La quête du Centaure

Merci, Madame Poder.

Tout le monde comprend que faire l'impasse sur cette question fondamentale mène droit au mur.

Harassé de fatigue, je n'ai pas le courage de faire le tour de votre catalogue ce soir. Je m'y plonge le plus tôt possible.

Bien cordialement.

Merci pour toutes ces références dans lesquelles je me plongerai dès que possible +++

Merci beaucoup pour cette belle bibliographie.
Voici des pistes à étudier...

Un grand merci également.. Dès que possible, je me plonge dans ces lectures..

Quelques infos complémentaires pour passer à la pratique°)!

Pour l'isopraxie, analysée par Jean Claude Barrey:
Son site:
http://puisaye-station-recherche.ifrance.com/
Un site qui présente ses stages:
http://www.cheval-nature.ch/phpBB/viewtopic.php?f=3&t=3655

La proprioception: chercher sur le net les travaux d'Alain Berthoz

Daniel Jugnet est dans le Gers.
Un compte-rendu avec photos et vidéos de notre stage sur:

http://www.chevaux-legers-en-aquitaine.fr/news/news.php

On me signale que Véronique CORBEAU- Passadori, formée par Peteris Klavins, donne des cours sur son simulateur dans le quart Nord-ESt, Suisse et Allemagne:
equi-ideal [at] wanadoo [dot] fr

Des vidéos de cavaliers qui "fonctionnent" ainsi, sur leur site: Dany Lahaye, Cristal Samani, Anja Beran etses élèves.

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Message édité par: PODER, à: 2008/10/09 23:15

Le mémoire de Patrick Chêne est édifiant le cheval est notre MIROIR !

Ayant des douleurs dans le dos régulières (car cambrée)
peut-on alors faire un parallèle avec mes chevaux dont j' ai du mal à muscler le rein ?
(il faut absolument que je rencontre Patrick Chêne...)

Camille,

en réponse à votre souhait de rencontrer Isa Danne, sachez que Sabine et moi-même l'avons rencontré à Bordeaux!
Je suis prête à refaire une séance de simulateur avec vous sur la région.

D'autre part, Sabine est en train d'organiser un second stage avec Daniel Jugnet (coordonnées ci-dessus) auquel j'ai bien l'intention de présenter le simulateur cette prochaine fois, car les deux approches sont complémentaires.
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Message édité par: PODER, à: 2008/10/17 00:07

Oui, ma décision est prise d'aller rencontrer Isa prendre quelques cours sur le simulateur. Je me heurte pour l'instant à quelques soucis de taille qui me font différer un "passage à l'action" de mois ou semaines (pb de santé entre autre - il est possible que l'on soit en train de perdre le controle de ma maladie donc j'ignore où, quand et comment est le bout du tunnel).

En ce moment je suis sur Paris la semaine: idéal pour aller directement chez Isa... si j'y arrive :))~...! Sinon à partir de mars, oui si je ne l'ai pas fait ou pas fait le tour de la question cela m'interesse sur l'aquitaine. Je suis en contact avec une asso locale de 60 cavaliers dont un petit groupe pourrait être interessé, si vous avez besoin de monde pour réaliser ce projet de regroupement technique.

Ce regroupement avait lui aussi, il y a quelques années, organisé des journées de stage avec Daniel Jugnet. Lors de mon arrivée dans l'asso nous avions organisé des stages avec un de mes anciens professeurs, Jean Louis Palacin.
Je ne vous cache pas que je ne pense pas être interessée par un stage avec Daniel Jugnet, ou quiconque sur mes chevaux. Sur des chevaux d'école c'est différent, je suis ouverte à tout faire tout entendre, tout écouter. Mes chevaux personnel sont trop "laboratoire, interdit d'entrer" pour qu'un enseignement extérieur dessus soit possible.
Techniquement cela fonctionnerait surement, mais psychologiquement pour moi cela serait terrible, car mes attentes personnelles concernant mes chevaux sont très différentes de celles d'un dresseur pur et dur (je fais du dressage par accident en somme et parce que cela m'interesse, mais pas par une vocation exclusive). J'ai déjà essayé: je ressors comme violée de ces cours, même avec quelqu'un d'aussi précieux que Jean Louis Palacin. Alors qu'aller chez un enseignant et prendre un cours sur ses chevaux ne me pose aucun problème et est à chaque fois hautement profitable.
Donc pour le simulateur, oui pourquoi pas, mais si je ne l'ai pas déjà fait sur Paris...! Et pour les cours avec Daniel non je ne pense pas être interessée. J'ai mon prof personnel qui attend mon retour de pied ferme d'ailleurs (je l'aide à redresser un rétif et il me donne des cours sur son autre cheval), c'est lui, après le passage chez les Henriquet, qui a à nouveau souligné mes problèmes de position auxquels je souhaite sérieusement m'attaquer à présent.

Marie,

Le fonctionnement en balancier global : Il me semble que nous parlons de la même attitude ?!

Une jambe tombant naturellement, dites vous ? Oui, une jambe à la verticale de la hanche à la cheville, comme sur les gravures de Parrocel, comme Nuno Oliveira en couverture de l’ouvrage présenté par Jeanne Boisseau, et non pas une jambe en équerre.
L’accompagnement par le jeu des articulations des hanches, oui, si les vertèbres lombaires restent alignées l’une sur l’autre.
Dos plat, abdominaux et épaules reculées ? Oui, si c’est la conséquence du jeu de la vertèbre dorsale opposée au nombril, non si cette position est figée…

Proposition de travaux pratiques (si vous le voulez bien) :

Debout devant votre écran, jambes écartées de la largeur d’un cheval.
Genoux détendus.
Contracter les fessiers et relacher en gardant le bassin dans la position obtenue par la contraction des fessiers.
Visualiser la vertèbre opposée au nombril.
L’avancer vers le nombril et constater que les abdominaux s’étirent vers le haut et que le buste (dont les épaules) recule.
C’est la position à installer à l’arrêt : on est à cheval comme on est debout, sans cambrure mais avec un haut du corps étiré vers le haut.
Quand le cheval se met en mouvement, c’est le jeu de cette vertèbre liée au nombril, d’avant en arrière qui l’accompagne.
Au lieu d’être assis sur le cheval comme sur une chaise et de fonctionner d’arrière en avant avec son bassin, on est « dans » le cheval et on fonctionne en hauteur, avec une colonne vertébrale qui s’étire et non pas qui se casse au niveau des reins.)

Des sensations sur le simulateur confirmées et expliquées par Daniel Jugnet : un cours de biomécanique humaine adaptée à celle du cheval, dont on sort sans courbatures et avec une nouvelle lecture de l’usage des aides, dont la discrétion « plait » à nos chevaux.
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PODER Catherine écrit:

Quand le cheval se met en mouvement, c’est le jeu de cette vertèbre liée au nombril, d’avant en arrière qui l’accompagne.

Si j'avais fais ça ces dernières années, je n'aurai plus de dos depuis longtemps, et une bonne sciatique.
J'ai relu les posts concernant le balancier global : j'y vois seulement le fait d'accompagner les mouvements en jouant avec l'articulation des hanches, ce qui me convient tout à fait.
Si vous observez les croquis sur le site d'Isa Danne concernant le balancier global, on n'y voit jamais le dos se ployer pour amortir les mouvements.
Quoi qu'il en soit je n'ai pas le dos assez solide pour me permettre d'essayer car j'ai d'extrêmement mauvais souvenirs d'accompagnement par la souplesse du rein. Maintenant mon dos reste plat, abdos serrés. Ca ne m'a pas empêché d'obtenir bien plus des chevaux que quand je montait avec le rein souple, mais peut-être suis-je une exception...:)
cordialement, marie