Les autres ont abandonné  à cause de cet enseignement, uniquement axé sur la compétition  et en particulier le CSO. Dans l'enseignement actuel et donc dans la plus part des CE point de salut en dehors de la compétition. Ce qui correspond d'ailleurs aux instructions ministérielles (celles de l'ancien gouvernement). Mais certainement pas au souhaits et espoirs des gens qui démarrent la pratique équestre

Que deviennent les 70% restant?

Peut-être des membres AI en puissance...

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La compétition n'est qu'une infime partie du monde équestre.

Votre réponse veut elle dire, Serge, que vous méprisez tout équitant en dehors de la compétition? Je ne peux pas croire cela...

M.Henriquet n'a personnellement jamais fait de compétition

Au fait, Serge, la relève de quoi? L'équitation de Tradition Française n'a pas attendu la recréation des JO pour exister et se faire apprécier et si la compétition disparaissait demain, la Tradition continuerait.
Alors laquelle est la plus importante?

Je précise que mes propos ne sont pas une charge contre la compétition qui est une vitrine nécessaire aujourd'hui dans notre monde médiatisé.

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tous les enseignants forment les cavaliers à la compètition car c'est un des but de 80% des cavaliers, donc ils sont entraineur.
c'est la sortie en compétition qui permet aux enseignants de ""donner"" des conseils. ils voient leurs erreurs ce qui permet de former.
écrit Sege mulot.
Désolé,Serge, mais vous avez tout faux! Renseignez vous un peu mieux sur les quelques statistiques qui existent (je sais, on fait dre ce que l'on veu aux statistiques, mais dans ce cas là les chiffres parlemnt d'eux mêmes).
La compétition ne permet nullement de donner des conseils; ce devrait être pour tous, tout du moins au départ, un "test" pour vérifier les acquis des élèves et leur capacité à gérer un cheval seul.Heureusement qu'avant la compétition, il y a l'enseignement du manège qui permet de former et d'éveiller les capacités des équitants, ce bien sûr dans le cas d'un enseignement bien conduit.
La compétition est "nécessaire", mais pour être quelque chose de positif, il serait bon que la formation qui y mène soit elle aussi de qualité!

Merci Serge!

Je n'avais pas de doute, mais je voulais vous l'entendre dire et je suis sur que vous avez rassuré beaucoup de monde.

Maintenant continuons notre travail de fourmis...

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 Pour le CSo nombre de nos meilleurs chevaux sont vendus à l'étranger, et tournent parfois (souvent) sous des noms différents qui fait que l'on perd leurs traces, 

Business is business ?

Mais vue les incitations à l'élévage en France pour les chevaux de selle, on peut dire qu'on ne récolte que ce que l'on sème, et que chacun pense à son porte monnaie, donc merci la France ^^

 Quand le voulez, Serge, je vous montrerai sur le terrain que je peux utilement conseiller un cavalier de concours. Et pourtant, il y a plus de 40 ans que je ne suis plus sorti en compétition et que, même à cette époque, la compétition  n'était pas "ma tasse de thé", quelle que fut la discipline.. Ce qui n'empêche que j'ai eu des élèves qui ne furent pas que des brutes en compétition et d'autres qui aujourd'hui enseignent......................