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Presse Allemande

63 réponses [Dernière contribution]
Yasmine.C
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Inscrit: 16/10/2006



Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2008/08/06 10:15

PODER Catherine
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Inscrit: 17/03/2006

Merci Yasmine!
.

Yasmine.C
Déconnecté
Inscrit: 16/10/2006



Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2008/08/06 10:16

PODER Catherine
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Merci Yasmine!

Une traduction à continuer?!..

A conserver, à mon sens, dans "Le coin des adhérents"...
.

Buridan
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Bonjour,

Il préconise : le développement des allures en ouvrant le cadre, en allongeant le cheval, afin de le préparer la prise en charge progressive du poids par les postérieurs (1°=force de chasse des post. 2°=rassembler progressif).

Je ne comprend pas bien en quoi l'allongement du cheval aux allures vives peut préparer le but exactement opposé, dans la mesure où ce ne sont pas les mêmes groupes musculaires qui sont sollicités.

Il me semble que c'est précisément cette approche qui produit les chevaux comprimés, sans légèreté, que l'on observe si souvent. Car faute d'avoir éduqué physiquement et mentalement le cheval dans la bonne direction (légèreté), le "rassembler progressif" ne peut être obtenu qu'en comprimant le cheval (par l'usage systématique du demi-arrêt).

Bonne année à tous, chevaux et cavaliers.

Message édité par: Marcantoni, à: 2008/01/15 10:31

CARDE christian
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Inscrit: 17/03/2006

Je pense que ce bon docteur veut simplement dire qu'il faut d'abord faciliter l'engagement des postérieurs ce qui les préparera à mieux fléchir. On est dans l'esprit du "Papier Margot" : "un ressort fléchit d'autant plus aisément que l'on aura pris soin auparavant de l'allonger". Nous sommes dans la rubrique " Marier intimement impulsion et flexibilité des ressorts", du moins, il me semble.

FARNAULT Philippe
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Inscrit: 25/07/2006

Hervé, dans son compte rendu Yasmine n’indique pas que l’allure allongée est vive.
===================

Le demi arrêt m’est inconnu.
Etant jeune il m’a été défini comme relevant de l’art. Je l’ai probablement abordé dans des moments d’impatience (je parle du demi arrêt bien sûr…). Cela fait deux raisons pour ne pas l’avoir utilisé. Je veux dire que les énervements passagers à cheval m’ont servi à me calmer, et à l’ignorer encore plus! C’est donc personnel.
Aujourd’hui je m’aperçois que l’on peut très bien se passer du demi arrêt. C’est pourquoi je suis très gêné par l’action/sanction de Jean d’Orgeix qui préconise, un coup sec sur la bouche lorsque le cheval s’appuie (bas de la page 28 du nouveau livre).

Si j’étais un enseignant, j’attirerai l’attention de l’élève pour qu’il recherche en premier l’origine de cet appui. Je lui expliquerai que le cheval n’a pas à faire les frais d’une erreur préalable du cavalier ; que le cheval peut et doit rester depuis qu’il est jeune dans l’ignorance totale que l’appui sur le mors est possible (comme indiqué bas de page 27 et haut page 28) ; qu’il doit pour cela recevoir dès l’origine de la relation les bases du travail dans le bon sens en exploitant les qualités naturelles déjà en place dont la grâce et la légèreté font partie. Puis, ensemble on verrait si l’utilisation d’un demi arrêt n’occulte pas une partie de l’éducation du cheval.
Amicalement. Bye.

Yasmine.C
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Inscrit: 16/10/2006



Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2008/08/06 10:16

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

A Yasmine, merci. Il est vrai que la définition du demi arrêt peut me rendre service.
Je vous aime… amicalement. Bye.

dolmata
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Inscrit: 11/05/2006

Bonsoir

"Ce qu'explique Heuschmann, c'est que si le cheval n'apprend pas à chasser sa masse vers l'avant sans abaissement de la croupe (une caractéristique du rassembler), il n'aura pas la force de le faire dans cette deuxième position par la suite.

oui mais le problème c'est qu'il n'y a pas transfert de l'un à l'autre, c'est à dire qu'un trotteur qui sait porter sa masse en avant sans abaissement des hanches se retrouve bien embêté quand ses hanches s'abaissent ...

trotter long pour trotter court n'est pas lié

en revanche ne trotter que court empêche certainement de retrouver le long dans le court (l'amplitude à vitesse nulle)on fait de la mécanique pas logique on veut la vitesse courte mais avec l'overdrive
faut juste trouver le levier
"c'est beau les boîtes de vitesse"

x
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Inscrit: 17/03/2006

Bonjour à tous.

« On est dans l'esprit du "Papier Margot" : "un ressort fléchit d'autant plus aisément que l'on aura pris soin auparavant de l'allonger". »
Affirmation gratuite, comparer le cheval à une lame d'acier je veux bien mais quel rapport ?
Oui je sais c'est une image, mais combien même, l'image n'est pas le reflet d'une vérité mais simplement et aux mieux l'expression d'un ressenti.

(Lt. Colonel MARGOT), si ce texte exprime la doctrine française alors je n'en suis pas.

A partir du cheval = ressort et de l'impulsion = vitesse on peut construire toute sorte de théories plus ou moins élaborées d'apparence plus ou moins scientifique elles resteront cependant illusoire car basées sur des postulats infondés.

pierrex