Etre sur son dos...
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Par Cunningham
Je suis un poil provoquant. Veuillez m'en excusez.
Amitiés.
P.S: J'aime les chevaux et j'aime le cheval, pour ceux qui en douteraient.
M.B
Provoquant! Pour moi non,
à chacun sa façon de voir les choses...
Il y a aimer et savoir aimer
" Il en est des Chevaux comme des Hommes :
tout est question d'éducation... " M.B
Magali Ô Magali!
Jean M
Bonsoir,
Nature procede ainsi, par le benefice de l'inconstance : Car le temps qu'elle nous a donné pour souverain medecin de nos passions, gaigne son effect principalement par là, que fournissant autres et autres affaires à nostre imagination, il demesle et corrompt cette premiere apprehension, pour forte qu'elle soit.
Montaigne.
Ils sont des sujets surlesquels nous ne devrions même pas perdre plus de temps que d'en lire la première ligne.
N'aurions donc nous pas mieux à faire que de tenter de raisonner l'irraisonnable et le démago malgré, je dois avouer les quelques excellentes démonstrations de Cunnigham pour ne citer qu'elle?
Si pauvres en sujets CONSTRUCTIFS sommes nous pour consacrer 5 pages de ce forum à un si stérile débat?
Amitiés.
Demain serait meilleur avec le secours de tous.
magali chapeau! je me suis regalée en vous lisant!! faudrait l'envoyer a canteloup pour qui vous fasse les voix, ce serait un tabac!bravo!! et merci! je suis toute pleine de bonne humeur grace a vous!!! amicalement fs
Magali,
Vous êtes une marrante et cela me botte.
La lecture de votre récent post a eu pour effet sur ma personne de:
Décontracter mes articulations temporo-mandibulaires.
Provoquer une légère salivation.
Du coup, je me sens bien de partout.
Sous votre selle, je suis un cheval heureux.
Merci pour votre fraîcheur!
Amicalement.
A BAYARD:
Vous dîtes:
"ET PERSONNE N'EST RIDICULE JAMAIS TANT QU'IL AGIT AVEC HONNÊTETE".
Je vous remercie de l'avoir citée.
Cette phrase à une énorme portée.
Elle s'applique à tout.
Elle emporte une idée d'amour et de respect.
A Monsieur Michel BRAVARD,
Vous êtes fort décrié sur ce forum.
On vous reproche d'être le sphinx énigmatique qui énonce sans rien expliquer.
Vos vidéos laissent préjuger d'une belle équitation.
Vos interventions, au final, provoquent de longs développements de la part d'honnêtes gens.
Sans vous connaître, ce coté provocateur en diable à son utilité.
Voici donc un message de sympathie.
Mais de grâce, tâchez de vous mettre à la portée de nous autres, les minables.
Cordialement.
ETRE SUR SON DOS, mérite toute notre attention!
Pour cette raison, il faut convenir :
qu'exercer l'Art de l'Equitation, ce n'est absolument pas le fait d'être sur le dos d'un Cheval !!!...
" Il ne faut pas confondre tout ce qui a rapport avec des Chevaux,
et tout ce qui est relatif à l'Equitation. " M.B
Bonsoir à tous,
On peut :
Monter à cheval
Monter le cheval
et .... monter au grenier !
Énigmatique, mais cordialement.
bruno
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Bonjour,
J'y vais tout de go:
Si le cheval n'était pas montable, il ne n'aurait, pour moi pas plus d'intérêt que le kangourou ou le zèbre.
Seulement voila que cette plaisanterie probablement initiée par les hittites est devenue, via les égyptiens, les grecs, les romains une irréfragable pandémie.
Bien que la guerre fut le nerf de l'équitation et grâce aux meilleurs, à savoir les ibériques qui traînèrent leurs guêtres à Naples, les académies italiennes développèrent une équitation dépassant largement les strictes nécessités guerrières.
La belle jeunesse de France y fut envoyée.
C'est ainsi que l'on pût associer la légèreté à la renaissance franco-italienne.
Les progrès de l'artillerie mirent les chevaux ronds au placard au profit des longilignes.
Baucher pris sa place.
Oliveira fit la nique en sublimant des ronds et des longilignes.
Ce puant résumé oublie la qualité des écrits de Xénophon d'Athènes. Et passe également sur certaines études iconographiques cherchant à démontrer qu'une forme de légèreté existait avant la renaissance, lors qu'il est commun de présenter l'équitation du bas moyen-age comme de la boucherie.
"Une mauvaise rencontre" l'homme et le cheval?
Une mauvaise plaisanterie est vite oubliée...
Ce qui résiste aux siècle, que dis-je, aux millénaires, comme le sens du beau, la notion d'amour, le désir d'élévation vers le divin ne saurait être une erreur. L'équitation est vérité. Le cheval est fait pour être monté par l'homme. Ceci est ma conviction.
Comme Piotr, je me fiche de savoir si le cheval est heureux sous ma selle. La notion est trop bêtement anthropomorphique.
Je fais de mon mieux en espérant que le cheval fasse de même.
Je souhaite qu'il ne souffre pas et qu'il s'accommode du contrat.
D'ailleurs, sommes-nous nous-même si béatement heureux, nous autres "roseaux pensants" écrasés de tracas et de frustrations, pour nous soucier comme des crétins d'un prétendu "bonheur" du cheval?
Je suis un poil provoquant. Veuillez m'en excusez.
Amitiés.
P.S: J'aime les chevaux et j'aime le cheval, pour ceux qui en douteraient.