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problème professionnel -éthique

10 réponses [Dernière contribution]
Anne O. Nyme
Déconnecté
Inscrit: 16/05/2008

Comment mêler carrière professionnelle et éthique de légèreté ?

Dans certains cas, c’est difficile et je voudrais partager mon problème pour avoir des conseils, critiques ou soutiens.

Cela fait un six mois que je travaille comme groom et cavalière dans un élevage d’hanovriens.
(Je préfère rester anonyme car on ne sait jamais)
Ma patronne a le malheur de n’être ni dur avec ses chevaux, ni compréhensive de l’âme du cheval. Comme elle n’est pas dure - méchante, elle croit être juste et aimer ses chevaux. Mais elle a de gros problème de respect avec la plupart bien sûr.
Et comme elle n’est pas compréhensive de la psychologie équine, elle passe son temps à mal interpréter les réactions et à décréter que tel cheval est vicieux, fainéant, etc… Et qu’elle croit qu’on contrôle mieux un cheval quand il est saucissonné par des muserolles ou tenu à ras le licol quand il doit marcher en longe. Bon.

Heureusement, sa monte est douce et elle est contre la plupart des enrênements, l’ambiance n’est pas à la guerre rangée entre nous et je l’ai trouvé longtemps plutôt sympathique.

Mais dernièrement, elle m’a demandé plusieurs fois de serrer sa muserolle combinée berk berk et que le cheval ne peut plus respirer et bave épais et dégueulasse.
Quand je lui dit que c’est un peu trop serré à mon goût, elle me dit « non, je veux du contrôle ! ».
Alors je dis gentiment que c’est bien quand le cheval peut faire rouler son mors, le mâcher/ Mais elle me dit « ah non, il faut pas ouvrir la bouche ! » Je lui dit que c’est pas ouvrir la bouche, c’est mâchouiller gentiment et elle me dit séchement « non, il ne faut pas ».

Et depuis le début j’encaisse les mors réglés à donner un sourire aux chevaux qui va jusqu’aux oreilles. Je dis qu’il paraît que ça rend la commissure insensible, elle me dit « oh noooon, sinon il passe sa langue par dessus ! »

Et puis elle veut toujours travailler en déséquilibre, trop vite, les chevaux sont sous pression psychologiques et physique. Et deux de ses chevaux sont en ce moment avec des problèmes de pieds (suspenseurs).

Heureusement que la majorité du temps je travaille mon cheval seule et qu’elle me laisse régler mes muserolles – même si ça la fait "rire" que mes muserolles combinées soient si lâches.

Je quitte ce travail dans un deux mois, donc je ne veux pas rentrer dans un chantage du type « je refuse de travailler un cheval comme ça ». Je veux rester en bons termes pour avoir des appréciations positives pour mes futurs employeurs.

Mais

1°) je culpabilise quand elle me demande de serrer plus ses muserolles (ça n’arrive presque jamais heureusement)

2°) je ne supporte pas quand elle dit que telle jument est une s*l*pe parce qu’elle se refuse au contact d’un certain côté ou qu’une autre, jeune à peine débourrée est vicieuse parce qu’elle par au galop en levant la tête, fuyant la main et s’ébrouant. (si j’essaye une hypothèse du genre son galop est tout frais, le type qui l’a débourré avait peut être une main dure et elle se méfie maintenant – elle me dit NON elle veut faire ch*er – ça me laisse baba)

3°)je crains de me retrouver dans une situation similaire dans mon prochain travail.

4°) est-ce être minoritaire que de se servir de son cerveau avec les chevaux ? de penser que le cheval est intelligent et qu’on peut observer et comprendre ce qui ne va pas et pourquoi ?

DANS LE MONDE PROFESSIONNEL, COMMENT FAIRE AVEC – VOIRE MIEUX : COMMENT ESSAYER D’OUVRIR LES YEUX DE – CERTAINS « VIEUX » PROFESSIONNELS COMPLETEMENT A COTE DE LA PLAQUE ????

Que ce soit par prérogatives hiérarchiques ou juste excès de confiance en soi, ou bien par peur panique de la remise en question il y a des gens avec qui le dialogue est impossible et avec qui pourtant on a à dialoguer…

Merci beaucoup de m’avoir lu, je regrette d’avoir été si longue, mais je ne vois pas ce que je peux enlever pour alléger !!

Merci de tout conseil ou message d’espoir ……….

OLRY Juliette
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Anne,

Le problème que vous rencontrez est celui qui réunit grand nombre de personnes ici , et qui me fait vous dire "non, vous n'êtes pas seule ...dans votre cas " .
je précise "dans votre cas " car minoritaire , oui , vous l'êtes , nous le sommes , et seule dans votre quotidien professionnel aussi .

Il faut commencer par accepter une certaine solitude si vous ne voulez pas renoncer à votre idéal , vous avez choisi une voie juste mais d'où est exempte la facilité , et "la voie étroite " n'attire jamais le plus grand nombre .Et cette quête est solitaire .

Cela posé , que faire concrètement ?

1)par rapport à la culpabilité ...si vous gardez votre éthique , ça ne s'arrangera pas , l'on se sent une responsabilité par rapport aux chevaux , et des années après vous penserez encore a vos erreurs ou a toutes les fois ou vous n 'avez pas agi, a celles ou vous avez donné des outils a des personnes sans éthique et avez ainsi contribué a la souffrance d'un cheval .... cela fait partie du prix a payer .

2)votre patronne semble rigide dans ses conceptions , mais accrochez vous au fait qu'elle ne soit pas brutale (c'est déjà quelque chose !) pour garder l'espoir en une évolution ( que vous ne verrez pas forcément ).
Il faut continuer a dire votre avis , sans agressivité , juste pour qu'elle l'entende , car les mots s'impriment et parfois très longtemps après , ils nous reviennent en mémoire et ouvrent notre compréhension .
Il faut bien cerner ce qui est essentiel et ce qui est accessoire .

Montrer , démontrer , ne rien imposer .
Une piste : abordez la comme vous le feriez d'un cheval.... avec autant de patience d'amour et de réflexion .

3) c'est probable .Hélas . A vous de trouver une formule vivable ... ou de changer de métier .

A la dernière question je vous ai répondu en préalable .

Désolée d'avoir été si longue ,je suis de tout coeur avec vous !

Juliette

OLRY Juliette
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

précision : méfiez vous des "il parait que " et ne croyez que ce que vous avez expérimenté , vérifié par vous même .

Message édité par: olry, à: 2008/05/16 07:41

Message édité par: olry, à: 2008/05/16 07:59

SINIGAGLIA Françoise
Déconnecté
Inscrit: 03/10/2007

bonjour! j'ai lu avec beaucoup d'intérêt vos post!dur dur! mais si cela peut (un peu ) vous consoler, on est confronté a ce type de conflit intérieur dans bien des métiers ou l'on touche a un être vivant et ou l'on "n'est pas son propre patron"( par exemple : je suis infirmière et je dois executer les prescriptions médicales), mais dans un 2e temps ce que dit juliette est juste, je peux me "rapprocher" du prescripteur, et eventuellement discuter, exposer mon point de vue.. souvent l'interlocuteur est ouvert.. on peut trouver un compromis..mieux on peut se compléter..dans votre cas cette dame n'est pas "une brute", ben c'est déjà beaucoup!mais elle ne chamboulera pas son point de vue du jour au lendemain, ce qui ne veut pas forcément dire qu'elle ne vous écoute pas, il faut laisser le temps au temps.. ceci dit peut être qu'au fur et a mesure de votre parcours professionnel, vous pourrez plus vous affirmer a tous points de vue,et peut être "choisir" un employeur avec qui vous êtes plus en osmose. mais ceci dit ; moi qui suis une incorrigible optimiste,attendez voir, ne jetez pas le bébé avec l'eau du bain; et non , ils ne "sont pas tous comme ça" il y a quand même plein de "bon" chez pleins de gens( des fois ça ne se voit pas tout de suite)courage! laissez vous du temps avant de tout balancer, prenez du recul.. mais évidemment je ne vous dit pas de changer de conviction! mais la vie en société, ou avec les chevaux est un immense compromis! amicalement françoise S

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

Votre texte ressemble à un test volontairement proposé au forum… à 4 heures du matin.
Si ce n’est pas le cas, la rigueur intellectuelle de votre rédaction laisse à penser que vous n’êtes pas « en danger » d’être influencée de mauvaise façon. Vous semblez être tout à fait capable de débusquer les pièges qui pourraient vous tromper. Pour l’instant serrez la muserolle, faîtes sourire les chevaux avec le mors et montez avec douceur de façon à compenser. N’oubliez pas que la douceur d’un cavalier est le support de son autorité. Pas de mièvrerie déguisée comme dirait Sylvain Beaulieu.
Vous aurez dans 2 mois certainement l’occasion de choisir le milieu dans lequel vous travaillerez forte de cette expérience malgré tout utile. Amicalement. Bye.

Pour rire et pleurer à la fois :
« La résignation allège tous les maux sans remède. » Horace.

Message édité par: phfarnault, à: 2008/05/16 13:34

PODER Catherine
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonjour,

Votre métier de groom et de cavalière vous destine aux écuries de concours qu'ils soient d'élevage, de dressage ou de cso;
Ces écuries ont des impératifs de calendrier et de "retour sur investissement" nécéssaires à la survie d'une entreprise mais incompatibles avec le bien-être des chevaux ( à part peut-être chez Michel Robert).
Ajoutez y la mode de tel ou tel mors, enrênement ou méthode de travail "vendus" régulièrement par des commerciaux hors-pair ou des entraineurs en vue, sans souci du cheval.

Vous sentez vous capable de vivre jour aprés jour dans cette ambiance alors que vous ressentez ce malaise vis à vis des traitements et autres noms d'oiseaux infligés aux chevaux?

Au-delà de l'éthique, du professionnalisme, de la bonne foi de croire qu'on peut changer les choses, pensez à votre santé mentale et physique et anticipez les conséquences répétées de cette mauvaise ambiance animale, que vous captez trop bien, sur votre seuil de stress.

PS: le syndrome de "résignation acquise" ou "d'accoutumance à la douleur", commun aux humains et aux chevaux, commence par "affaiblir" le mental puis s'exprime par des pathologies.
Lire Andrew Mac lean dans "les dossiers d'AI"
.

Message édité par: PODER, à: 2008/05/16 14:45

Anne O. Nyme
Déconnecté
Inscrit: 16/05/2008

Merci pour vos réponses très détaillées et justes.

Ce n’est pas du tout un test ! Il y a juste des jours où je suis un peu au bout du rouleau de ma résignation ! Et où j’ai peur de « collaborer ». Comme dans cette étude où un pseudo médecin-chercheur demande à la personne testée d’actionner un levier qui est sensé envoyer une décharge sur un cobaye humain (joué par un acteur). Tout est faux bien sûr, sauf la personne sondé, qui, dans un pourcentage écrasant n’a aucun état d’âme à envoyer une décharge mortelle, aucun état d’âme puisqu’il met son cerveau en veilleuse, puisqu’il est sous les ordres d’un homme de science…
Parfois j’ai un peu peur de dériver vers ça, mais je fais attention….
J’ai de la chance d’avoir quelques clients privés avec qui je fais selon ma pensée et j’espère vite pouvoir me passer d’un employeur.
Car comme le dit Catherine Poder, il y a quand même un risque de gâcher quelque chose en soi à faire des choses que l’on réprouve – Horace en dira ce qu’il voudra !
Je suis plus contemporaine et cite le génial réalisateur Andrei Tarkovski « Celui qui trahit une seule fois ses principes perd la pureté de sa relation avec la vie. Tricher avec soi-même, c'est renoncer à tout, à son film, à sa vie. »
Il avait à faire à la censure, c’est aussi pénible que la mode du tire-pousse ; mais nous ne risquons pas le goulag !, juste des mauvaises notes et des critiques déconcertantes.

Je suis juste très déçue à chaque fois que les gens démissionne de leur faculté de raisonner et que c’est les chevaux qui trime. Par paresse intellectuelle et donc étroitesse d’esprit volontaire – c’est quand même dommage, alors qu’il y a juste à essayer de comprendre ce qui peut être compris.

(et c’est vrai que ce type de situation existe dans beaucoup d’autres professions)

CALVIN Stéphanie
Déconnecté
Inscrit: 25/02/2006

PODER Catherine écrit:

Bonjour,

Votre métier de groom et de cavalière vous destine aux écuries de concours qu'ils soient d'élevage, de dressage ou de cso;
Ces écuries ont des impératifs de calendrier et de "retour sur investissement" nécéssaires à la survie d'une entreprise mais incompatibles avec le bien-être des chevaux ( à part peut-être chez Michel Robert).

Catherine,

Il ne faut pas diaboliser tout les professionnels non plus.... Si certains n'ont aucune éthique, la plupart en ont une, et Michel Robert n'est certainement pas le seul.

Oui, il faut gagner de l'argent pour vivre, mais la plupart ont quand même du respect et de l'attention pour leurs chevaux. Le travail demandé aux chevaux est dur, mais ils sont souvent mieux soignés et respectés que les chevaux de particuliers qui pourrissent l'hiver au fond du pré parce qu'il pleut et qu'il fait froid et qu'on les monte pas en hiver, donc c'est pas la peine de faire venir le maréchal ferrant....

Et si leur méthodes de travail sont différentes des miennes (j'entends cela comme une généralité, un exemple) , il ne faut pas non plus les prendre pour des bouchers et il ne faut pas croire que l'on détient toujours la vérité suprême.

On a toujours quelque chose à apprendre de qqun d'autre, mais si vous voulez faire partager vos connaissances avec qqun d'autre, il faut d'abord savoir écouter les siennes.

Anne,

Gardez votre capacité de raisonnement et d'analyse, mais ne tentez pas d'expliquer à un professionnel que vous savez mieux que lui, ce sera peine perdu à mon avis.

Trouvez vous un professionnel qui convienne à vos valeurs morales (ça ne sera peut être pas facile), et soyez également réceptive à son travail.

*********************
StephE
www.equideos.net
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SINIGAGLIA Françoise
Déconnecté
Inscrit: 03/10/2007

j'ajoute de l'eau au moulin se stéphanie (coucou!vous)et je dirais que prendre du recul,essayer d'éviter les conflits en cherchant une option de compromis.. c'est ce que l'on fait tous les jours a cheval !ça ne veut surtout pas dire se renier!! ça veut dire s'exiger une dose supplementaire d'intelligence que je qualifirais de "sociale" pour faire evoluer et plus tard peut être faire reconnaitre vos idées comme etant justes; on n'obtient rien du tout par la force, beaucoup avec de la persuasion,et si plein de gens ne disent rien, ça veut pas dire qu'ils ne pensent rien, simplement, qu'ils n'ont pas l'opportunité de situation ,ou de courage pour.bon courage!amicalement françoise s

BRAVARD
Déconnecté
Inscrit: 02/05/2008

Anne O. Nyme écrit:

Comment mêler carrière professionnelle et éthique de légèreté ?

Dans certains cas, c’est difficile et je voudrais partager mon problème pour avoir des conseils, critiques ou soutiens.

Cela fait un six mois que je travaille comme groom et cavalière dans un élevage d’hanovriens.
(Je préfère rester anonyme car on ne sait jamais)
Ma patronne a le malheur de n’être ni dur avec ses chevaux, ni compréhensive de l’âme du cheval. Comme elle n’est pas dure - méchante, elle croit être juste et aimer ses chevaux. Mais elle a de gros problème de respect avec la plupart bien sûr.
Et comme elle n’est pas compréhensive de la psychologie équine, elle passe son temps à mal interpréter les réactions et à décréter que tel cheval est vicieux, fainéant, etc… Et qu’elle croit qu’on contrôle mieux un cheval quand il est saucissonné par des muserolles ou tenu à ras le licol quand il doit marcher en longe. Bon.

Heureusement, sa monte est douce et elle est contre la plupart des enrênements, l’ambiance n’est pas à la guerre rangée entre nous et je l’ai trouvé longtemps plutôt sympathique.

Mais dernièrement, elle m’a demandé plusieurs fois de serrer sa muserolle combinée berk berk et que le cheval ne peut plus respirer et bave épais et dégueulasse.
Quand je lui dit que c’est un peu trop serré à mon goût, elle me dit « non, je veux du contrôle ! ».
Alors je dis gentiment que c’est bien quand le cheval peut faire rouler son mors, le mâcher/ Mais elle me dit « ah non, il faut pas ouvrir la bouche ! » Je lui dit que c’est pas ouvrir la bouche, c’est mâchouiller gentiment et elle me dit séchement « non, il ne faut pas ».

Et depuis le début j’encaisse les mors réglés à donner un sourire aux chevaux qui va jusqu’aux oreilles. Je dis qu’il paraît que ça rend la commissure insensible, elle me dit « oh noooon, sinon il passe sa langue par dessus ! »

Et puis elle veut toujours travailler en déséquilibre, trop vite, les chevaux sont sous pression psychologiques et physique. Et deux de ses chevaux sont en ce moment avec des problèmes de pieds (suspenseurs).

Heureusement que la majorité du temps je travaille mon cheval seule et qu’elle me laisse régler mes muserolles – même si ça la fait "rire" que mes muserolles combinées soient si lâches.

Je quitte ce travail dans un deux mois, donc je ne veux pas rentrer dans un chantage du type « je refuse de travailler un cheval comme ça ». Je veux rester en bons termes pour avoir des appréciations positives pour mes futurs employeurs.

Mais

1°) je culpabilise quand elle me demande de serrer plus ses muserolles (ça n’arrive presque jamais heureusement)

2°) je ne supporte pas quand elle dit que telle jument est une s*l*pe parce qu’elle se refuse au contact d’un certain côté ou qu’une autre, jeune à peine débourrée est vicieuse parce qu’elle par au galop en levant la tête, fuyant la main et s’ébrouant. (si j’essaye une hypothèse du genre son galop est tout frais, le type qui l’a débourré avait peut être une main dure et elle se méfie maintenant – elle me dit NON elle veut faire ch*er – ça me laisse baba)

3°)je crains de me retrouver dans une situation similaire dans mon prochain travail.

4°) est-ce être minoritaire que de se servir de son cerveau avec les chevaux ? de penser que le cheval est intelligent et qu’on peut observer et comprendre ce qui ne va pas et pourquoi ?

ParAnne...
DANS LE MONDE PROFESSIONNEL, COMMENT FAIRE AVEC – VOIRE MIEUX : COMMENT ESSAYER D’OUVRIR LES YEUX DE – CERTAINS « VIEUX » PROFESSIONNELS COMPLETEMENT A COTE DE LA PLAQUE ????

Que ce soit par prérogatives hiérarchiques ou juste excès de confiance en soi, ou bien par peur panique de la remise en question il y a des gens avec qui le dialogue est impossible et avec qui pourtant on a à dialoguer…

Merci beaucoup de m’avoir lu, je regrette d’avoir été si longue, mais je ne vois pas ce que je peux enlever pour alléger !!

Merci de tout conseil ou message d’espoir ……….

BRAVARD
Déconnecté
Inscrit: 02/05/2008

Anne, tu est normalement sensible et pensante tout comme les malheureux Chevaux de cette mégére torsionnaire de propriétaire.

Elle n'est pas apte à pratiquer l'Art de l'équitation. Ne reste pas dans cet endroit!

Certes des endroits comme celui-ci il y en de reste... mais de bons établissements aussi

Amicalement M.B