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Des errements d'un débourrage prétendument « éthologique »

124 réponses [Dernière contribution]
502 Bad Gateway

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Hervé
Déconnecté
Inscrit: 07/03/2012

 

Voici une video illustrant le second point

https://youtu.be/xmKq3h9gxFY


Hervé
Déconnecté
Inscrit: 07/03/2012

Il faut poser les bonnes questions si on veut les bonnes réponses.

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

mais c'est justement LA bonne question , sur laquelle je vais essayer de vous faire analyser que ce qui ce passe à ce moment là dans le corps du cheval n'est en rien de l'impulsion ..

 

Hervé
Déconnecté
Inscrit: 07/03/2012

Personne n'a dit que le cheval qui embarque est dans l'impulsion.
Vous avez déjà été embarqué au galop à fond ?
Au vu de votre question je pense que non.

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

pas tout à fait personne , je vous cite un peu plus haut ... 

 " Cela tombe bien car le degré zéro de l'équitation nous permet aussi de l'empêcher de prendre un surcroît d'impulsion. Cela s'appelle "l'arrêt d'urgence" en équitation éthologique (one rein stop ou doubling en VO).

quand à embarquer ...  non ca va  , je sais un peu monter et faire en sorte que cela ne m'arrive pas , j'ai un peu de bouteille et un soupçon de savoir faire dans le travail des chevaux ... 


 

Hervé
Déconnecté
Inscrit: 07/03/2012

Posez donc à votre question à l'auteur de cette expression c'est à dire à l'Hotte dont je ne faisais que reprendre les termes.

Cela ne vous est jamais arrivé mais vous me posez une question à ce propos.

Moi cela m'est arrivé une fois avec un cheval très gentil et très bien dressé, dans un contexte un peu particulier il est vrai.

Voyez comme votre expérience, que vous invoquez à tout bout de champ, et qui souvent est votrre seul argument, est assez limitée.

VOCHE Jacques
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

"Le cheval de campagne se dirigeant presque uniquement à l'aide de la main, et le cavalier étant d'ailleurs prédisposé à s'en servir bien plutôt que de ses jambes, il est devenu vul­gaire de dire que le gouvernail du cheval réside dans son encolure.
Gela peut être vrai pour le cheval qui est obéissant et auquel on ne demande que ce que comporte l'équitation courante. Mais, comme je l'ai dit déjà, il en est autrement, lors­ que les exigences, augmentant, demandent plus d'accord entre l'avant et l'arrière-main, et surtout si le cheval se refuse à l'obéissance.
Dans ce dernier cas, le cavalier, tout en pou­vant, je suppose, diriger l'encolure comme il l'entend, ne sera cependant nullement maitre d'engager le cheval récalcitrant dans la direc­tion qu'il se refuse à prendre.
Comme exemple, je rappellerai ce que j'ai dit du cheval qui, tenant à l'écurie, s'obstine à y retourner par un demi-tour à gauche.
L'inflexion à droite de son encolure est impuissante à empêcher ce demi-tour. Mais que le cavalier, concentrant ses efforts sur les hanches, les fasse dévier à gauche, les disposant ainsi en arc-boutant, et le demi-tour de ce côté deviendra impossible.
Le cavalier aura donc à faire appel à deux forces du même côté, rêne et talon droits,pour dominer les hanches, les faire dévier.
Ce n'est qu'après les avoir disposées à gauche, c'est-à-dire après avoir assuré la di­rection en se prémunissant contre le demi-tour, que la marche sera sollicitée. Chaque fois que la défense se renouvellera,il faudra revenir à la même succession de procédés."

Hervé vous etes incapable de remettre des explications dans leur contexte : en conséquence, vous généralisez à l'aune de votre imagination et de votre indigente pratique en omettant que L'hotte nous parle d'équitation de campagne (donc d'équitation "vulgaire", "usuel" ou l'on exploite le cheval "en l'état") et d'un cheval qui se défend en faisant un demi -tour.

Mais quel rapport avec l'équitation d'école, avec le travail de reconstruction postural, avec le long et fastidieux travail d’assouplissement et de musculation du cheval que cette équitation supérieure implique ???

Quant à votre vidéo, je ne peux que vous dire que l'on ne parle pas de la meme chose, que vous et moi nous n'avons pas les memes objectifs en nous mettant à cheval; ce que je cherche est autrement plus difficile que vos demi tours à la "mords moi le noeud".

Je cherche à rassembler mon cheval, vous en etes encore à chercher à le « controler » (au sens primaire du terme).

Hervé restez donc à votre place (celle d'un cavalier pratiquant une équitation « simpliste » et "usuelle" avec un cheval à plat et sur les épaules) et ne vous melez pas d'équitation d'école car vous n'en avez aucune expérience et aucune compétence.

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

c'est vrai que pour discerner la gentillesse chez le cheval , il faut beaucoup d'experience ... souvent on parle plus facilement d'un cheval de bonne volonté , on sait que cela pourrait ne pas durer , et çà oblige le cavalier a rester attentif  ... 

 

Hervé
Déconnecté
Inscrit: 07/03/2012

On parle depuis le début du désengagement des hanches dans le débourrage du poulain, donc, oui, de quelque chose d'assez basique. Ce n'est pas ma faute si votre monomanie vous empêche de comprendre ce que vous lisez.

Je pense aussi que vous n'avez aucune expérience du débourrage, si non vous n'auriez pas écrit cette bêtise sur la pirouette renversée comme premier exercice de déplacement des hanches.

Votre vision de l'équitation "de campagne" a plus d'un siècle de retard, momifié que vous êtes dans un bauchérisme qui sent la naphtaline.  

Votre mention d'un cheval "à plat et sur les épaules" montre à quel point vous n'avez ni culture ni sentiment équestre, ce qui vous condamne à répéter les ânneries de votre mentor (comme la "posture aplatie" et autres billevesées) . Je préfére une "posture aplatie" à un robinet de baignoire.

Et moi je n'ai pas besoin de faire appel à quelqu'un pour mettre ma jument en avant. Alors à votre place je serais plus modeste.

VOCHE Jacques
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

"Je pense aussi que vous n'avez aucune expérience du débourrage" : ben si mon Hervé, j'en ai débourré 4 depuis que je monte- )

robinet de baignoire : vous etes plombier ?